L'Espagne !

Pour ma part j'ai fait deux voyage en espagne de deux trois semaines dans les années 90 chaque fois en train. Jamais de problème avec les vélos sauf sur certains trains renseigné comme ne les acceptant pas. Nous faisions des réservation pour les vélos dans les trains avec peu de place pour les vélos.

Je confirme les monts cantabriques et les pics d'europe sont de toutes beauté.

Eviter la région de Madrid pour les campeurs sauvages, elle n'est pas très accueillante.

Les routes était déjà pas mal à cette époque là.

Si tu veux, et avec son accord, je peux te filer l'adresse mail d'un ami qui connait super bien l'espagne et depuis très longtemps (il y allait déjà du temps de franco).

BAT

discoveur700 a écrit:

Un vélo pliable offre un énorme intérêt SI il rentre dans les standards imposés par les compagnies pour les bagages à main...

Pour l'Avion, hors à changer de continent je préfère éviter, emballage, démontage et autres joyeusetés et surprise.

Ca le fait !!
Mais ne confonds pas les bagages a mains qui voyagent directement en cabine et les bagages qui ont le droit de voyager avec réservations (en avion ) et sans (en train par exemple)


les bagages gratuits par personne ne pourront excéder (pour la SNCF) :

deux bagages à main (valises, sacs à dos, sacs de voyages) par voyageur ; ou
un bagage à main et un objet par voyageur (une poussette d'enfant, un fauteuil roulant, une bicyclette dont les roues démontées sont rangées ensemble dans une housse spéciale de 1,20 x 0,90m maximum, une planche nautique rangée dans une housse de 1,20m x 0,90m au maximum, une paire de skis, un monoski ou un snowboard, un sac contenant un animal domestique « de petite taille ») ; ou
un bagage à main par voyageur et un bagage 50cm x 50cm x 50cm ; ou
un bagage à main par voyageur et un instrument de musique.



Emballé dans sa sacoche (encore plus discret) un Brompton (le top) ou un Dahon (le mien)rentre dans les dimensions
Une remorque Radicale et tu t'affranchis de toutes les réservations ferroviaires
Et avec un moyeu a vitesses ,t'as même plus a flipper pour l'emballage en avion,le sac de transport suffit.

Dans ce bordel (et encore les roues devraient être dans la remorque )


Il y a


Bon ,ca fait mal au cul ,mais au moins le trip peut se faire dans de meilleures conditions!
nous avons meme prix un taxi sans supplément
Le sac de transport est indispensable car il camoufle la vue du vélo ,seul frein au transport ,l'objet,pas l'encombrement!!.
Vous l'aurez compris ,pour moi le voyage intermodal se conjugue aux pliants,c'est si évident quand on l'a vécu!

Leloublan commercialise un vc pliant ,si vous voulez vraiment rouler couché!

Bon c'est que vous donnez envie d'y aller en Espagne !

A moins que bison_couché ne se transforme en bison-futé du train reste la solution du bus. La compagnie Alsa prend jusqu'à 4 vélo par transport. Pour cela un modeste supplément de 10 roros, un emballage sommaire et la roue avant démontée. Le vélos voyagent en soute. En prenant une gare routière de retour autre que Compostelle, je pense que les bus sont moins blindés.

Cela doit être jouable, le siège du bacchetta giro se démonte bien, ce qui le rend le cadre simple à enrubanner. La remorque extrawhell prend à peine plus de place qu'une roue normale.

Reste la question de la route si je vais vers Compostelle.

Je mets de coté les chemins, manifestement réservés d'une part aux marcheurs et aux vététistes légers et plutôt performants, toutefois je prends mon giro et non mon méta. Ce dernier monte mieux mais je préfère un destrier équipé de pneus rando et tout chemin et d'un méga frein à disque au cas où...

Donc au choix

La voie du Nord

http://www.chemins-compostelle.com/Images/FR-ES2/Compostelle-CC2.jpg

Le bord de mer, avec du relief à gogo, pas mal de campings

OU

La voie Française

http://blog.sushilabs.com/wp-content/uploads/2009/04/compostelle-camino-frances.jpg
Et l'avantage qu'une eurovélo y existe déjà et même un guide http://www.editionsouestfrance.eu/media/catalog/product/cache/1/image/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/5/9/59668_hr.jpg

Les avis sur le net sont partagés, et vous qu'en pensez vous?

discoveur700 a écrit:

bison-couché, en fait le gros soucis c'est que je ne capte pas un mot d'Espagnol, euskotren c'est un site de transport régional je suppose? Penses tu que revenir vers San Sébastien (avec changements bien entendu) depuis "carrément plus à l'Ouest" que Bilbao avec le vélo soit possible? Je dois dégoter un site pour la région de Lugo par exemple

Depuis plus à l'ouest il y a la possiblité de consulter le site de la renfe* de nouveau.
P.ex.:
Lugo - Burgos se fait en train de nuit de 19.26 à 02.12
puis depuis Burgos tu peux carrément aller jusqu'à Hendaye de 07.46 à 11.17
Le hic évidemment est l'attente entre les deux trains...


