Petites anecdotes de cyclo-campeur?.....Cyclo-camping,cyclocamping.

Un sale souvenir : après une chaude journée passée sur la route, je m'arrête au crépuscule devant une villa pour demander le plein de ma boutanche de flotte. Le f... de p... qui me reçoit avec le sourire part en cambuse et la rapporte... remplie d'eau de vaisselle sale ! Et je ne me suis rendu compte de la chose qu'au campement, sans possibilité de trouver un point d'eau avec la nuit tombée. Autant dire que j'ai maudit ce rat jusqu'à la 15ième génération !


Mais d'autres images empreintes de chaleur humaine bercent mon souvenir : les proprios qui, méfiants, ont autorisé cet inconnu d'aspect douteux (je parle de ma pomme) à tendre son hamac entre deux arbres de leur champ et l'ont invité au petit matin à siffler un café ; ce gendarme retraité qui presque de force m'a offert le gite et le couvert alors que je demandais simplement si je pouvais squatter pour une nuit le triangle d'herbe en face de sa propriété ; cet éclusier du canal du midi qui me fit les honneurs de sa maison, et en compagnie duquel je refis le monde devant une binouze ; cet ami rencontré sur le forum, bio à donf' et qui m'hébergea généreusement pour une nuit en Bretagne...


Merci à tous, amis généreux, et bon vent.

Tu te répètes....

le coup de l'eau de vaisselle est quand même incroyable !
c'est pire que tout je trouve, j'ai honte d'appartenir à la même espèce que ce genre d'individu !
avez vous lu "l'humanité disparaitra bon débarras" d'yves paccalet ?
j'adhère à 100 pour cent !

Encore une ch'tite anecdote marrante et je vous embête plus !

Camping baskets !

Je prends de gros risques à vous raconter ça !
En voyage ce printemps, nous trouvons un camping à Ronce les Bains.
La réception du camping est fermée à notre arrivée mais un client, ami du gérant, nous accueille et nous dit que la réception sera ouverte le lendemain matin à 8h00.
Après une bonne nuit de sommeil , le matériel est vite replié.
A l’heure dite, nous trépignons…8h00 : personne.
Comble de l’honnêteté, nous attendrons jusqu’à 8h20.
Personne ! hè hè !
Tels Bonny and Clyde, nous voilà partis, fiers de notre menu larcin, qui n’en est pas vraiment un, mais quand même !
Cette économie substantielle nous permettra d’améliorer notre repas de midi.
Nous filons plein nord depuis une vingtaine de kilomètres, l’incident déjà oublié, quand une voiture de Gendarmerie arrive en face de nous à vive allure et s’arrête subitement sur le bas côté.
Le gendarme au volant en sort et nous fait signe de nous arrêter.
En une fraction de seconde, nous avons compris :
Le gars du camping à appelé les flics !!!
Un homme et une femme (chabadabada, chabadabada) à vélos couchés, il ne doit pas y en avoir beaucoup dans le coin, et on a vite été repérés !

On n’en menait pas large quand on a mis pied à terre.
En une fraction de seconde, les scénarios les plus sombres se bousculent dans nos têtes…
Garde à vue, tribunal, quelques jours en prison (saura t’on s’occuper de nos vélos pendant notre emprisonnement ?), pire encore, une semaine de travaux d’intérêts publics ! bref, toute une vie qui bascule !
MdP (mort de peur). !
Le gendarme approche, un grand sourire aux lèvres et nous lance « vous en êtes contents de vos vélo couchés, je viens d’acheter un Challenge Furaï ! »

Je prends de gros risques à vous raconter ça !
Ben oui, peut être que ce bon gendarme est membre du forum …

gavacho a écrit:

Je prends de gros risques à vous raconter ça !
Ben oui, peut être que ce bon gendarme est membre du forum …

Celui-là je ne sais pas... mais il y en a...

