Je rentre chez moi pour le WE...

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Et dire qu'il y en a qui on du mal à trouver leur route entre la Boverie et Tilf... La génétique hein des fois
[mode private joke off]

Meuh non, Môssieur, j'ai parfaitement trouvé, non mais !...

Après une nuit passée à Chaourse, Poupa a renoncé à effectuer le trajet en deux jours : il a fait halte à Meaux et a peut-être achevé son périple l'heure qu'il est.

Oufti !
C’est fait !
C’est bien le seul projet à long terme que j’ai eu depuis que je fais du VC et surtout depuis que je suis arrivé au bout de Levallois-Honfleur, il y a juste 2 ans.
Si j’avais fait 215 km en une 10aine d’heures, je pourrais en faire le 2ble en moins d’une semaine.
Vaguement programmé et déprogrammé plusieurs fois, la dernière en juin annulée pour cause de Festubert et de Levée de la Loire, je l’avais inscrit sur les 3 1ères semaines de septembre, la décision finale dépendant de la météo.
De retour de Buis, Claudine me demande si je serai présent la semaine suivante ou non.
Le piège se referme : puisque du beau temps est annoncé, j’y vais.
Alors que j’avais toujours envisagé un aller Tihange-VLG, ce sera inversé.
Premier souci, je n’ai pas de porte-bagage ; je récupère celui du Performer et l’adapte tant bien que mal au Volae, j’y fixe aussi basiquement un garde-boue.
Ensuite, n’ayant avec moi qu’une des 2 sacoches du superbe équipement acheté chez Lidl l’année passée, je me résous à partir d’autant plus léger.
Itinéraire à la louche, ligne droite déterminée par openrunner, affiné par la lecture de la carte.


...à suivre...

Bravo Poupa pour ta distance plus longue que la mienne

1ère étape, mardi 31 août
Départ de Vert-le-Grand dès que prêt ; en l’espèce après avoir contrôlé 10 fois la check-list qui n’est que dans ma tête et avoir traîné une dernière fois sur le forum, je démarre à 10 h 50’, direction plein est.
Le temps est beau pour le reste de la semaine mais le vent sera contraire ; 10-20 km/h mais en plein dans ma trogne venant juste de la direction vers laquelle je vais – NE quoi ! -, je n’aimerai pas ! (j’imagine déjà que par la loi de la vexation universelle, ça, ça fait un peu vieux jeu, on dit maintenant loi de Murphy, il aura complètement changé de sens la semaine suivante).
Après Corbeil puis Moissy-Cramayel, je remonte à travers la Brie vers Crécy-la-Chapelle et ensuite La Ferté-sous-Jouarre par des routes dont le moins que l’on puisse dire est qu’elles sont médiocres, revêtement grenailleux, paysages moyens, pas moches mai pas flamboyants non plus.
Cela change avec l’arrivée dans la vallée de la Marne
, la soirée s’annonce douce, je pousse jusque Château-Thierry où j’arrive vers 18 h 30’.
J’avise un hôtel dans la zone commerciale à l’entrée de la ville, soirée étape au milieu des VRP. Après la douche, je me présente au dîner dans mon habit de lumière : fuseau noir en forme de cuissard long, T-shirt flashy du lendemain et sandales de plage comme chaussures d’intérieur. Les 2 Leffe sont les bienvenues !

117 km (le compteur fait bien les choses, pour la 1ère fois, je dépasse - de 2 km - les 1000 km sur un mois ! objectif secondaire atteint !), 6 h 20’ ; 18,5 km/h, 800 m de D+ et je ne le sais pas encore ma plus grande pointe de vitesse en arrivant sur la N3, 63,1 km/h, soit un poil plus vite que durant ma semaine dans les Baronnies.
parcours de la 1ère étape :http://connect.garmin.com/activity/48347150

2ème étape, mercredi 1er septembre : ce n’est pas prévu mais ce sera la plus longue, en durée.

Départ à 9 h ! Remontée de la Marne sur 15 km avant d’attaquer le plateau du Tardenois par Le Charmel ; parcours vallonné qui me fait traverser un beau pays parsemé de petits villages flanqués tous de leur église romane.