* consultable en français. Pour le reste nul besoin de connaître l'espagnol: en Gallice on parle le gallego (ressemble plus à du portugais), l'asturiano aux Asturies, le cantábro en Cantabrie et puis finalement l'euskera au Pays Basque bien sûr.

discoveur700 a écrit:

Reste la question de la route si je vais vers Compostelle.

La voie du nord sans hésitation.
C'est que l'autre route me semble assez monotone en vélo (surtout Léon - Burgos). Si en plus tu t'y retrouves en plein cagnard (> 35°c) ...

j'ai fait en I999 et en VD
la Bastide d' Armagnac - St Jacques
itinéraire "français"
des tronçons parfois sur piste cyclable ..tres large et pourrie de déchets qui est en bordure de voies rapides avec des des gros bahuts
d'autres parcours sont plus tranquilles
attention au vent s'il est d'ouest et a la chaleur
*pour le retour de St Jacques je sais que les Hollandais qui vont a St J. en velo peuvent revenir avec un service spécial de cars
*emmenes qq pieces de rechange car parfois les villes sont détournées avec deviation etc
et "Ud no habla Espanol"!!
Papy volant

Bonjour
tu fait ta balade en Espagne avec quoi comme vélo ?
Merci

Justement j'allais en parler...

Suite à vos avis et à plusieurs récits du net, je vais m'orienter vers la route du Ch'Nord Espagnol avec sans doute un beau détour en Galice. Je pense que les étapes seront assez réduites, en effet en regardant un peu je constate que la météo peut être assez "fun" avec notamment de la pluie et des températures qui peuvent être frisquettes la nuit en Montagne. Donc j'aurai quand même quelques affaires pour ces paramètres dans la remorque extrawheel en plus de la tente, duvet, réchaud... Tout cela avec un relief manifestement prononcé.

Malgré cela je ne prendrai pas le méta qui est plus léger (alu contre acier) et grimpe mieux. D'une part il est chaussé route en 23C, j'aime bien les petites routes par moment, voir les pistes si j'en trouve. Le giro plus lourd, compense avec une position confortable à la journée, des pneus de randonnée résistant offrant un peu de grip et du roulement, un porte-bagage, un frein hydraulique avec un grand disque à l'avant, des gardes boue et comble du raffinement du cyclo-campeur une béquille .

En développement je suis assez large avec un triple dont le 24x34 intéressant indispensable pour grimper chargé. Son siège se démonte bien au besoin et surtout sa position de conduite avec le guidon bacchetta, moins aéro ou sportive est hyper relax pour voyager...

Coucou de Santillala del Mar, desole pour les fautes mais clavier qwerty...

deja plus de 400 kils dans les pattes depuis lundi, tout cela avec un gentil vent de face, de la pluie les 4 premiers jours et j y reviens un vent de fou qui frappe par bourasques. je monte les cols a 12 et les descends a 25 maxi, j ai meme du quitter un peu la cote car temir debout devenait delicat par momemt en debut de semaine.

du coup j ai fait de la grande route, du chemin, de la piste, vive le giro

bon malheureusemeñt l aventure va s arreter la, j ai desserer par erreur le reglage rapide du siege suite a un portage pour passer un petit pont sur une piste.

j ai senti une douleur a un genou. j ai pas coñpris et j ai roule, mais je me suis pas rendu coñpte que le siege a legerememt recule (plus assis, mais aussi plus loin des pedales. du coup j ai choppe une petite tendinite a un genou (nouveaute pour ma pomme). il a fallu rouler pour trouver un camping et la bobo plus serieux, ca tire mechant et je vais devoir arrete la balade, car je sais que seul le repos est propice a la guerison et je prefere pas trop facher l inflammation. Bus puis train apres le repos improvise de demain aui portera conseil (et bon resto pour gouter ), dommage il commancait a faire beau

Le plus dure a ete de prendre la decision, c est fait, le moral est la et autant pas se bousiller pour de vrai comme y disemt les enfants

Pfff la gigne... effectivement ne pas insister est raisonnable, bon retour!

Aie, désolé pour toi! Si tu as le moyen d'y arriver, le temps, etc repose-toi quelques jours à San Vicente de la Barquera. Petite ville au bord de la mer très jolie. A une 40-aine de km de Santillana.

merci pour cette info, j ai visite santillala del mar aujourd hui, rien que cette petit sortie a pied m a fait comprendre aue je suis hs question velo. Et j ai recu un coup de main du ciel, il a encore plu toute la matinee, donc depart sans regret demain matin pour un bus alsa en croisant les doigts que le giro soit accepte, je suis confiant avec un film alimentaire enrubannant le pedalier, j ai la de quoi faire rever le plus pointilleux des chauffeurs .

