Détournement d'adage ou de citation ....

Oyez Oyez
Prenez une citation, une formule usuelle, un précepte ce que vous voulez et avec quelques petits arrangements adroits, faites en un slogan à ou contre notre cause couchéïste, pédaliste, sportive...

IMPORTANT
Merci de bien vouloir noter en dessous de votre "travail"
1) la citation dans sa forme originale
2) l'auteur de la formule originale

Vélo, boulot, dodo

Métro, boulot, dodo
Pierre Béarn

Qui trop pédale mal étreint

Qui trop embrasse mal étreint.
Inconnu

Chassez le naturel, il revient à vélo (D.Tronchet)

Chassez le naturel, il revient au galop (inconnu)

pierre1911 a écrit:

Qui trop pédale mal étreint

Qui trop embrasse mal étreint.
Inconnu

en fait c est qui trop embrase mal eteint

Rien ne sert de courir il faut partir en vélo couché.

Rien ne sert de courir il faut partir a point. (Lafontaine il me semble).

LAF ! ! ... !

Oliver Pool a écrit:

Chassez le naturel, il revient à vélo (D.Tronchet)

Objection, Tronchet n'est pas l'auteur de cette phrase, il l'a reprise à Achille Chavée, le poète surréaliste wallon

Un bent vaut mieux que deux vélos droits

Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras
( Gilles Corrozet, Jean de la Fontaine)

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Qui veut voyager loin ménage son popotin

Qui veut voyager loin ménage sa monture
( Jean Racine)

Pour que votre tour du monde à vélo couché soit un succès total sur le plan touristique, sentimental et sexuel, la première chose à faire est de partir seul.

Pierre Desproges a écrit:

Pour que votre voyage de noces soit un succès total sur le plan touristique, sentimental et sexuel, la première chose à faire est de partir seul.

Le vélo couché, c'est un refuge pour les alcooliques qu'on n'a pas voulu au tour de France et aux JO.

Coluche a écrit:

La police, c'est un refuge pour les alcooliques qu'on n'a pas voulu à la SNCF et aux PTT.

Pour vivre heureux, roulons couchés

Pour vivre heureux, vivons cachés
Anonyme

Les pistes cyclables le long des routes est un lieu conçu pour les cyclistes qui ne prennent plus leur voiture puissent rencontrer les caisseux qui ont toujours la leur

Le port de plaisance est un lieu conçu pour que les navigateurs qui ne prennent pas la mer puissent rencontrer des vacanciers qui n'ont pas de bateau
Philippe Bouvard

pierre1911 a écrit:

Qui trop pédale mal étreint

Qui trop embrasse mal étreint.

Qui trop trace a mal au train ?

Patricia, mon petit… je ne voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : ton vélo droit commence à me les briser… MENUES !

Patricia, mon petit… je ne voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser… MENUES !


et

On a dû arrêter la fabrication des vélos couchés, y a des clients qui devenaient accros : ça faisait des histoires chez les cyclistes droits.

On a dû arrêter la fabrication, y a des clients qui devenaient aveugles : ça faisait des histoires.
Michel Audiard