Etape un soir au camping de Dixmude (belgique Flammande).
Ambiance pas très sympa, grosses caravanes, peu de place. On trouve un petit coin le long de la clôture de barbelés. De l'autre côté des barbelés, un champ de blés se dore au soleil du soir.
on se couche tôt pour récupérer des fatigues de la route.
Vers 22h, branlebas, lumières, ronflements de moteurs. Je risque un oeil hors de la tente. Une énorme moissonneuse est en train de récolter ces blés qui nous avaient semblés si accueillants...
ça durera presque toute la nuit et nous nous réveillerons le lendemain matin couverts de poussière...

Sur la route du Rhône, l'an passé nous arrivons à Pont d'Ardèche... Une jolie journée de route derrière nous et pas mal de fatigue cumulée les jours précédents. Pas envie de monter la tente!!!
Nous allons donc à l'office du tourisme et demandons ce qui se fait en hébergements pas cher dans le coin. Presque plus place nul part. On nous conseille une adresse qui fait chambre d'hôtes à 5 km de là. Tout content nous arrivons et la propriétaire me dit qu'elle n'a plus de place mais que nous pouvons poser la tente dans son domaine. en entendant cela j'étais au bord des larmes. Mon amie n'en revenait pas!!! Je décide donc de commencer par une sieste. Voyant cela, la propriétaire part puis revient quelques minutes plus tard en nous proposant des lits mais "il y aura du passage"... Nous allons voir et on prends: en fait c'était une pièce avec passage pour aller à une autre chambre.... Tellement bine, que j'ai entendu passé personne durant toute ma sieste et nous avons passé une nuit superbe!!!

Comme quoi tout les gens ne sont pas des peaux de vache!

En Normandie sur une petite départemental la nuit nous prend on monte la tente dôme vite fait avant qu'il fasse noir et dodo .
Vers 3h du mat des sangliers inspecte notre camps ...
on a pas oser sortir de le tente !
Au matin pas de bobo sauf une mauvaise nuit
ça nous apprendra a faire du camping sauvage !

Cette année là,histoire de changer,je faisais les grands cols alpins dans le sens sud-nord:

-j'arrive en haut du col de Vars,et j’aperçois un autre cycliste qui arrive pil-poil au même moment,venant de l'autre versant:bon......

-le lendemain.....j'arrive juste au sommet du col pour apercevoir en même temps la tête émerger de derrière le col: encore le même cycliste de la veille:
on se fait un p'tit salut de politesse (c'était l'été,et parfois les cols sont gavés de monde...)

-le 3è jour,je suis en vue du col,je me dis que ça serais rigolo si....,mais oui,encore lui! :et pil au même moment (je faisais du cyclo-camping avec mon barda mais pas lui:pas évident de si bien synchroniser...):
cette fois là on sympathise,et il m'explique qu'il est belge et qu'il fait tous les cols par l'autre versant,avec son camping car

-le 4è jour,bien que n'ayant rien convenu,j'arrive à l'autre col:cette fois-ci tranquille!....enfin l'espace d'une .....petite minute.... pour apercevoir le belge arriver enfin!

-le 5e jour (oui je sais ,ça devient lassant!) :rebelote!

Ah ! ces belges, ils sont indécrottables !

Ah, ça fait chaud au cœur ces anecdotes, du coup je me sens également l'envie de m'épancher et de vous donner du rêve !

Donc c'était ce week-end, avec Booz nous parcourions tranquillement le canal du midi depuis Toulouse. Vendredi, grosse étape, prévue du seuil de partage des eaux jusque Minerve, avec dodo un peu plus près du canal.

Bon il s'est trouvé que je me suis peut-être un peu planté dans mes calculs préparatoires, du coup on arrive à Minerve au coucher du soleil, après 120 km surtout sur chemin d'état moyen, avec des chargements pas légers, sachant que ça finissait par une colline de 150-160m de dénivelé... là, Booz, il en chié, ça lui apprendra à rouler avec un petit plateau à 30 dents

Or, à l'office du tourisme de Carcassonne (où on a traversé la ville par le chemin de halage, pas boonnnnne idéee, duuu touuut !), on n'a pas pu nous donner les adresses de dodo : Minerve, c'est pas dans l'Aude, c'est dans l'Hérault ! Eh oui !