Dans ma recherche constante du moindre effort, j’ai des réussites et des ratés : la confrontation des chevrons, des courbes des routes, des indications d’altitude, du cours des rivières apporte son lot de satisfactions et de déconvenues. Dans cette dernière catégorie, j’avise au nord de Fismes la petite route non chevronnée, au contraire des autres, qui doit me permettre de descendre dans la vallée de l’Aisne. Trop insignifiante sans doute aux yeux de ces messieurs Michelin, elle me propose, avant Musc(l)ourt, sans préavis, du 13/14 % pendant 100 m !
A la morne plaine de Sissonne
, succède le sud de la Thiérache, région de caractère aux subtiles nuances de ce qui n’est déjà plus l’été.
A 18 h, je décide de m’arrêter à la 1ère chambre d’hôtes venue, je ne veux pas prendre de risques, je n’ai pas vu le moindre hébergement depuis plus de 100 km.
Elle se présente ½ h plus tard à Aubigny-les-Pothées mais je ne reçois aucune réponse. J’ai déjà 150 km dans les roues.
Peu après, un panneau annonce l’Hôtel des Voyageurs à Renwez ; je laisse de côté la route de Charleville qui m’aurait entraîné trop à l’Est. Arrivé sur place, c’est pour constater qu’il est exceptionnellement fermé aujourd’hui. Il y a toujours, dans un voyage, un truc exceptionnellement fermé mais là, ça tombe mal.
Le choix est simple demi-tour descendant vers Charleville où je suis certain de trouver de quoi me loger ou continuation vers Revin où il y a 2 hôtels. De plus, me dit un habitant, la route est également en descente. Et comme les 2 villes sont l’une et l’autre à 13 km de Renwez...
Mon dernier passage par là est un peu lointain et mon souvenir incertain. L’appréciation de mon interlocuteur n’est sûrement pas basée sur une pratique cycliste !
Après une 1ère descente jusqu’au lac des Vieilles Forges, j’attaque la montée des Mazures, 140 m de dénivelé qui me mènent en 3 km à peine au toit de mon périple à 390 m d’altitude avant que je me lance dans la pénombre et dans la folle descente sur Revin, plus de 200 m plus bas (je ne regrette pas d’avoir fait cette grimpette en étant bien échauffé plutôt que d’avoir dû l’affronter le lendemain en entrée).
J’arrive dans Revin, je demande à des indigènes le chemin de l’hôtel, j’ai droit aux questions habituelles sur mon drôle d’engin et puis
-« vous venez d’où ? »
-« je suis parti de Château-Thierry ce matin »
-« ça fait beaucoup de km ! »
-« 170 » (non pas cent septante mais cent soixante-dix)
-« à votre âge ! vous avez bien la 50aine ! »
Eh, oui, je confirme, je l’ai !
Hôtel pour touristes avec surtout des retraités hollandais dont les vélos carbonisés tiendront compagnie au mien dans le local dédié.
Même tenue du soir, même régime liquide !

170 km ; 9 h 30’ de « selle » ; 17, 8 de moyenne, 2000 m de D+

Les 5 dernières étapes, groupées, encore une ga(r)minerie ! http://connect.garmin.com/activity/48347130

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poupa a écrit:

-« vous venez d’où ? »
-« je suis parti de Château-Thierry ce matin »

Ce n'est pas du tout la bonne réponse Poupa !!! Va falloir réviser tes classiques
[mode très private joke off]

3ème étape, jeudi 2 septembre

Réveil dans une lumière laiteuse, la vallée est plongée dans le brouillard, je ne vois pas l’autre rive de la Meuse.
Au moment du départ, à 9 h 30’, le soleil se manifeste, je pars comme les autres jours en cuissard court mais j’ajoute à mon T-shirt, polaire et coupe-vent.
Au programme du jour, du plat, du plat, du plat sur 120 km, tous déjà connus mais la Meuse, ma Meuse est si belle.
La voie verte, qui comme me le confirme l’hôtelier lui amène pas mal de clientèle, est superbe dans le brouillard qui se lève et le silence à peine troublé par les bateaux de plaisance et une péniche.

