Bonjour,
Eh oui ces publications, très courantes à l’époque et dans la veine du célèbre magazine « Système D » sont le témoignage que l’on n’invente pas grand chose de nouveau aujourd’hui.
Les obligations restrictives de la dernière guerre avaient engendrées nombre de réalisations plus ou moins heureuses et dont la philosophie s’est retrouvée jusque dans les réalisations de la construction automobile de la fin des années 50 (Biscooter Voisin, Mathis 333, Isetta Velam, Ds Maltere, Dyna Panhard, Vespa 400, etc...et j’allais oublier celles de mon ami René Bonnet.)
Cette grande privation aura eu comme pendant le « jamais plus cela » de ceux qui l’on vécu. C’est ainsi que l’on est parti vivre à l’excès inverse des repas trop copieux et de voitures à la consommation sans importance.
Merci Trigouille de nous mettre sous les yeux un petit coin de la raison de notre histoire.
Dominique Perruchon