400 Muret(31)le 6/5

Faut-il prévoir des cartes postales ?

oui carte postale on peut utiliser la mme à plusieurs mais faut pas oublier de signer
à l'adresse de xavier , on s'inscrit à 18h

météo de la nuit vent sud est 75km/h 10°
matin vent sud ouest à 85km/h
aprem averses vent sud ouest 85km/h

faudra pas traîner car les pluies se renforcent en cours de journée

Bonne route.

ly masse a écrit:

météo de la nuit vent sud est 75km/h 10°
matin vent sud ouest à 85km/h
aprem averses vent sud ouest 85km/h

faudra pas traîner car les pluies se renforcent en cours de journée

Bonne chance Mireille !

ly masse a écrit:

météo de la nuit vent sud est 75km/h 10°
matin vent sud ouest à 85km/h
aprem averses vent sud ouest 85km/h

heureusement que Lymasse a fait une petite erreur dans l'orientation du vent
il est toujours à l'Autan , tres fort..... car s'il avait tourné comme elle l'a écrit, c'etait l'aller et le retour , ventilateur dans la tarnifle !!!!
ils ont deja du , suffisament souffrir à l'aller , dans tous le Minervois et traverser vers les Corbières
ils devraient avoir recoupé la vallée de l'Aude à Couiza, ...reste le col des tougnets ....
l'Autan vous pousse

pas de lymasse au départ à 19h. Guilhem et moi prenons le départ avec un groupe d'une trentaine d'unité qui s'effiloche peu à peu dans les bourrasques du vent d'Autan.
Nous roulons tout le brevet avec le même noyau et finissons, Guilhem facile et moi harassé à 16h15.

petit cr à suivre...

qui a des nouvelles de Mireille?
sa légèreté lui a joué des tours et le vent d'autan l'aura transporté vers le far ouest?

on en saura plus demain!

Alain

Le Pou a écrit:

pas de lymasse au départ à 19h. Guilhem et moi prenons le départ avec un groupe d'une trentaine d'unité qui s'effiloche peu à peu dans les bourrasques du vent d'Autan.
Nous roulons tout le brevet avec le même noyau et finissons, Guilhem facile et moi harassé à 16h15.

petit cr à suivre...

Facile, il faut le dire vite !

Personnellement, j'ai glandé pendant 200 km face au vent, les cyclos étant à la peine et moi étant souvent obligé de freiner pour rester dans le groupe. Avec Le Pou, nous collons le groupe de tête. La seule difficulté aura été de rouler de nuit avec l'envie de dormir, je n'ai pas aimé du tout.

A 200 km, le jour se lève, c'est plus facile niveau sommeil, mais nous entamons les grosses difficultés. J'en ai bavé ! J'ai roulé à mon rythme (c'est à dire très très lent), laissant partir tout le monde loin devant. C'est là que j'ai maudit le poids du vélomobile ! Heureusement, j'ai comblé une partie de mon retard dans les descentes, et le groupe a attendu tout le monde à chaque fois, sympa !

Les 100 derniers kilomètres ont un profil bien plus facile. Descentes, vent dans le dos, le groupe roule assez vite. On se demande parfois quelle mouche les pique ! Quelques côtes se présentent, mais sachant qu'elles sont peu longues, je fais l'effort pour les monter sans (trop) faiblir, et je recolle au groupe dans la descente qui suit.

A 15km de l'arrivée, Le Pou craque et reste derrière. J'avertis le groupe, nous ralentissons pour l'attendre, mais il ne revient pas. A 5 km de l'arrivée, nous nous arrêtons pour l'attendre, et nous rentrons tous ensemble, 21h après le départ.

La conclusion pour moi, c'est que les parcours vallonnés ne sont pas adaptés au vélomobile et mes jambes. En tout cas, pas pour rouler avec des cyclos. Il aurait fallu que je trace à mon rythme les premiers kilomètres face au vent, quite à prendre beaucoup plus mon temps dans les cols. Mais il aurait fallu que je roule tout seul, et j'étais pas prêt pour cela.