Arrivé à Anseremme, juste avant Dinant, je suis tenté par une montée sur le plateau du Condroz par une des seules routes que je n’ai pas encore empruntée pour le gravir ; le Froidveau démarre au pied du Rocher Bayard
, je connais le coin comme le fond de ma poche pour être passé en bas des milliers de fois durant toute ma jeunesse mais n’y suis jamais monté à vélo à l’époque des 3 vitesses Sturmey & Archer. Par contre, je l’ai faite des centaines de fois en voiture, après un court seuil, un faux plat montant de 2 km suivi d’une côte de +/- 3 km : plutôt facile.
Mes impressions d’automobilistes sont rapidement mises à rude épreuve : le faux plat fait du 3-4 %, la côte entre 6 et 8 %. Il y a 200 m de dénivelé, plus ce qui suivra...
Tant pis ! je ne vais quand même pas faire demi-tour...
Récupération du Ravel L 156, horreur ! Après Petit Avin, ils ont tout enduit de goudron recouvert de gravillons ; ils ont envie d’empêcher les vélos de route, de faciliter les chutes et d’aggraver les blessures sans doute... encore des gestionnaires qui ne roulent pas à vélo. Un itinéraire à oublier au plus vite et pour longtemps.
Je rentre à la maison à 18 h après avoir acheté de quoi subsister pendant les 4 jours de pause.

125 km ; 6 h 30’ ;18,7 de moyenne ; 800 m de D+ (pas mal pour une journée de plat !)

4 jours de pause vite réduits à 2

La météo semble se dégrader mardi et les jours suivants. Je révise mes intentions : samedi après-midi, je décide que si je ne fais pas trop la fête le soir avec les cops et que je parviens à me lever, il y aura départ le lendemain. Je fais preuve d’une force de caractère exceptionnelle et les abandonne à leurs libations à une heure somme toute raisonnable.

4ème étape, dimanche 5 septembre

Le retour est facile au début : j’irai jusque Couvin par les rives de Meuse et ensuite par le Ravel 126 jusque Mariembourg. Après, on, enfin, je verrai.
Après Rocroi, il n’y a plus de ressources hôtelières sur mon trajet et je n’ai pas envie de me détourner vers des petites villes peut-être peu voire pas pourvues. J’ai juste 3 adresses de chambres d’hôtes qui s’échelonnent du côté de Rozoy-sur-Serre.
Tout cela dépendra de ma progression.
Elle est bonne, départ à 9 h 15’ ; les 5,7° au thermomètre de ma terrasse au moment du petit déjeuner sont fort heureusement passés à 9,5°.
Je suis maintenant équipé de ma 2ème sacoche sans ajout de charge pour autant.
Je file bon train, il faut dire que le vent a eu la bonne idée de ne pas changer de direction et me pousse dans le dos ou de côté avec une discrétion dont je lui sais gré.
Je passe à Dinant,
ma cité natale, retrouve le Rocher Bayard
et les rochers de Freyr,

pris d’assaut aujourd’hui dimanche par des alpinistes (à chacun sa folie !).
J’arrive à Couvin vers 15 h, je fais l’impasse sur Rocroi et attaque la montée vers Mon Idée. Après le sommet à 380 m, c’est globalement en descente, par paliers.
Je retrouve la Thiérache
avec ses églises fortifiées si étonnantes.

Les églises seront désormais gothiques.
A Brunehamel, je téléphone à la 3ème chambre d’hôtes, il y a de la place, je vais donc jusque Chaourse où j’arrive peu après 19 h. Pas de Leffe ici, rien à boire ni à manger à des lieues à la ronde, heureusement, prévoyant comme jamais, j’ai un sandwich et un cola, boisson que je ne bois jamais sauf quand je suis sur mon vélo depuis longtemps et qu’il fait chaud.
Je fais sur place connaissance d’un flamand, retraité comme moi, qui descend sur Paris en 8 jours, à raison d’une 50aine de km/jour sur sa randonneuse. On discute vélo, enfin du mien, on parle langue française, différences culturelles entre flamands et hollandais bien plus grandes qu’entre wallons et français, on évite soigneusement les sujets qui fâchent – ou qui pourraient fâcher – comme la politique belgo-belge !

