BRM400 d'Yvré l'Evêque (72) : 17-18 mai 2014.

Pour un lever de soleil en baie du Mont Saint-Michel, c'est ici : http://www.cctyvreen.org/brm.php    

Sauf Trafalgar (météo et/ou pro), il y aura déjà 2 VC au départ.  

Finalement, il y en eu 3 !
Merci à Thomas et Michel de leur soutien tout au long de ce BRM  

Merci pour ce reportage pour le moins concis   

Remettez vous bien... et faites nous partager votre aventure (sur mes terres) ;

On aimerait bien avoir qques comptes rendus pour le site de l'association aussi   

En voilà un BRM sympathique… J’avais prévu de passer la nuit avec Michel, rencontré à l’occasion du 300 de Bellerive, et qui avait su motiver le novice en LD que je suis… mais surprise, au départ, un troisième larron, Pascal35, fermement décidé à se coucher aussi, s’est joint à la fête : nous ferons donc ménage à trois.   

Départ à 20h des 25 participants (dont 3 VC) en direction de la baie du Mont Saint-Michel…  

A l’occasion de la pause « technique » des 35 km, nous laissons filer une partie de la troupe et prenons notre rythme de croisière couchée…
La nuit tombe vite et au premier contrôle à Vilaine la Juhelle, nous nous habillons pour la nuit : pyjama en pilou-pilou, bonnet de nuit, grosses chaussettes...
Les kilomètres défilent ensuite sans que je m’en rende vraiment compte : perception du temps différente, pas de repère visuel – pas de stress avant les montées, nombreuses et variées sur ce parcours accidenté ! -, pas de compteur visible…
Les jambes étaient bien et à ma très grande surprise, nous avons roulé toute la nuit sans éprouver le besoin de dormir… Faut dire que la fraîcheur nocturne n’incitait pas non plus à se poser dans un coin pour piquer un somme !    

Nous louperons le lever du soleil sur le Mont car nous sommes arrivés trop tôt dans la baie… Pause à Hirel, à mi-parcours où les organisateurs avaient eu la bonne idée de proposer un petit ravito dans un local au chaud… Je m’allonge pour faire glisser le café et part pour 10’ de sieste…   

Le retour s’effectue dans des contrées magnifiées par un soleil éclatant et chaud, par monts et par vaux – même si j’ai eu l’impression qu’il y avait plus de mont que de val ! - , dans des paysages champêtres à souhait...   

Le final, aux dires de certains au départ, devait être musclé… et effectivement quelques raidards ont conclu ces 411km de découverte à vélo et d'effort partagé.  

Bilan très positif :   
Nous fêtons avec Pascal notre premier BRM400km… même pas mal !...
Hormis quelques fourmillements dans les pieds aujourd’hui, aucune douleur particulière ne s’est manifestée… même les coups de soleil ont été évités.
Equipements et alimentation validés. 

Ne reste qu’à poursuivre ce noviciat en essayant un BRM 600 prochainement…  

Bravo à vous tous,
En te lisant Tijojo, j'ai l'impression que tu n'a pas plus peiné que sur un 200...
T'es très fort
A bientôt
Cyrano

A quelle heure êtes vous dont rentré ?
Passant près de la maison au retour, j'imaginais aller vous faire une bise avant d'aller dormir un peu. ..

et ben c'est du sérieux !   
le CR est agréable, on ressent bien le côté cool de "votre rythme de croisière couchée"  
la nuit est vraiment magique, et avec "un bilan très positif" ressenti c'est de bon augure pour la suite !!!
@sébastien :
"A quelle heure êtes vous dont rentré ?"
dans les temps impartis apparement ... l'important est de penser à une distance encore plus longue   
Bravo à vous trois     

Le rythme de croisière couchée, ça a été simple : je n'ai pédalé que sur le plat ou en montée... et dès que ça descendait, je laissais filer et je rêvassais en regardant les vaches le jour et la nuit, en les imaginant en train de nous regarder filer dans nos habits de lumières...  
Bilan : sur un parcours accidenté tel que celui de ce 400, on a mouliné pendant 200km et laissé filer les 200 autres... alors, à l'arrivée, c'est tout pareil que pour un 200km plat : Cqfd et toc !  

Spoiler:

Quant à notre heure d'arrivée, cela ne pouvait être qu'un moment de plaisir supplémentaire.... soit 19h, l'heure de l'apéro !   

@Serge : j'y pense... et espère pouvoir essayer un 500 ou un 600...  

Et vous savez pourquoi Tijojo "dès que ça descendait, il laissait filer et rêvassait en regardant les vaches le jour et la nuit" ?
Parce que tijojo est très solidaire et qu'il n'a qu'une parole.
Il avait dit : on est 3 VC au départ, on finira à 3 VC.
Sauf qu'il ignorait qu'un des 3 VC s'est avéré être un boulet, assez à l'aise dans les 200 premiers km, mais vraiment pas bien dans les 200 derniers très vallonnés, où il ne nous a été épargné aucune bosse.
Le boulet c'est moi évidemment.  

Encore merci tijojo