J'espère que lymasse et Rayspid ont bien roulé ?

je fais un récit un peu plus tard 432km (ben oui j'ai voulu en faire + ) 23h

il fallait qd même une sacrée énergie pour lutter pendant 250 km contre un vent à 80/h de face , un groupe nous aurait abrité, en partant à l'H et non pas 30mn aprés, mais pas de regret car nous n'avons pas le niveau des plus forts

25 inscrits -20 partants - 1 abandon

ly masse a écrit:

432km (ben oui j'ai voulu en faire + ) 23h

ouf! et bravo!
vous avez rallongé le parcours pour vous préparer au 600?
bon repos
Alain

Mille bravos!! à toutes et tous.

Nous arrivons Rayspid et moi juste à l'H du départ, sur la route nous avons déja croisé qqs cyclos partis avant l'h, trop tard pour se joindre au groupe prêt à se lancer, je dis Guillhem de ne pas nous attendre. je vois le MétaB mais pas de Le Pou, je fonce nous inscrire

Spoiler:

les organisateurs sont contents, nous sommes les derniers, et ils ont envie de discuter

30mn de retard c'est tout bon, nous voila pédalant, le vent sud-est donc de face est trés violent, il n'ira qu'en se renforçant (entre 80-100 parait-il annoncé à la TV, des fois vaut mieux ne pas savoir)

la premiere partie de plaine qui se devait être trés roulante aurait pu se transformer en véritable cauchemard, mais nous avons l'habitude du vent et "faire avec" devient bien vite notre seul issu, la moyenne est déplorable.
là nous pouvions être à 30 km/h le compteur ocille entre 18 et 20 en ne ménageant pas nos efforts.
km 40 j'ai trés mal au 2 genoux si tôt c'est bizarre !

Premier contôle où l'on nous annonce que le groupe a 1 h d'avance

La nuit tombe vite, nous roulons en silence trop occupés à tenir le rythme et puis parlé est inutile on ne s'entend pas

Nous arrivons à Carcassonne ville déserte,mes genoux sont douloureux mais sans plus, je suis bien contente de voir que la douleur s'atténue.

enfin 2 passants, je m'arrête pour demander la direction d' Olonzac, un grand crac c'est Raymond qui me percute et s'étale sur la chaussée sans trop de mal.


-"Est ce que vos vélos se plient, je vous amène en voiture car c'est trop compliqué à expliquer et il faut prendre une 4 voie, il y a peut être une autre route mais je ne connais pas"

Personne d'autre en vue, nous tournons à le recherche d'un panneau toujours rien, nous voila partis en direction de la 4 voies, il y a des travaux c'est donc encore plus risqué nous rebroussons chemin , encore un tour pour rien et là nous optons pour cette ultime solution.

Je ne vois plus Raymond dans le rétro, on joue au yoyo pendant une heure et là nous sommes devant une route en travaux, déviation
je propose de passer outre, trés mauvaise idée, mur de terre de 2m, portage des velos puis marcher pendant 500 m Raymond déja trés fatigué doit me maudire finalement nous rebroussons chemin

Nous nous engageons sur la déviation arrivons dans un village, heureusement un gars "bien arrosé" nous envois sur un chemin faut faire confiance, enfin Olonzac une carte postale dans une boite qui j'espere est relevée, flemme de chercher la poste. Nous retrouvon un BRMiste perdu qui nous parle d'abandonner il n'a pas l'air de vouloir nous suivre.

Lézignan Corbiere, Raymond est HS , nous nous dirigeons vers nos terres catalanes, Jean Marc un copain hors BRM nous a rejoint en vélo, ils vont rester ensemble, certainement dormir 1h je continue seule.

Le jour se lève
Arrivée à Thézan manque de vigilance due au fait que je connais ces routes, je pars à l'opposé de Durban , je trouve le paysage trés beau et ne le reconnais pas, je me dis que je devrais rouler plus souvent dans ce coin , j'arrive à Portel là je comprends mon erreur
demi tour 30 km en + vogue la galère! je pédale fort 15km de vent favorable yesssssssssss

Au loin je vois un VD je le rattrape dommage il ne fait pas parti du BRM, pas grave rouler seule me plait aussi
Le petit col de l'extrème se passe bien, cuisses un peu fatiguées (maudit vent) et j'en suis à peine à la moitié du parcours, à part ça je me sens trés bien.