175 km ; 8 h ; 21,6 de moyenne ; 1100 m de D+

5ème et (presque) dernière étape, lundi 6 septembre

Il doit rester environ 220 km et la pluie est annoncée pour demain : cela me paraît jouable d’autant que je ne devrai pas m’inquiéter de mon logement.
Le vent est toujours favorable, il le restera jusqu’à la fin.
J’ai fait une 50aine de km lorsque, par le fait d’une manœuvre certainement inconsidérée mais que je ne m’explique pas, je déraille. Je remets en place.
Un peu plus loin, cela commence à faire dzoing, dzoing quand je pédale, puis aussi quand je ne pédale pas et à un rythme qui s’accélère.
Je m’arrête pour manger le sandwich du jour à la Royère sur le Chemin des Dames. Un rayon est plié et engraissé : le rectifier, vaille que vaille, est sans incidence sur l’accompagnement musical.
Je continue néanmoins. Que faire d’autre ?
Je longe Soissons - à bonne distance -, à Septmonts, j’y regarde d’un peu plus près, je dévisse un truc à mon dérailleur, je resserre ma roulette et je prie - non, je croise les doigts.
Mon moral s’effrite – c’est la dernière histoire belge ! ha, ha ! – d’autant que des gouttes se montrent par-ci par-là, je me demande si je ne vais pas faire appel à l’équipe – sans savoir si l’équipe serait d’accord avec le plan B que j’échafaude.
Je me dis en effet que si la panne majeure arrive nuitamment, je n’en mènerai pas large.
J’appelle l’équipe pour connaître la météo : Claudine me dit que Météo France annonce des averses la nuit et des risques de pluie limités pour mardi.
Le toboggan de la route entre la Ferté-Milon et Meaux a raison de mes dernières velléités d’en terminer aujourd’hui.
Je shunte avant Vareddes et rejoint Meaux par Trilport.
Je m’arrête au 1er hôtel/motel venu : je viens de prendre la bonne décision. La patronne qui s’étonne de l’allure de mon vélo me dit « Je ne crois pas que mes jeunes voisins en vendent ». De l’autre côté de la N 3, je vois en effet un vélociste.

155 km ; 8 h ; 19 km/h ; 1500 m de D+

6ème et véritable dernière étape, mardi 7 septembre

Je frappe à la porte de Bike’n Go à l’ouverture ; ½ h plus tard, j’en repars roue dévoilée, patte remise en place et dérailleur réinitialisé. Merci !
Pour la dernière 100aine de km qui restent, j’ai tout mon temps ; Claudine ne rentrera pas avant 19 h.
Il fait humide par terre, il a plu presque toute la nuit (bien vu). La journée sera belle.
A Meaux, un poil de tourisme puis je m’en vais à la recherche de la piste du Canal de l’Ourcq.
Je prends le halage empierré à Claye-Souilly puis la piste à Villeparisis. Elle est nickel sur 3 km. Après, elle dévoile les stigmates de l’âge, revêtement souvent médiocre, cabossé, tortueux également, j’aurais été téméraire d’y rouler de nuit (rebien vu).
Pour couronner le parcours, les travaux du tramway à l’approche de la Villette m’entraînent là où je ne veux pas aller. Peu importe, j’ai le temps.
Je flâne, c’est jour de grève aujourd’hui, la circulation n’est pas la circulation habituelle, les rues à ma droite sont fermées par des cordons de police, ça manifeste du côté de République.
Quand j’arrive à la Bastille, je tombe en plein lieu de formation du cortège, je le traverse sans peine, il n’est pas dense à cet endroit, un photographe me tire le portrait au milieu des drapeaux du PCF - ce matin, à l’heure du choix, il me restait 2 T-shirt, un bleu et un rouge, j’ai pris le plus voyant pour traverser la grand’ville. Si ma photo se retrouve jamais sur un site en liaison avec la manif, je connais nombre de mes amis qui vont sourire.
Je découvre par la pratique le réseau cyclable de Paris ; il a l’air bien pensé et efficace, il lui manque juste une signalétique pour guider ceux qui ne sont pas des usagers habituels et il n’a pas les cyclistes qu’il mérite, il y en a trop qui font n’importe quoi et ce sont loin d’être des gamins, plutôt des vieux, quadras ou quinquas !
Une fois extra muros, cela devient plus aléatoire mais on sent que les automobilistes fréquentent de plus en plus les cyclistes - à moins qu’ils ne soient inquiets à ma vue.
Je traverse plus d’une fois la Seine, généralement à mauvais escient.
Je reprends la nationale et passe par Draveil. A voir leurs têtes d’ahuris, on croirait que les autochtones n’y ont jamais vu de vélo couché, même pas celui de BB ; sans doute n’ont-ils pas les mêmes horaires.
Fin du défi vers 18 h 30’.

