Les petites victoires font les grandes conquêtes

   

Ya pas de mal à se faire du bien!

Salut Aldo.

Je suis tes "aventures" et ce récit-là en particulier.

Mais non, ce n'est pas de la vanité, pas même de l'orgueil, encore moins de la folie.
C'est la fierté de réussir quelque chose dont tu n'étais pas sûr d'être capable   .

Bravo pour ce succès avec une machine que tu commences seulement à maîtriser.
J'ai le phantasme de monter encore ainsi sur quelques kilomètres mais comme la plupart des phantasmes, il ne sera sans doute jamais plus réalisé   .

Félicitations aussi pour l'extraordinaire perfection de ton français !

Agir45 a écrit:

Salut Aldo.



Mais non, ce n'est pas de la vanité, pas même de l'orgueil, encore moins de la folie.
!

 Exacte en plus je ne voie pas envers qui on pourrais avoir de l'orgueil ,
vue que notre principale concurrent c'est nous même.  

Très sympa ce petit récit, je me remémore mes premiers kilomètres (hors voie verte) ma première "vraie" montée, mes premiers "exploits", ce n'est que du bonheur et n'y vois aucune vanité ou orgueil, juste un moment fort que tu as envie de partager.

La ténacité paye et le bonheur n'en est que plus fort.

Continue ainsi en dosant tes efforts et tes progrès et longue route à toi.

ça y est tu vas pouvoir attaquer tous les grands cols des Alpes au Printemps
bravo pour ces comptes rendu   

Merci Aldo pour la fraicheur de tes récits.
Tes progrès sont impressionnants. Bravo.   

A grand Pierre   
Je découvre ton blog que j'ai survolé au travail. Je vais y retourner dès que possible.
En tout cas un grand respect de ma part. Je n'ose même pas t'encourager car c'est tellement évident que tu as du courage.
A coté de toi on se sent vraiment un gamin.
Sincères admirations.  

    

Encore un "grand" récit d'Aldo.   
Décidément, je suis fan...

Merci de ce partage et bravo pour tes progrès. Je n'ai pas encore mon VC (il mijote encore   ) mais ça me motive vraiment pour mes futurs débuts.

Donc continue à rouler et à raconter  

Un peu d'orgueil, ça fait du bien et ça aide à avancer.  (Trop, ça fait reculer).
Sans ces ingrédients, on reste dans son fauteuil et on regarde la télé.  Il faut cette petite pointe de vanité, d'orgueil et d'inconscience pour que l'aiglon se lance dans le vide et prenne son envol majestueux.

J'ai bien aimé ton récit et j'ai revécu mes premières angoisses.  Après une petite soixantaine de km pour m'adapter à la machine, je suis parti pour la Normandie.  600 km, une paille, l'entraînement et la maîtrise viendront en chemin.  En plus, j'avais bien regardé les vidéos sur youtube, ça n'est pas bien compliqué...  Et me voilà parti, tractant une remorque bien trop lourde, c'est là que j'ai commencé à comprendre que je n'étais plus sur youtube.

Ma première côte sévère, quelque part dans l'Avesnois, à la limite de l'équilibre, une dizaine de voitures derrière moi, à 4 ou 5 km/h.  J'avais repéré un petit chemin sur la droite, il ne me restait qu'une petite cinquantaine de mètres... j'allais pouvoir m'y engouffrer.  Mais un semi-remorque est apparu en haut de la côte, et comme je balayais un peu la route, je me suis encore plus raidi ... et plaf !  Obligé de ramper pour m'extraire du Rapto sous l'oeil des automobilistes venu "me secourir".  Dans ces moments, on est bien content d'avoir des lunettes fumées   avant de dire : "c'est impressionnant mais en fait on ne tombe pas de haut sur ces vélos" !  

Merci pour ces récits. Lorsque j'ai acheté mon premier VC, je me suis mis la pression du même genre: je vais chez le marchand en train (à 100km de chez moi), et je rentre en vélo. Pas question de le mettre dans une voiture. Bon, j'ai quand même suivi la ligne de chemin de fer par précaution, mais avec une gare tous les 20km, et pas question non plus de faire demi-tour, il faut bien avancer dessus pour ne pas dormir dehors (oui, matériel de bivouac volontairement laissé à la maison aussi).
A bientôt pour tes nouvelles aventures

Y'a pas de honte à se faire plaisir!
Et ces plaisirs simples, de gamin ravi,sont parmi les meilleurs.