8h30 Accueil trés sympa dans le café de Tuchan où me l'on félicite d'être la premiere
le groupe est en fait passé de nuit 2h avant

rapide calcul ouille ça craint il doit rester au moins 2500m de déniv et 200 mais je vais y arriver faut juste que je pédale sans m'arrêter ce qui me convient bien
le Grau de Maury là ça grimpe raide et je pense au VM dur dur! je pense aussi au VM dans la descente qui s'en suit où je me lâche moins de 500 m pour atteindre les 70km/h ensuite je frène pas confiance aux pneumatiques et guère plus en moi

fontaine à Maury où je chute à l'arrêt, pas le temps de déclipser, avec des speedplay c'est pas commun. le vent ça saoule ! ou bien la fatigue ...

Maintenant il va me pousser Youpiiiiiiiii heu! t'es où le vent ?


Contrôle de St Paul de Fenouillet "regarde ce velo, ouais t'as pas vu l'autre un truc tout carréné" j'espère que Le Pou est aussi passé par là , Raymond pas vu, j'ai l'espoir que mon erreur de plus d'une heure lui ait permis de passer devant. j'espère qu'il n'a pas abandonné
Soyez prudente me dit la patronne il va pleuvoir Gloupsssssss non pas ça

montée aux Gorges de Galamus , j'ai du mal à savoir où j'en suis pendant qqs secondes, il fait tellement sombre que ce pourrait être une fin de journée, je ne sais pas si d'autres ont cette impression du temps qui s'écoule étrangement nous faisant perdre qqs repères, il est en fait 10h.

A suivre

une goutte 2 gouttes 3 gouttes et c'est tout

un col un deuxième col le tout à l'abri du vent qui je le rapelle doit me pousser, j'ai fait ces deux cols il y a deux semaines vent défavorable et je les avais trouvé bien plus facile.

Au sommet du col de Linas je mange deux crèpes (c'est fou tout ce que j'ai mangé sur ce brevet) et rempli les ventrales de bananes sêches, sans oublier la rousquille (specialité catalane) donnée par Montaucol pour ce BRM.

Puis la descente sur Bugarach le pic est dans les nuages tres sombres, dommage

Les km enfin défilent sur le plat vent dans le dos. Sur la route 2 biches me regardent et prennent la fuite, sourire, je le prends comme un beau présage

la dernière côte pour le dernier col, puis descente et plat vent dans le dos où je retrouve 3 BRMistes, dont notre doyen catalan qui me dit avoir aperçu Rayspid.
les 100 derniers km
Je continue avec un cyclo (créateur des 24h de l'Insa) on roule ensemble jusqu'à Pamiers où il me dit vouloir éviter le plus possible la ville, contrôle chez MacDo où nous attendons 25 mn que l'on nous tampone le livret, je déguste un sundae, ma premiere pose.
il est temps de repartir et là par chance je vois filer dans un rond point Raymond dans un petit groupe. Nous les rattrapons et c'est à 5 que nous cherchons la route
Ensuite c'est que du plaisir, la fatigue s'est envolée, on s'amuse dans un petit tobogan
puis la longue, interminable arrivée à Muret 1h de pedalage frolés par les voitures et qqs km périlleux avec le vent latéral trés violent.

Rayspid me double dans les 200 derniers mètres et lève le bras de la victoire MURET enfin..
.
Des petits groupes arrivent aprés nous, tout le monde est heureux d'en avoir fini avec ce brevet, moi je me dis que le PBP c'est encore autre chose.


En posant les pieds au sol j'ai eu beaucoup de mal à me lever, impossible de plier la jambe gauche vers la cuisse, la droite est presque tout aussi douloureuse.

Ce matin rien de mieux , ce soir un peu mieux, j'ai peur du syndrome l'essui- glace ce qui me ferait renoncer au PBP c'est une suite logique aux probs de rotules desaxées, le verdict demain
Et si je dois renoncer au PBP se sera sans trop de peine car je pense que j'aurai essayé et puis j'ai "d'autres trucs" tout aussi sympas qui m'attendent.

ainsi soit il

tendinite des 2 facia lata moins grave que le syndrome de l'essuie glace
C'est une tendinite purement mécanique càd qui reviendra chaque fois que je ferai une LD et se fera oublier les jours suivants, quand les fascia lata ne sont pas solicités.

elle est provoquée par la déviation des rotules

bonne nouvelle alors... rendez-vous pour le 600?