Bref, gentiment, je rentre dans le premier restaurant, devant le pont d'accès. Y'a le patron et des potes à lui, pas un client. Après lui avoir demandé une table, je lui demande s'il saurait où on peut crêcher : là, une des dames présentes sait qui appeler... mais le numéro de l'annuaire est faux, c'est une autre nana qui le connait par cœur ; et la personne en charge des gîtes municipaux vient alors nous ouvrir un chambre avec deux lits et salle d'eau, juste ce qu'il faut quoi, et pas cher en plus !

Ben pour les remercier, on s'est cassé le ventre au restaurant, et on a pas oublié de picoler...

Le départ le lendemain s'est heureusement fait en commençant par 20km de descente...


[Au passage, on a donc parcouru le canal du midi, et le canal de la robine. Avec du chargement, l'Orca et surtout le Condor, sont clairement dans leur milieu sur ces chemins parfois proches de la piste, avec racines et trous, c'est vraiment du « cross-country ». ]

Je me permets de rajouter quelques détails de mon point de vue qui manquent pour parfaire cette description.

Citation :

Bon il s'est trouvé que je me suis peut-être un peu planté dans mes calculs préparatoires, du coup on arrive à Minerve au après le coucher du soleil, après 120 km (heureusement que je n'ai pas de compteur) surtout sur chemin d'état moyen merdique, avec des chargements pas légers, sachant que ça finissait par une colline de 150-160m de dénivelé... là, Booz, il en a grave chié, ça lui apprendra à rouler avec un petit plateau à 30 dents (avec surtout les 2/3 du chargement total, la prochaine fois, on pèse! )

Bref, super requinquage à l'étape et super dodo providentiel!

el sombrero a écrit:

Cette année là,histoire de changer,je faisais les grands cols alpins dans le sens sud-nord:

-j'arrive en haut du col de Vars,et j'apperçois un autre cycliste qui arrive pil-poil au même moment,venant de l'autre versant:bon......

-le lendemain.....(...)

-le 3è jour,(...)
-le 4è jour,(...)

-le 5e jour (...)

Et c'est tout ? Même pas un "et ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" ou autre chose du même acabit.

en turquıe, je me faıs surprendre par la pluıe et un bon vent.
Ma tente n etant que peu etanche je passe la nuıt dans un abrıs bus...
QUelque personne y vıenne et font semblant de ne pas me voır sous ma bache...

cet été,peu de temps après avoir planté ma tente au camping et installé ma ligne à linge (je n'avais pas encore fait ma lessive,et donc pas encore sorti mes mini-pinces à linges),
1 autre cyclo-campeur vient me voir,et commence à papoter avec moi,en me donnant des conseils.
Il en arrive vite à me dire avec enthousiasme qu'il avait découvert un fil sur le cyclo-camping,et.....justement sur un forum où on parlait des vélos comme le mien (trike),
et où il y avait plein d'astuces de cyclo-campeur.

Modeste comme je suis,je n'ai pas eu le cœur de lui dire que j'étais "el sombrero"...... .

Près de Narbonne,au camping de Coursan qui entoure le terrain de foot:le camping est assez agréable.

cette nuit là,il faisait bien chaud,et mes 2 auvents de tente étaient bien ouverts (ça évite aussi d'avoir de la condensation à l'intérieur de la tente).

Vers minuit,je suis réveillé .....par la pluie???
Mais non,ça s'est arrêté de suite.

Mais j'entends dans le lointain un :"tchiit,tchiit,tchiit".
Le temps de réagir en terminant de sortir de mon sommeil,et le 2è passage de l'arrosage automatique du terrain de foot(au bord du camping) -venant de se mettre en route- crache son jet puissant sur ma tente:
je finis totalement trempé par le 3è passage ,avant d'avoir pu refermer ma tente à temps.