La scène de la cuisine dans les tontons flingeurs

Paul Volfoni : Le vélo à c't'âge-là !
Monsieur Fernand : Non mais c'est un scandale hein ?
Raoul Volfoni : Nous par contre, on est des adultes, on pourrait peut-être s'en faire un petit tour? Hein?
Monsieur Fernand : Ça... le fait est... Maître Folace ?
Maître Folace : Seulement, le tout-droit a été piraté par les mômes. Qu'est ce qu'on fait ? on se risque sur le bizarre ?... Ça va rajeunir personne. (Il sort le vélo couché)
Raoul Volfoni : Ben nous voilà sauvés.
Maître Folace : Sauvés... Faut voir !
Jean : Tiens, vous avez sorti la chignole ?
Paul Volfoni : Pourquoi vous dites ça ?
Maître Folace : Eh !
Paul Volfoni : Il a pourtant un air honnête.
Monsieur Fernand : Sans être franchement malhonnête, au premier abord, comme ça, il… a l'air assez curieux.
Maître Folace : Il date du Mexicain, du temps des grandes heures, seulement on a dû arrêter la fabrication, y'a des clients qui devenaient accros. Oh, ça faisait des histoires chez les droits !
(ils pédalent prudemment)
Raoul Volfoni : Faut reconnaître... c'est du brutal !
Paul Volfoni : (les larmes dans les yeux) Vous avez raison, il est curieux, hein ?
Monsieur Fernand : J'ai connu une Polonaise qu'en faisait au p'tit déjeuner. Faut quand même admettre : c'est plutôt un vélo d'homme… (il tousse)
Raoul Volfoni : Tu sais pas ce qu'il me rappelle ? C't'espèce de drôlerie qu'on montait dans une petite taule de Bien Hoa, pas tellement loin de Saïgon. "Les volets rouges"... et la taulière, une blonde comac... Comment qu'elle s'appelait nom de Dieu ?
Monsieur Fernand : Lulu la Nantaise.
Raoul Volfoni : T'as connu ?
(Monsieur Fernand lève les yeux au ciel)
Paul Volfoni : J'lui trouve du jeu dans la baume.
Maître Folace : Y'en a.
Raoul Volfoni : Eh bien c'est devant chez elle que Lucien "le cheval" s'est fait renverser.
Monsieur Fernand : Et par qui ? Hein?
Raoul Volfoni : Ben v'la que j'ai plus ma tête.
Monsieur Fernand : Par Teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu'au pare choc.
Raoul Volfoni : Toute une époque !



l'originale

Paul Volfoni : L'alcool à c't'âge-là !
Monsieur Fernand : Non mais c'est un scandale hein ?
Raoul Volfoni : Nous par contre, on est des adultes, on pourrait peut-être s'en faire un petit ? Hein?
Monsieur Fernand : Ça... le fait est... Maître Folace ?
Maître Folace : Seulement, le tout-venant a été piraté par les mômes. Qu'est ce qu'on fait ? on se risque sur le bizarre ?... Ça va rajeunir personne. (Il sort la bouteille)
Raoul Volfoni : Ben nous voilà sauvés.
Maître Folace : Sauvés... Faut voir !
Jean : Tiens, vous avez sorti le vitriol ?
Paul Volfoni : Pourquoi vous dites ça ?
Maître Folace : Eh !
Paul Volfoni : Il a pourtant un air honnête.
Monsieur Fernand : Sans être franchement malhonnête, au premier abord, comme ça, il… a l'air assez curieux.
Maître Folace : Il date du Mexicain, du temps des grandes heures, seulement on a dû arrêter la fabrication, y'a des clients qui devenaient aveugles. Oh, ça faisait des histoires !
(ils boivent prudemment)
Raoul Volfoni : Faut reconnaître... c'est du brutal !
Paul Volfoni : (les larmes dans les yeux) Vous avez raison, il est curieux, hein ?
Monsieur Fernand : J'ai connu une Polonaise qu'en prenait au p'tit déjeuner. Faut quand même admettre : c'est plutôt une boisson d'homme… (il tousse)
Raoul Volfoni : Tu sais pas ce qu'il me rappelle ? C't'espèce de drôlerie qu'on buvait dans une petite taule de Bien Hoa, pas tellement loin de Saïgon. "Les volets rouges"... et la taulière, une blonde comac... Comment qu'elle s'appelait nom de Dieu ?
Monsieur Fernand : Lulu la Nantaise.
Raoul Volfoni : T'as connu ?
(Monsieur Fernand lève les yeux au ciel)
Paul Volfoni : J'lui trouve un goût de pomme.
Maître Folace : Y'en a.
Raoul Volfoni : Eh bien c'est devant chez elle que Lucien "le cheval" s'est fait dessouder.
Monsieur Fernand : Et par qui ? Hein?
Raoul Volfoni : Ben v'la que j'ai plus ma tête.
Monsieur Fernand : Par Teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu'à la dynamite.
Raoul Volfoni : Toute une époque !

Theo van Andel (Velomobiel.nl): Imaginez : la nuit, en plein milieu de la route, un homme armé, en uniforme qui agite une lanterne et qui crie halte... qu'est ce que vous faites ?
Monsieur Jéjon : J'm'arrête bien sûr, je passe pas dessus !
Theo van Andel (Velomobiel.nl): Eh bien, c'est pour ça que vous avez encore votre permis. Moi pas !
Monsieur Jéjon : Bon, les papiers du dahut sont en règle au moins, oui ?
Theo van Andel (Velomobiel.nl) : Tout est en ordre ! Mais, Monsieur Jéjon, vous ne prétendez pas ...
Monsieur Jéjon : ... Quand y'a six cent kil en jeu, j'prétends n'importe quoi. J'ai conduit des Sucre d'Orge, des Optima Orca ASS, des Tandem Flevo Amigo , et toi qui parlais de guerre, j'ai même conduit un char Cuberdon.
Theo van Andel (Velomobiel.nl): C'est pas ma marque préférée...