à lire Lymasse , ça n'a pas eté du tout cuit mais apres on peu dire que l'on a mérité le sésame pour ce pbp 2011

quoi que...quand on lit les autres c'est dur aussi!!!!

Le Pou a écrit:

bonne nouvelle alors... rendez-vous pour le 600?

je serais tres certainement partant pour le 600 de Muret, le mois prochain.... grosse envie de voir l'ocean

en attandant, un petit 250 dimanche ..de quoi se degourdir les jambes..

c'est pas facile , la longue distance , et dans ces conditions de vent d'autan, c'est même une sacrée aventure!
moi qui avais déjà trouvé le 300 pénible , alors là je compatis
mais il me semble avoir lu qquepart sous la plume de Zapilon qu'un 600 se fait + facilement que le 400 , alors courage!
.... et bon repos pour remettre en état les mécanismes de vos gambettes!

Alain
ps /problème: si la longue distance çà use, comment s'entrainer à la longue distance?

Le Pou a écrit:

bonne nouvelle alors... rendez-vous pour le 600?

Ce n'est pas vraiment ce que j'écrivais, cette tendinite est induite, chronique donc je ne sais plus ce que je dois faire, elle peut me stopper net au cours d'un brevet en principe elle reviendra de + en + souvent. Il est physiologiquement impossible qu'elle ne réapparaisse pas à la prochaine LD

je n'ai pas de solution pour le PBP

Bravo Mireille!!


Des petits groupes arrivent aprés nous, tout le monde est heureux d'en avoir fini avec ce brevet, moi je me dis que le PBP c'est encore autre chose.


E
Il avait l'air sacrément "coton " ce Brm ...
Et puis se perdre dans ces conditons ça plombe le moral , d'où un mérite accru de terminer!
Bravo à tous!

au km 110 on a retrouvé un BRMiste + de 70ans perdu dans la nuit et la tempète et mme pas assez intelligent pour abandonner, à son âge on reste en charantaises

il a terminé le dernier mais qd mme pas plus de 25 h jurant que les BRM c'est fini
Je suis sûre qu'il est déja inscrit au 600

J'avais prévu également d'arriver confortablement à l'avance sur les lieux du départ, histoire de se préparer tranquille. Hélas, encore une fois, c'est dans la précipitation que j'arrive à Muret, sans avoir eu le temps de prévoir de quoi s'alimenter pour la nuit - hormis un petit sachet d'ananas confit et 1 litre d'eau + pulco. Mais je me rends compte que j'ai aussi oublié les cartes postales indispensables au pointage de nuit. Je prends donc le départ assez préoccupé, d'autant plus que j'ai détecté un jeu important au niveau du roulement de la roue arrière - vais-je pouvoir finir avec cette roue?

Le peloton s'élance donc dans les bourrasques du vent d'Autan et le rythme est par force peu soutenu. Guilhem et moi fermons la marche, n'étant d'aucune aide pour protéger les vd du vent violent. Le groupe se scinde rapidement en 2, et nous nous portons à l'arrière du premier groupe. Je commence déjà à trouver le temps long, le vent siffle dans les oreilles, les vd roulent par à-coup selon le niveau de celui qui mène et derrière on roule en accordéon pour rester un peu à l'abri. Saverdun, la route est barrée au passage à niveau, petit exercice de portage des vélos à travers le chantier SNCF, les cheminots nous invectivent de loin. Mazères, le premier pointage est assuré par les membres du club cyclo local, sur la place centrale, on allume les phares et on repart dans les rafales. Je commence déjà à être en surchauffe, je trouve que le rythme bien qu'irrégulier a augmenté, je dois forcer dans les petites côtes pour garder le contact, mais j'ai décidé de rester le plus longtemps possible avec ce groupe pour profiter des pointages nocturnes collectifs. Un peu avant Fanjeaux, celui qui mène le plus souvent et qui impose la cadence prend le large, l'écart se creuse et bientôt on ne distingue plus que la petite tache rouge de sa loupiotte qui finit par disparaître. Du coup, la vitesse retombe, et moi je respire mieux. Guilhem, insensible au vent dans son Quest, doit s'ennuyer ferme, mais lui aussi a choisi de rester avec tout le monde.

