Nous sommes allées ma fillotte (16 ans) et moi faire un petit bond quelques siècles en arrière, visiter des châteaux le long de la Loire et du Cher Elle en trike avec 10kg de bagages et moi en fujin avec 15kg de bagages. Pour elle c’était son premier voyage en cyclo-camping, pour moi le deuxième en vélo, mais le premier en camping.
J1:Départ de Moirans à vélo direction gare de Voiron où nous prenons le train pour Tours.
l'avantage d'avoir son propre siège dans un train plein...
Très aimablement accueillis chez les parents de Philéas. Merci à toi et surtout à eux pour nous avoir offert le gîte et le couvert, beaucoup parlé vélo, of course, quelques conseils d’itinéraires, soirée et petit déjeuner bien agréable.
J2:Tours-Villandry par une très belle piste de long du Cher
. Villandry- Azay le rideau
par piste balisée. Azay le rideau-Langeais route partagée
. Langeais-Luynes par les petites routes
.
J3: Luynes-Tours par les petites routes, direction Amboise par la piste « Loire à vélo »
, où nous avons interpellé Pelerin qui été en trike avec un groupe d’amis
J4: Amboise- Chenonceau route partagée et piste. Chenonceau - Blois
-Vineuil par la route.
J5: Vineuil- Chambord piste le long de la Loire
et route partagée. Chambord -Cheverny piste et route partagée
. Cheverny-Chemery par la route.
J6: Chemery-Selles sur cher par la route. Ma fillotte fatiguée nous décidons de prendre le train à Selles au lieu de Vierzon pour le retour à Voiron.
263 km au compteur. Question matos, la chaîne du trike cassée sur un démarrage un peu virulant, le rétro a succombé après avoir été heurté dans le train par des valises.
Vu 10 châteaux, visité 6, (Villandry, Azay, Amboise, Chenonceau, Blois, Chambord et Cheverny) 4 camping. Arrivées à Voiron, nous finissons tranquillement par 10 petits km à la nuit tombée.
Nous sommes toutes les deux fan de la renaissance, alors, des merveilles pour les yeux, peintures, sculptures, architecture, mobilier… jardin à la française, parc à l’anglaise, tous différents et tous si beaux.
Une histoire de France un peu complexe, pas toujours facile à suivre, mais un vrai bonheur d’être en ces lieux chargés du vécu d’hommes et de femmes au fil des siècles.
Et le deuxième grand bonheur, fut de partager cet itinéraire avec elle, en vélo, la difficulté de quelques montées, l’ivresse de quelques descentes, les balades à pieds, la fatigue des fins de journée, la vie quoi!
Merci aux parents de Fred pour nous avoir proposé leur hospitalité mais trop fatiguées pour aller jusque chez eux le jour en question.
Dommage pour Figaro, mais pas de connexion en chemin donc pas vu ton message.