Je relance ce post, nous partons en décembre, pas encore décidé si en Trike ou à pieds, cela dépendra de la tendance météo.
Ce sera le chemin du Nord, nous avons fait St Jean Pied de Port Burgos à pied il y a cinq ans déjà, et en décembre, nous ne sommes pas tentés par la suite.
Y a-t-il des retours d'expérience?
Ultreya

Bonjour,

Je reviens tout juste d'un voyage de 6 semaines en Espagne du nord. Je l'ai fait en velo droit et c'est probablement le dernier en VD, la prochaine fois : trike !
Je suis parti d'Hendaye et j'ai rejoint le delta de l'Ebre au sud de la Catalogne en passant par Teruel et je suis revenu par le Somport.
Mon  projet était de visiter l'Aragon et de me rendre sur les lieux historiques de la guerre civile.

Sur le plan pratique :

- Je confirme que le transport des vélos en car est aisé.  Avant de partir je m'étais renseigné sur le site Railandbike.net qui donne la liste des compagnies de cars qui acceptent les vélos dans tous les pays d'Europe Très utile ! En fait je ne l'ai pris que deux fois en aller retour pour visiter Saragosse et Teruel car je n'aime pas trop l'abord des grandes villes en vélo. 
Avec un trike le transport en car devrait être possible à condition de pouvoir l'envelopper dans un sac en toile et bien sûr de le replier.

- Circulation. Les petites routes secondaires sont en général totalement désertes. Les axes principaux sont par contre extrêmement chargés mais certains axes secondaires " moyens " peuvent l'être aussi et des axes pricipaux très peu. A voir sur place donc. Je n'ai pas hésité à modifier à plusieurs reprises mon parcours.
Je n'ai rencontré aucun problème avec les poids lourds que j'ai trouvé, contrairement à une légende tenace, très respectueux des vélos, au moins des vélos chargés : dėport systématique sur la voie de gauche si ils le peuvent. Et parfois même des petits coups de klaxon d'encouragement. Que demande le peuple !

- Logement. A l'exception des régions très touristiques - dans mon cas le versant pyrénéen - les campings sont rares et souvent peu agréables. Il n'y a aucun équivalent en Espagne de notre myriade de campings municipaux, ce n'est pas la même culture.
Je me suis trouvé parfois en réelle difficulté, un certain nombre de gîtes municipaux ou d'AJ ayant récemment fermé, austérité oblige. Restent les " casa rural " et les hôtels mais ce n'est pas le même prix, même si globalement ils restent un peu moins chers qu'en France.
Je n'ai pas fait de bivouac sauf dans les Pyrénées.

Sur le fond, et donc l'essentiel. ..  :

- Je me suis senti heureux dans les petites villes où les petits commerces sont encore bien présents ( les grandes surfaces n'ont pas encore sévi ). La fréquentation des quartiers varie du tout au tout selon les heures de la journée et c'est aussi bien dans un cas que dans l'autre, désert ou animé.

- Le paysage aragonais est parfois superbe, avec d'étranges jeux de lumière, parfois endommagé par la présence intensive d'élevages porcins ( à côté la Bretagne c'est de la bibine ) et d'éoliennes par grappes massives et compactes ( toute considération écologique mise à part ).

- A ma grande surprise le souvenir de la guerre civile est resté très vif dans les campagnes et les petites villes. Dans les grandes agglomérations c'est évidemment autre chose.
La mémoire des événements y est transmise jusqu'aux nouvelles générations avec ses convictions fortes, ses ressentiments et ses haines. Elle est présente aussi dans le paysage où d'innombrables fermes bombardées sont restées telles depuis près de quatre-vingts ans.
Les lieux de la guerre sont visitables, mais parfois difficilement accessibles,  avec des panneaux explicatifs bien faits. Pour qui s'intéresse à la chose c'est profondément émouvant.

- Le sud de la Catalogne, qui est un peu son mezzogiorno, m'est apparu plus ouvert que l'Aragon. Sublimes et sauvages paysages du massif montagneux de Beseit, brumeux delta de l'Ebre.
La question sensible de l'indépendance est à évoquer prudemment quand on n'est pas entièrement d'accord mais on peut quand même en causer.

- Il faut s'attendre partout, sauf dans la dépression de l'Ebre à un relief rude : Moncayo, Maestrazgo etc.

Il y a encore plein de choses à dire mais je ne voudrais arrêter là ce message déja trop long. N'hésite pas à poser des questions.

