Vélomobile, vélotaf et transpiration!

Finalement, la comparaison de vos véhicules avec une baignoire n'est pas si déplacée...
Quand je pense que vous roulez en VM afin de pouvoir rester au sec...  

Oui, c'est ce que je me dis aussi parfois,
enfin au moins quand il pleut je suis mouillé, mais dans mon jus !

et toute cette sueur ..
vous avez pensé à la "compenser" à l'arrivée??
boissons..sels minéraux etc ..
Papy volant

Euh bah si on compensait pas on serait plus là pour en parler !
(un petit épisode d'hématurie tout de même pour moi en changement de saison...)

Ah Kapello ça me rappelle que je collectionnait de façon alternative les 16 et les 20 en SVT

Hop Prem's

Didier33 a écrit:

Finalement, la comparaison de vos véhicules avec une baignoire n'est pas si déplacée...

Beno m'avait dit que c'est un aquarium

Bon c'est clairement une question d'être bien organisé , l'expérience ne vas pas s'acquérir comme ça.

Rouler en roue libre dans les faux plats descendants pourrait donner un coup de pouce pour limiter la flotte.

Fonceurcouché a écrit:

Ah Kapello ça me rappelle que je collectionnait de façon alternative les 16 et les 20 en SVT

Rouler en roue libre dans les faux plats descendants pourrait donner un coup de pouce pour limiter la flotte.

Moi ces notes là c'était plutôt pour la physique-chimie...
le faux-plat descendant en roue libre ça dépend de ce que t'as au bout : un stop, un rond-point, ok, si c'est une côte vaut mieux envoyer la sauce pour justement pas trop suer dedans...

Fonceurcouché a écrit:

Rouler en roue libre dans les faux plats descendants pourrait donner un coup de pouce pour limiter la flotte.

Bof. Moi c'est dans les montées que je transpire. Pour limiter la quantité, il faut donc accepter de monter plus lentement, et pour ca avoir des vitesses bien courtes. Ce que je fais dans les faux plats et les descentes n'y change rien. J'ai beau m'economiser dans les faux plats, ca n'empeche que dans les montées il faut fournir une certaine quantité d'energie et ca fait transpirer. Donc au contraire, pour limiter la quantité de sueur, j'essaye de pedaler le plus proche possible de la puissance constante : bien lentement dans les montées, plus c'est raide plus je suis lent, et appuyer dans les plats et les faux plats pour rattraper le temps passé dans les montées. Appuyer dans les plats et les faux plats, mais pas plus qu'on a appuie dans les montées quand meme...

AdrienC a écrit:

à moins de rouler en mode mamy du dimanche tu dégoulineras et puis c'est tout.

J'avais essayé une fois 35 kms à 12,2 de moyenne , bon je suis rentré sec mais il y a de la triche : le ciel était couvert

Et ça ne marche pas forcément.

Ce matin je suis allé faire une petite course à 5 kms , j'ai mis 20 mn , j'ai abusé dans les côtes , j'ai mis le 30/36 à l'arrivée c'était un peu juste , changer au moins le tee-shirt aurait été bien , et pourtant c'est même pas la canicule , à peu près 21°C.

Bon, tenté l'extrême: remontée de 330 m de D+ sur 12 km, en quasi musculaire (BionX en mode mini) avec des montées à 9 km/h dans du 8.5 %, puissance estimée aux pédales autour de 170 W
Température externe vers 2 à 3°C, torse nu après quelques centaines de mètres. Fini torse mouillé, pas dégoulinant mais pas présentable non plus.

C'est assez dingue de rouler torse nu alors que la visière givre par moment, la magie opère !

Mais pour éviter la transpiration, une assistance aux normes Suisses s'impose. Double de la puissance européenne, ça aide. En musculaire ou quasi, je dois m'aligner sur les avis précédents et accepter l'idée de se changer à l'arrivée.