Test Vélocouché

Bonjour,
avant de faire l'achat d'un vélo couché, j'aimerais pouvoir en tester un. J'habite dans la région de la Drôme, vers Die.
Serait-il possible d'emprunter ou de louer un vélo le temps d'un week-end ?

Merci

Paul

Bonjour ,
Moi je suis à Chambéry .
As tu eu la possibilité d'un test sur VC ?
Je possède un HP velotechnik speedmachine que je vends d'ailleurs .
Sans arrière pensée , je peux te proposer un essai avec le mien et j'ai aussi 2 trikes qui sont tellement plus accessibles que le 2 roues
A+

Il y a qq pratiquants dans ton coin, à Buis les Baronnies en particulier.
Poste ta requête dans ce fil pour obtenir + de réponses
http://velorizontal.1fr1.net/t12813-midi-express

Bonjour,
J'ai finalement fait l'achat d'un optima baron qui était à côté de chez moi. Par contre, après quelques tests, je me rends compte que ça tire dans les cuisses en côte !! Voici une photo du vélo.
Est ce que vous auriez des conseils pour le vélo couché en montagne ?

Ce sont des muscles différents qui travaillent. Il faut accumuler les kilomètres et alors ça ira mieux en montagne.

Sinon jette un oeil à ces sujets: http://velorizontal.1fr1.net/search?mode=searchbox&search_id=1782728597&search_keywords=montagne

Samural a écrit:

Ce sont des muscles différents qui travaillent. Il faut accumuler les kilomètres et alors ça ira mieux en montagne.

Sinon jette un oeil à ces sujets: http://velorizontal.1fr1.net/search?mode=searchbox&search_id=1782728597&search_keywords=montagne

Merci beaucoup pour les infos !

Azote26 a écrit:

Bonjour,
J'ai finalement fait l'achat d'un optima baron qui était à côté de chez moi. Par contre, après quelques tests, je me rends compte que ça tire dans les cuisses en côte !! Voici une photo du vélo.
Est ce que vous auriez des conseils pour le vélo couché en montagne ?

LEs photos ne semblent pas être passées..

Bonjour ,
J'ajouterai qu'il faut absolument pédaler " rond " c'est à dire sans à coups , afin d'éviter de violentes douleurs sur les genoux . La cadence de pédalage de 60 tours est un bont repère

Bonjour,
J'ai fait mon changement vers le vélo couché en janvier dernier (aussi un optima baron) et sur les premiers km j'avais méchamment mal à des muscles que je n'avais pas découvert jusqu'alors. Depuis je commence à avoir pas mal roulé (+/- 800 bornes) et j'ai nettement moins mal aux pattes après mes sorties. Comme le dit @svzy9767, ma fréquence de pédalage est plus importante qu'en VD. Sur le baron je suis entre 75 et 80 tours/minutes.

Après pour les côtes j'en fait très peu donc j'ai pas trop de retour là-dessus bien que je galère toujours.

Bonne journée,
PLL

Azote26 a écrit:

Bonjour,
J'ai finalement fait l'achat d'un optima baron qui était à côté de chez moi. Par contre, après quelques tests, je me rends compte que ça tire dans les cuisses en côte !! Voici une photo du vélo.
Est ce que vous auriez des conseils pour le vélo couché en montagne ?

Oui, mes conseils pour le vélo couché en montagne : ton Optima Baron pour les records en descente ! ... mais un high racer genre MetaPhysic ou Pelso pour grimper les côtes !!!

svzy9767 a écrit:

La cadence de pédalage de 60 tours est un bon repère

60 tr/mn c'est un peu lent, mieux vaut diminuer le braquet et tourner les jambes un peu plus vite.

La cadence de pédalage de 60 tours est un bon repère

svzy9767 a écrit:

La cadence de pédalage de 60 tours est un bon repère

Ca veut dire quoi un bon repère?

Comme le dit el gato il faut une plus grande fréquence au moins 75.

Après le VC (2 roues) en montagne ce n'est pas fait pour tout le monde!

Ca va dépendre des gens et de la longueur des manivelles, mais clairement pour moi, 60 tpm c'est du sous régime. Je me sens bien entre 75 et 80.

Dans mon cas de nouveau, faites en une généralité ou pas si vous voulez, je préserve nettement mieux mes genoux en moulinant à 75 - 80 qu'en poussant à 60. C'est clair en quelques centaines de mètres pour moi (genou en mauvais état, quasi plus de ménisques ni de cartilages suite à 2 accidents dans ma jeunesse)

Bonsoir,

Il est intéressant de lire ce retour ; je suis également débutant en VC 2 roues et mêmes constats.
Parfois quelques douleurs passagères aux genoux - a priori c'est classique - et a priori réglées par ajustages successifs et empiriques de la longueur de la bôme et même de son orientation (elle n'était pas tout à fait horizontale). Peut-être aussi par l'adaptation de la façon de pédaler.

