Coucou ! Me revoi
yez-vous ? Voyez ces bonnes dames, point effarouchées par mes manières, j'en suis tout attendri. Sérieux, mh.
Non, je n'ai pas été échaudé par laurent, le traîtrissime à la cause
bentique, j'avais moi-même déjà un certain degré de conscience quant à la non-adéquation entre le bent et mes usages (la preuve : "mésusage"...). Et puis, tenez, je m'en vais vous raconter un truc marrant.
Mardi soir, du côté de la place Rogier, j'aperçois un bent devant moi, rase-moquette. La chaussée descend, y a pas beaucoup de trafic, je donne trois bons coups de pédale pour me lancer et m'assois sur le porte-paquet, le buste couché sur la selle, bras tendus, comme quand j'étais petit (ici, il a fallu caser le bide derrière (sous ?) la selle). Vrai que je suis assez lourd, mais, bien aérodynamique, comme ça, je ne vous ai fait qu'une bouchée du malheureux fend-la-bise ! Bref, le mythe du bent s'effondre un peu plus en moi !
Mais attendez, attendez ! Dès qu'il a si bien plu puis tant fait froid (c'est beau, tous ces monosyllabes (oh, dommage que "monosyllabe" ne soit pas monosyllabique)), j'ai commencé à fantasmer sur les velomobielen, voyez...
Salut !