Théo : Imaginez : la nuit, en plein milieu de la route, un homme armé, en uniforme qui agite une lanterne et qui crie halte... qu'est ce que vous faites ?
Monsieur Fernand : J'm'arrête bien sûr, je passe pas dessus !
Théo : Eh bien, c'est pour ça que vous avez encore votre permis. Moi pas !
Monsieur Fernand : Bon, les papiers du bahut sont en règle au moins, oui ?
Théo : Tout est en ordre ! Mais, Monsieur Fernand, vous ne prétendez pas ...
Monsieur Fernand : ... Quand y'a six briques en jeu, j'prétends n'importe quoi. J'ai conduit des tracteurs, des batteuses, et toi qui parlais de guerre, j'ai même conduit un char Patton.
Théo : C'est pas ma marque préférée...

Pardon Maître Jéjon.....

" La ville est une comédie pour les voitures, une tragédie pour ceux qui pédalent. "


" Le monde est une comédie pour ceux qui pensent, une tragédie pour ceux qui sentent. "Horace

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Le VC doit encore convaincre les Français.

Le PS doit encore convaincre les Français. Martine Aubry

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M6 La chaîne-qui-n'en-finit-plus-de-craquer réalise 10,7% de perte de puissance avec vodka.
France 5.La course des 24 h de Sault a séduit 3,7% des téléspectateurs.

M6 et France 5, dans cet ordre. La chaîne-qui-n'en-finit-plus-de-monter réalise 10,7% de part

d'audience avec Médium. Echappées belle a séduit 3,7% des téléspectateurs.""Audiences télé""

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le vélo couché est aisé mais la côte est difficile

la critique est aisée mais l’art est difficile

Jéjon a écrit:

Qui trop trace a mal au train ?

On sent le retour d'expérience

cafouille a écrit:

" La ville est une comédie pour les voitures, une tragédie pour ceux qui pédalent. "

J'aurais dit exactement le contraire. Ici, rouler en ville en voiture, c'est insupportable, alors qu'à vélo, ça roule tout seul (ce qui n'empêche pas l'écrasante majorité de choisir la bagnole. Pardonnons-les, ils ne savent pas...)

Après mon premier tour de roue en Vélomobile :
Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie...

Tiré du film "Jeux d'enfant"

le vélo couché c'est
1) dans les descentes :
Poussez-vous, excusez-moi !

2) dans les montées
Poussez-moi excusez-vous !

Poussez-vous, excusez-moi ! Poussez-moi excusez-vous !
Grrrrrr

- C’est une bonne position ça couché ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise position. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu le bidon, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul assoiffé. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la bosse, quand on a le goût de la bosse bien raide, le beau geste, parfois on ne trouve pas le compétiteur en face je dirais, le lapin qui vous aide à grimper. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette vitalité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique (mon traction directe), mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...

l'original
- C’est une bonne situation ça scribe ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...
Astérix et Obélix : mission Cléopâtre, Panoramix et Otis.

«Nous sommes loin de nous douter des services que pourraient nous rendre nos vélos si nous savions les mettre en oeuvre.»

«Nous sommes loin de nous douter des services que pourraient nous rendre nos défauts si nous savions les mettre en oeuvre.»

[ Sacha Guitry ] - Toutes réflexions faites

La vélomobile faut la prendre jaune
Faut surtout la prendre roulante. C'est pas dans les moyeux de tout le monde



l'original (qui aurait sa place sur les banderoles des manifs en France en ce moment...

Citation :

- La retraite faut la prendre jeune
- Faut surtout la prendre vivant. C'est pas dans les moyens de tout le monde.
Les Barbouzes, dialogue Michel Audiard

http://www.michelaudiard.com/

Oliver Pool a écrit:

Chassez le naturel, il revient au galop (inconnu)

Petite contribution culturelle , en attendant de trouver moi-même une pépite dans le genre