J'ai subi ce déluge 1/2 H durant.
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le plus rigolo dans l'affaire
est que j'avais subi la même mésaventure (même camping,même emplacement:je suis très rigoureux dans le choix de l'emplacement,et donc les mêmes choix me font souvent choisir le même emplacement) une bonne dizaine d'années plus tôt!

Bon,c'est un camping municipal,et en arrivant largement après 20h00,l'entrée fut "gratuite",ça console un peu.
Je ne fut d'ailleurs pas le seul à profiter de cette "gratuité",ce soir là (hollandais,espagnols,....).
La pénombre relative du soir,et la fatigue de la route ne m'avaient pas permis d'y repenser ....à temps..

Cet été, on va à un festival rock et on décode de revenir en rando vélo avec mon fils (vélo droit, pas encore VC) : on fait doucement parce qu'on a pas l'habitude 180 KM 2.5 jours. On se couche donc tard le soir du festival (genre 3 h du mat) et on part dans la matinée le lendemain.

Le soir, on trouve une pairie sympa pour camper en pleine cambrousse, tout au nord de la vallée de la Meuse. On plante la tente, on a la visite d'un chevreuil, on mange et on va vite se coucher, pour rattraper la nuit un peu courte de la veille. Vers 22 H, donc, dodo.

Vers 22 H 30, Pou tchi, pou tchi, pou pou tchi. De plus en plus fort. On a d'abord cru à un Kéké qui s'approchait en sonomobile. Mais il a bien fallu se rendre à l'évidence : il avaient choisi l'autre versant de la colline pour improviser une rave party.

A 9 h du matin, ça faisait encore pou tchi pou tchi et on avait tout de même réussi à dormir un peu...

Lors de mon périple cycliste à Saint Jacques de Compostelle, j'arrive à Saint Léonard de Noblat vers midi.
Il fait froid, le vent souffle et la pluie est entrée jusque dans l'église. Frigorifié, on m'indique le presbytère tout proche.
Je sonne et demande au curé un coin pour manger au sec. Comme il doit partir sans attendre, il me laisse seul dans sa cuisine avec une bouteille de vin en me disant de prendre mon temps et poursuivre mon pélerinage sans l'attendre.

Comme quoi qu'il existe encore des gens biens et non égoïstes.

Le petit camping municipal de Bosméléac au bord du lac du même nom en centre Bretagne est très calme. J'aime m'y arrêter sur mon périple habituel.En juin et septembre, il n'y a quasiment personne. La dernère fois, j'ai monté directement la chambre de ma guitoune (D4 T2 ultralight) dans les sanitaires. Je le fais systématiquement quand j'y suis seul. Eclairage, eau courante à portée de main et surtout ni pluie ni rosée sur la tente au petit matin, ce qui permet un démontage nettement plus sympa.
Ce camping est si calme qu'une colonie de chauves-souris a élu domicile dans les sanitaires (sous le charpente). A la nuit tombante, on peu donc observer un superbe balet insecticide. Je me suis donc intallé vers 21 heure sous mon vélum (En septembre, à Bosméléac, c'est carrément le désert) pour récupérer avant l'étape du lendemain. Le haut du vélum est constitué d'une moustiquaire assez grande. Un grand vélux laissait passer une clarté suffisante pour que je puisse voir à contre jour. Ne faisant aucun bruit, "camouflé" sous ma tente j'ai vu arriver assez rapidement plus d'une dizaine de chauves-souris apparemment très intriguée par cet intrus dans leur "propriété privée". Elles rasaient la tente en faisant un petit bruissement d'ailes très délicat. Je me demandais bien comment elles percevaient la tente avec leurs ultra-sons. Le tissus très léger ne devait pas leur apparaître ou bien flou alors. Elles ne devaient voir que le X de l'armature. J'ai pu admirer leurs évolutions pendant plus d'une heure avant de trouver le sommeil. C'était magique!