105 km ; 6 h 30’ ; 16,2 de moyenne ; 600 m de D+

Bilan
845 km en 6 jours sans fatigue, bobos, désagréments (autres que ceux liés aux ascensions !), sans crevaison (j’avais quand même emporté 2 chambres et un pneu), 2 kg perdus dans l’aventure qui ne tarderont à revenir, jamais de mise en danger, quelques moments dont je me serais passé - essentiellement liés aux mauvais revêtements
45 h à pédaler et à quoi faire d’autre pendant ce temps-là : beaucoup d’instants de plénitude, la réflexion définitive que je suis définitivement incapable de réflexion quand je pédale, non, je pédale, je regarde mon compteur, mon GPS, ma carte, le paysage ; je me dis que si je donne un coup de pédale tous les 10 m, cela en fera 84.000 au bout du compte et pour chaque jambe ! Fou, non !
Des musiques me trottent en tête, les « ailes d’un ange » de Charlebois et plus spécialement « je suis un Hell’s Angel à pied » avant de me rendre compte que c’est ainsi que je me vois, souverain sur mon HR avec mon Ubar comme sur un chopper, les « Marquises » de Brel dont je transforme le « ce n’est pas l’été » en « ce n’est plus l’été », d’autres aussi qui paraissent moins liées à la circonstance.
18,7 km/h comme je n’avais ni ambition, ni prévisions, je ne peux être que satisfait. Je sais depuis longtemps que je n’aime pas ce qui est trop préparé, j’aime me décider au dernier moment, garder ma liberté, ne pas m’enfermer moi-même dans un projet à trop long terme fixé trop longtemps à l’avance. Le temps était venu.
6700 m de D+ ce ne sont pas des montagnes mais ce n’est pas vraiment plat non plus.
3,2 kg pour la radical en permanence sur le vélo ; 4 kg pour les sacoches latérales, hors bouffe et boissons.
Pour me tenir compagnie, j’avais pris avec moi Sur la route de Kerouac, je n’ai pas accroché, dommage !

Alors ! que du bonheur ? Non, quand même pas, pas tout le temps en le faisant mais souvent quand même et en tout cas de l’avoir fait !

A propos, merci à ceux qui ont écrit des messages véritablement post-humes

BRAVO Poupa

Oui, un gand BRAVO Poupa !

Très amicalement.

Dominique

Ah oui, bravo Poupa : la côte des mazures est célébre ds les ardennes ; c'est le juge de paix ds les courses qui l'empruntent ; Poulidor y avait mis 6 mn ds la vue à son suivant ...

Magnifique récit et très jolies photos, belle performance également.

Merci pour ce beau récit.
Bravo.

Félicitations pour ce périple et pour son récit !

Bon repos bien mérité

Alain

Oh là Poupa ,je n'avais pas encore lu ton récit !
Chapeau bas ,belle performance et ....lecture agréable .
Alain (aussi!)