Merci de toutes ces infos, le voyage est diffèré, statistiques meteo 45% de pluie en decembre, ma femme freine à fond, je veux la garder

toumwin a écrit:

Sur le plan pratique :


- Logement.
- dans mon cas le versant pyrénéen - les campings sont rares et souvent peu agréables. Il n'y a aucun équivalent en Espagne de notre myriade de campings municipaux, ce n'est pas la même culture.
Je me suis trouvé parfois en réelle difficulté, un certain nombre de gîtes municipaux ou d'AJ ayant récemment fermé, austérité oblige. Restent les " casa rural " et les hôtels mais ce n'est pas le même prix, même si globalement ils restent un peu moins chers qu'en France.
Je n'ai pas fait de bivouac sauf dans les Pyrénées.

je ne parle QUE des campings des Pyrénées espagnoles:
-c'est vrai: pas de campings municipaux.
-mais il y en a 1 presque en bas  de chaque vallée (= en bas des cols), même si on est loin de la foultitude de la France
(exemple: une dizaine de campings au pied du Tourmalet à Bagnères de Bigorre, et quelques autres dans la montée;
autant à Lourdes (mais pour d'autres raisons...).
Plus onéreux dans les sites les plus visités.


Ce qui est tout de même pratique pour le cyclo-campeur est que les campings font en général - aussi- restaurant!+++++.
Ce qui résout/facilite  le problème du ravitaillement.
Ils sont aussi ....pas très chers et ....copieux.

Nous partons en Andalousie en Avril pour 15 jours
pas de vélo couché au programme mais les vélos pliants plus pratique pour l'intermodalité .

pensez vous qu'il est raisonnable d'y embarquer ma douce dans cette aventure sachant que son niveau est...moyen (mais le vélo légèrement assisté)?
nous prendrions les bagages (sans couchage ni cuisine).
Nous voulons absolument privilégier le coté tourisme au coté "sportif".
le bord de mer semble bétonné, nous nous en éloignerons et a priori nous ferions un triangle :
Malaga/Seville/Cordoue/Grenade/Malaga.
bien sur il n'est pas exclu de prendre un bus ou un train si nécessaire .
mais je veux a tout prix éviter des parties de manivelles sans fin dans du 10% .
Si nécessaire , je loue une voiture ..je tiens a mon couple!
Je suis preneur de tous les conseils et infos.

Bonjour Armandos,
J'ai toujours trouvé les trains espagnols très bien. Nous avons visité Séville, Grenade et Cordoue il y a trois ans en février; tous les trajets là-bas en train. Il n'y a pas de grandes montées sur les portions entre Séville et Cordoue, on peut plus ou moins suivre le fleuve Guadalquivir. Par contre, Séville-Grenade fait trois heures en train, il faut bien regarder les distances à mon avis si madame ne veut pas pédaler et il doit y avoir bien plus de dénivelé. Je n'ai rien fait de ceci à vélo mais rien qu'en ville à Grenade, pour monter à l'Alhambra, il faut bien marcher, c'est assez raide sur environ deux kilomètres. C'est joli et je ne le ferai pas en voiture mais il faut le savoir. Ces villes sont magnifiques.
Bon voyage.

J'ai fait cette balade aux environs de Pâques en 2003. C'est un coin formidable, même s'il y a qqs difficultés à franchir. Nous étions en tandem et ma compagne pas très affutée, mais on s'est bien amusés. Les Espagnols sont supers car ils respectent plus les cyclistes (enfin, dans l'ensemble) et on se fait très souvent encourager par des VENGA VENGA.

c'est rapé!
impossible de transporter (légalement) la batterie du vélo de ma douce en avion
Limité a 160w.je ne veux pas qu'elle finisse dans une poubelle dans la zone de contrôle.
Vu le dénivelé , j'ai réservé une voiture. Y'aura peut etre moyen de louer un vd sur place
merci pour les intervenants .

Salut,

oui, ça devient très problématique de ne plus pouvoir transporter ses batteries de vélo assisté par avion.


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J'envisage pour ma future retraite: un tour du monde de 2 à 3 ans avec mon trike prochainement assité.
Cela serait galère sans batteries, voire trop onéreux???

Après avoir fait preuve de persuasion auprès de ma douce , on laisse tomber la location de la voiture.
Ce sera Brompton et Dahon + train ou bus.
Ouf j'ai eu chaud!

Comment as tu fait, as tu un truc ? (car moi je n'y arrive pas)

Armandos a sans doute des arguments que tu n'as pas... Question de savoir faire :-)

Pourtant Durbin est bien plus beau gosse que moi et nettement plus rapide sur un vélo !

Plus sérieusement, prendre la bagnole faire 50 kms, s'arrêter pour la pause photo. Se faire suer en' ville..
Trouver un parking pas trop craignos..
Décharger,recharger. Aucun contact, aucune odeur..
Y'a pas photo !
Seul le dénivelé sera un frein au plaisir
Vu que le dkt nucléaire reste au garage..