Par contre depuis le VC, je ne m'intéresse plus aux "chiffres" ; je n'ai même pas de compteur (trop de chiffres inutiles et de pseudo statistiques aujourd'hui..)
Je pense en effet qu'il est nécessaire, dans l'effort, d'augmenter un peu la vitesse de rotation plutôt que l'intensité. On adapte bien-sûr le développement et on utilise au mieux tous ses plateaux et pignons pour cela. En côte, c'est finalement la seule solution : trouver la cadence acceptable pour maintenir l'effort dans la durée et en assurant une vitesse minimale utile. Comme en VD sauf qu’ici on est un peu moins performant (et globalement plus lourd) dans ces situations et qu'il semble par la pratique utile de favoriser une cadence plus importante. Dans une montée prononcée, ce qu'il ne faut pas faire c'est s'arrêter. Là c'est foutu pour repartir  

PLL a écrit:

Bonjour,
J'ai fait mon changement vers le vélo couché en janvier dernier (aussi un optima baron) et sur les premiers km j'avais méchamment mal à des muscles que je n'avais pas découvert jusqu'alors. Depuis je commence à avoir pas mal roulé (+/- 800 bornes) et j'ai nettement moins mal aux pattes après mes sorties. Comme le dit @svzy9767, ma fréquence de pédalage est plus importante qu'en VD. Sur le baron je suis entre 75 et 80 tours/minutes.

Après pour les côtes j'en fait très peu donc j'ai pas trop de retour là-dessus bien que je galère toujours.

Bonne journée,
PLL

pimou a écrit:

Dans une montée prononcée, ce qu'il ne faut pas faire c'est s'arrêter. Là c'est foutu pour repartir  

Pour avoir fait la traversée du Jura la semaine dernière, impossible pour ma part de passer des pentes de 14% et davantage : pas assez de développement et plus de jus dans le bonhomme. Et quand tu as la roue arrière qui commence à chasser, il faut savoir s'arrêter et repartir en poussant le vélo sur quelques dizaines de mètres

Souvenir de ma période lyonnaise où pendant 1 an j'ai travaillé à Saint-Cyr au Mont d'Or. Les 200 derniers mètres étaient à 13%. Tout à gauche. Une fois je me suis fait doublé par une piétonne... Mais je n'ai pas eu à pousser le vélo (on a sa fierté).

Thomas Tours a écrit:

on a sa fierté

Pas moi

pimou a écrit:

Dans une montée prononcée, ce qu'il ne faut pas faire c'est s'arrêter. Là c'est foutu pour repartir  

ah, c'est sûr que le démarrage en côte, c'est pas évident.

De ce point de vue, j'aime bien mon petit Wolf & Wolf : ce n'est pas un rase-moquette bien sûr (un rase-moquette serait inadapté pour mes trajets quotidiens en ville et avec sacoches), mais je suis assise suffisamment bas pour que pouvoir redémarrer en côte, car je peux poser le 2ème pied à plat sur le sol pour préparer le premier pied à donner un bon coup de pédale. Et heureusement, parce qu'au fil des ans, j'ai + besoin de faire de petites pauses pour souffler en montant...

meg2 a écrit:

ah, c'est sûr que le démarrage en côte, c'est pas évident.

--------
... je suis assise suffisamment bas pour que pouvoir redémarrer en côte, car je peux poser le 2ème pied à plat sur le sol pour préparer le premier pied à donner un bon coup de pédale.  Et heureusement, parce qu'au fil des ans, j'ai + besoin de faire de petites pauses pour souffler en montant...

C'est pour ça qu'on a inventé les trikes

60 tours minutes est très lent, d'une part c'est parfait pour tétaniser rapidement les quadriceps, d'autre part un pédalage lent et en force va accentuer la déformation du long cadre mou du low-racer et de la longue chaîne.
C'est à mon avis le défaut principal des Low-racers cette grosse perte d'énergie par déformation, compensées sur le plat et les descentes par une aérodynamique au top.
En augmentant la fréquence, on lisse plus l'effort.

Évidemment tout le monde ne s'appelle pas Mathieu Van des Poel, mais j'avais observé lors de son impressionnante échappée solitaire d'une heure au Paris Roubaix qu'il tournait invariablement à 98 tours/min côtes ou pas!!!

pimou a écrit:

[...]. Dans une montée prononcée, ce qu'il ne faut pas faire c'est s'arrêter. Là c'est foutu pour repartir  

Ça me rappelle une fois où je montais le col Agnel côté italien avec mon métabike bien chargé (cyclo-camping). J'étais d'ailleurs bien entamé, car je venais de Turin, suite à un pari débile avec La Vipère m'ayant poussé à passer le col Agnel dans la journée...
Là où ça monte bien dur (genre 13-14%, vers la fin, je vois une vache traverser devant moi.
Ok, je passe derrière (me dis-je en ma Ford intérieure, quoique qu'étant en Métabike)... Elle s'arrête !
Ok, je passe devant... Et là, elle redémarre en me regardant de ses doux yeux (avez-vous déjà remarqué le regard langoureux des Tarines ?).
Bon, d'accord, je passe derrière (la distance à la vache diminuant malgré ma vitesse d'escargot, j'avais de moins en moins de "réserve" par rapport à ma trajectoire). Et là, elle s'arrête de nouveau !
J'ai été obligé de m'arrêter pour ne pas rentrer dedans.
Ayant constaté que j'étais à l'arrêt, elle s'est remise en route pour finir sa traversée.
La suite ?
Grosse galère pour repartir. Impossible sans les cales auto. Le premier pied chaussé, il faut être super rapide pour clipser le second, d'autant que comme on est tout à gauche, le demi tour de pédale ne dure pas longtemps.
Après quelques essais, j'ai réussi en partant complètement en travers de la route pour réduire la pente.
Ah! la vache !

Alors qu'en trike tu aurais pu passer SOUS la vache, voire la traire un peu au passage

En tout cas elle semblait joueuse , cette vache...

Par ici, même en cavale, elles restent plus disciplinées...