le monoxyde d'azode:
voâr aussi: document INERIS http://thevenet.jean.free.fr/seuil_monoxyde_azote.pdf
d'après ce document c'est pas toxique...
mais je pense que "dans la vie" ce gaz diminue la résistance aux autres polluant et que ce document n'en tient pas compte.
j'ai estimé..
concentrations estimées quand une voiture HDI (Horrible Diesel Irritant) dépasse un vélo.
- après que la voiture se soit éloigné de plusieurs centaines de mètres, parfois 1km ou 2 minute temps, ça sent très nettement
donc plus que 0.3 ppm au dessus du seuil offalctif, et ce encore après 2 minutes de passage de la voiture en condition air relativement stagnant, ou sous les arbres ou contre une falaise.. cette concentration peut être atteinte en air ambiant en hiver (exemple dans les 300 à 400 midromgrammes/mètres cube le jour de la course d'aviron de décines 2008 vers le 17 février)
- nez qui se met à pisser, effet irritant difficulté à respirer: équivaudrait à des concentrations de l'ordre de 50ppm, pour laquelle on observe des effets mais en divisant par dix tenant compte des échanges gazeux multipliés par l'effort... 5ppm suffisent déjà à gêner.
la ventilation pulomaire amplifie bien, car passager d'une voiture avec fenètre ouverte, je suis bien moins gêné qu'en vélo si on suit une citron haine C3 (un véhicule appartenant à la catégorie KILPULPIR)
1ppm = très grossièrement 1000 microgrammes par mètres cubes.
derrière le cul d'un HDI en sous régime donc, ponctuellement on aurait au moins 10 peut être 30 à 100 fois derrière une voiture que devant par rapprt à un air ambiant de pics de pollution hivernaux.
Ce qui semble normal: la proximité concentre beaucoup.
Si on se trouve dans le sillage d'une voiture durant 30" en moyenne après son passage, alors le seuil du gênant serait de l'ordre de une voiture toutes les 5 minutes ou tous les 2km environ! (si elles roulent vers 60 km/h de plus que le vélo)
c'est bien ce que je constate sur les petites routes ou les HDI dysfonctionnent, même quand il y a du vent (si il n'y a pas de vent c'est pire, le sillage perdure parfois plus de 1000m)
- en cas de rapidité du vélo, la ventilation est plus forte (exemple 150 litres d'air par minute pour maintenir 350 watts) mais aussi la voiture ne s'éloigne pas vite du vélo surtout sur petite départementale (par exemple 55km/h alors que le vélo va à 40): ça peut ainsi puer longtemps après que la voiture à dépassé, le temps qu'elle s'éloigne de 1000m prenant... 4 minutes!
- le NO devient vite du dioxyde d'azote, ce qui se voit dans certaines conditions de lumières (air "rouge")
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contrôle de la respiration: si plus lente mais plus ample les pulses baissent (de presque 7 pulses/minute), mais la sensibilité à la pollution augmente. Je repense à mon hypersensibilité anormale en aviron qui s'expliquait par le controle de la respiration avec une forte amplitude et une synchronisation sur les coups de rame: en endurance 1 cycle par coup de rame, 10 cycles de 6 litres environ par minute= 60 litres/minutes
en compétition ou entraînements intenses 2 cycles par coup de rame, 60 cycles par minute et donc 360 litres/minute, un cycle sur deux étant écourté (celui fait durant le retour de coulisse), 300 litre/minutes serait plus proche de la réalité..
à comparer avec le repos 8 litre par minute: compétition 300/8 = 37 fois plus, entraînement autour de 8 à 10 fois plus.
6 litre par cycle car je ne force pas systématiquement au bout des réserves inspiratoires et expiratoires, ce qui ferait alors, en tel cas 8 litres/cycle.