Dans la descente en lacets de Fanjeaux, le vent manque plusieurs fois de me déséquilibrer - je ralentis et me laisse distancer. Je retrouve les autres au rond point suivant, hésitant sur la direction à suivre. Je connais bien cette partie du brevet, je passe en criant "c'est bon c'est par là" et continue sans forcer de sorte que les hésitants puissent recoller. Quelques bosses plus tard - dans mon esprit c'était plat entre Fanjeaux et Carcassonne, j'avais notamment oublié la montée vers Montréal - nous nous retrouvons à 6 à l'entrée de Carcassonne. On file centre-ville, et par chance on trouve un bar encore ouvert pour faire le plein des bidons. On converse un peu avec le personnel et les derniers clients, ambiance sympa mais on sent bien qu'ils comprennent pas du tout notre activité...

La route vers Olonzac est quasi sans souci, le vent a baissé d'intensité et s'il gêne notre progression il n'est plus aussi assourdissant. A Olonzac, surprise nous retrouvons le catalan de Canet - celui qui avait pris le large avant Fanjeaux - qui nous attend devant la Poste. Pointage par carte postale, et c'est reparti. Petite visite du centre de Lézignan, où à la recherche d'un point d'eau nous tournons autour de l'église dans un dédale de ruelles...Peine perdue, pas d'eau, nous retrouvons la bonne rue et sortons de Lézignan sous les sarcasmes d'une petite bande qui visiblement n'apprécie guère les cyclistes. Petite pause au péage de l'entrée de l'autoroute où l'un d'entre nous se rappelle avoir ravitaillé en eau 4 ans auparavant. Moment insolite qui voit ce petit peloton prendre en pleine nuit la direction des cabines de péage d'autoroute!

Après une petite pause, nous débutons enfin la traversée des Corbières. La première petite bosse m'oblige déjà à lacher un peu, alors que Guilhem dans sa vélomobile suit allègrement le train des vd. Nous continuons cette route magnifique, le ciel s'éclaicit peu à peu, et miracle, après le petit col d'Extrème où je lache encore un peu plus, nous arrivons à Tuchan pour le dernier pointage de nuit. Pour ce qui concerne le vent, le pain noir est mangé, encore quelques bonnes côtes à gravir mais le jour se lève donc l'optimisme est de rigueur. Seule ombre au tableau, je n'ai plus rien à manger et je commence à avoir faim, attention à la fringale! Pas de commerce ouvert, donc nous pointons encore via une carte postale.

en attendant la suite du Pou...une petite image du controle au col des ares de mon 400..une photo etait bien acceptée en remplacement de la traditionnelle carte postale poste durant la nuit


le jour venait de se lever !!! les traits deja + que tirés

Une vidéo de nuit :


Quelques photos sur mon blog:
http://envelomobile.wordpress.com/2011/05/10/brm-400km-de-muret/

on peut tenter de dire que pas loin de 250 km de vent +++ négatif a compté comme du dénivelé
si j'analyse en relation avec ma moyenne sur le plat venté cela equivaut à 250 km à 2 ou 3% là ma moy était de 18km/h avec des pointes à 20km/h

les 2800m+ etaient en fait 3300m+ ce qui reste trés peu pour un 400km mais en VM pfouu ! surtout que c'était presque concentré sur moins de 100km
dans la descente de Maury tu as du freiner un max, avant le 11% j'etais sur une trés courte distance(où je me suis lachée) à 70 km/h sur tt le reste de la descente j'ai un peu freiné
sur les 100 derniers km je roulais entre 28 et 45 plat descendant vent ds le dos) mais le compteur de la moy n'est jamais vraiment remonté c'est impressionnant!

et sur le 600 ce devrait être autour de 4000 m+ ça reste tres inferieur au PBP

En fait ce dernier BRM me confirme que rien n'est aquis qu'il faut faire preuve de qualités d'adaptation mentale + que de muscle, que presque rien n'est planifiable, qu'il faut savoir rouler seul et l'accueillir avec le sourire.

On ne peut vivre sans tenter de nouvelles experiences, le PBP ce sera juste celà (enfin! si je peux prende le départ ?????)