Je n'avais pas eu le temps de lire ces jours ci, mais mince Aldo, ce que tu as progressé..!   

Je suis super à la bourre, et moi qui suit tout content d'avoir trouvé deux belles mavic pour mon toscana..

J'ai plutôt intérêt à me remuer pour finir de le monter et venir rouler dans ton coin    

Trois semaines de pluies, éboulements de partout, routes coupées…
Après une énième nuit de pluie, ce matin je décide de faire un tour, au moins sur la piste cyclable. Oui parce que la situation sur les routes de l’arrière pays (même tout proche) est celle-ci.








La piste est toute mouillée, couverte de feuilles et de débris… je vais devoir laver le vélo… mais au moins se dégourdir un peu les jambes ! Promenade sans histoire, un ou deux faux départs, mais je n’ai pas oublié les premières leçons. Il menace de pleuvoir de nouveau… cette fois-ci je n’ai pas besoin des lunettes de soleil ! Sur une belle ligne droite je me place derrière deux cyclistes qui roulent assez bien, je regarde le compteur… 29… un peu plus loin je les double… 33…36… je ne croyais pas pouvoir tenir une telle vitesse sans cracher un morceau de poumon. A la fin de la piste on fait connaissance : échanges conviviaux, curiosité, plein de questions. Enfin deux types normaux, et très sympathiques ! J’avais l’intention de poursuivre jusqu’à un petit village pas loin, mais ils m’informent que la route est coupée… une autre de plus. Au retour il commence à tomber quelques gouttes. J’avais oublié que le dimanche, dès 10h00, la piste s’anime de promeneurs, joggeurs, chiens, personnes âgées, enfants, poussettes, trottinettes, et toute sorte de mammifères déambulant avec ou sans roues. C’est quand même normal, tout le monde a envie de prendre un peu d’air après ces dernières semaines de mauvais temps et avant un après-midi qui s’annonce encore mouillé. Et puis… la première chute… heureusement banale et sans conséquences : près du centre ville, une route croise la cyclable, les voitures ont la priorité, donc j’anticipe, je passe sur le petit plateau et je roule au pas. Une voiture semble s’arrêter pour me faire passer, le conducteur m’ bien vu, je suis en train d’emprunter le passage mais tout à coup il avance, je suis pris au dépourvu, je freine mais je n’ai pas le temps de déclipser… me voilà par terre. Le gars ne s’arrête même pas…

Pour finir, en tant que auto-nommé chroniqueur des lointaines contrées de Ligurie, je signale qu’enfin ils ont réussi à enlever quelques wagons du train qui a déraillé il y a un mois, et qui a failli tomber en mer. La reprise de la circulation normale sur la voie ferrée est prévue dans un mois minimum… car maintenant il est question d'enlever le locomoteur et un wagon qui sont penchés sur un côté et qui risquent de tomber en mer.







L’éboulement qui a provoqué le déraillement a été causé par une terrasse-parking qui surplombait les rails et qui s’est effondrée à cause des pluies. Je vous passe les polémiques sur la qualité de la construction, sur le permis, sur ceux qui on fait le projet, ceux qui l’ont approuvé, ceux qui l’ont construit et ceux qui ont ( ?????) contrôlé. Je m’abstiens de tout commentaire car sinon mon post nécessiterait d’une centaine de pages.

Salut Aldo    " en tant que auto-nommé chroniqueur des lointaines contrées de Ligurie"    Et objectif   

Pour ta participation au forum    ( on attends la suite )

Je te propose ton avatar ( t'en fait ce que tu en veut !)  

Merci cafouille, je le considère comme un cadeau et comme un signe d'amitié ! C'est chose faite, mon avatar est désormais mis à jour.

Pour ce qui est de la suite, il faudra patienter. Pour changer un peu… il pleut de nouveau ! Et lorsqu'il fait beau je dois travailler. Et en plus en ce moment j'ai pas mal de soucis… mais ça c'est une autre histoire et ça ne concerne pas le forum. Je te dis donc à plus.