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J'ai immortalisé un des membres (trouvé déjà mort) de la colonie. C'est pas moi, j'vous l'jure. En fait, je l'ai posée sur le bouquin que j'étais en train de lire pour le contraste.

Le fond gâche un peu et donne un sentiment de malaise (le canon du pistolet ne serait-il pas monté à l'envers ?)

T'as raison, j'avais même pas fais gaffe!
Pour un miltaire à la retraite, ça la fout mal...
Pour ce qui est du choix du fond, j'ai pas trop réfléchi, je voulais juste que l'on voit la bébête le mieux possible. En fait, je fais un max de photos pour faire participer ma copine qui ne peut pas rouler.
De toute façon, je les préfère vivantes.

Le 9 juillet 2010, après 84 km sous la canicule avec la remorque au cul du VTT, arrivée au camping de moncontour.
Le camping manque de charme car il est ouvert depuis peu derrière la piscine municipale sur un terrain plat au dessus de moncontour: pas d'ombre et arrivée en côte. Au début, tout se passe bien: la gérante m'offre à boire en sortant une brique bien fraîche de jus d'orange. Elle me dit procéder de même avec tous les cyclos-campeurs, ce qui est plutôt sympathique. Pour la note, ça se corse: 8,5 euros pour un malheureux cycliste seul (elle me précise qu'elle me fait cadeau du vélo). Partout ailleurs, je paie entre 4 et 6 euros. Un camping-car long comme un jour sans pain arrive, prend le branchement électrique et paye 13 euros alors qu'ils sont deux à bord. Cherchez l'erreur.
Le camping base sa promo sur le calme de ses nuits... mais la gérante me conseil de sortir en ville car ce soir, elle a autorisé une petite fête au camping: une promo d'élèves infirmières fête la fin de sa scolarité.
Je vais donc jeter ma tente 2 secondes D4 sur un emplacement sans la moindre ombre et fonce aux sanitaires me raffraîchir sous la douche: enfer et damnation!!!! Je m'ébouillante: douche sans règlage possible et que de l'eau bouillante (j'ai appris plus tard que le mitigeur ne laissait passer que l'eau caude règlée au max en prime). Vous imaginez le bonheur après une journée de route en pleine canicule.
Je descends en ville (le terme n'est pas innocent pour qui connaît Moncontour) en craignant déjà le retour proche de l'escalade. Une pizza, une bonne bierre dans un pub et en retournant au camping, je croise la gérante en ville:"vous rentrez déjà?" me demante t'elle désapointée. Elle semblait craindre pour sa soirée.
A juste titre.
Jusqu'à 22h30, trois musiciens professionnels donnent l'aubade assez discrètement puis remballent. J'me voyais déjà dans les bras de morphée
Raté!!! Commence alors une musique endiablée dopée aux décibels et dont on ne retient que le rythme syncopé des basses. J'ai quand même tenu jusqu'à 2h30 du mat avant d'aller voir.
Au milieu de jeunes endormis ivres morts à même le sol, une clio portes grandes ouvertes avec 8 nanas dedans. Oui, oui, 4 devant et 4 derrière avec la musique à fond. J'avais pas encore le réflexe photo mais j'aurais dû immortaliser l'instant. Elles ont dû comprendre en me voyant que je ne plaisantais pas et ont coupé immédiadement leur crincrin. Sinon, je sautais à pied joints sur le capot (85 kg).
Cela ne les a pas empêché de perrorer jusqu'au petit matin.
Le lendemain, tous les campeurs m'ont remercié d'être intervenu et mon seul regret, c'est d'avoir attendu si longtemps.
Moralité, Moncontour est définitivement rayé de mes haltes.
[right]

Drôle de Berreta

Je dirais même plus: quel drôle de béret t'as !