En attendant de pédaler.. Une petite "Romance du vélo couché" sur l'air de la romance de Paris…
LA ROMANCE du vélo couché.
Je l’avais depuis deux jours à peine,
Que déjà je roulais dans la plaine,
Mais qu’est-ce que ça me rendait heureux,
Mon dos n’me rendait plus malheureux.
J’pédalais sur un vélo étrange,
Qui fonçait aussi vite que les anges,
Plus besoin d’attendre le printemps, oui,
Pourvu qu’ça dure plus que nos vingt ans.
REF : C’est la romanc’ du vélo couché,
Qu’au coin des rues on nous envie,
Car on voit bien qu’on est heureux,
D’avoir les yeux face au ciel bleu.
Quand on pédal’ dans les faubourgs,
Ou qu’on s’arrête dans les cours,
C’est tout le mond’ qu’en est ballot,
C’est la romanc’ du vélo couché.
La montagne était leur vrai domaine,
Mais ils roulaient aussi dans la plaine
Quel régal vraiment c’vélo couché
Sans douleur pour pouvoir naviguer.
Pas besoin de hanter les guinguettes,
Car descendr’ à fond vous tourne la tête,
Si quand ça mont’ tu pourrais caler, oui
Tous couchistes autour te diraient.
AU REFRAIN (bis).