Réglages divers du Vortex

Lud'O a écrit:

Eh bien non , gonflage au maximum autorisé : bonne idée ! Tu réduis considérablement les risques de crevaisons par effet de pincement de la CàA.
L'appui-tête a toujours été réglable. Perso à la base de la tête c'est parfait.
Je ne cherche jamais les conducteurs , j'observe seulement le comportement des véhicules.

Oui, moins de crevaison et sans doute plus d'efficacité ... mais pas vraiment supportable on dirait
Je retente de suite pour voir

Là, il a été soudé ...

et le regard, une habitude du temps de la moto que j'ai gardé pour le vélo et qui permet (surtout dans le Sud ...) de rester en vie !
Un gars en bagnole dont tu as chopé le regard et que tu ne laches pas va rarement te couper la route ...

D'origine ce n'est pas soudé.

DB2
tous ces "petits problemes"
c'est "normal" quand on achete sans avoir vu ni essayé..
Papy volant

DB2 a écrit:

ensuite le rayon de braquage ... je ne suis vraiment pas sûr que ça passe sur une épingle à cheveu serrée !
On fait comment, on recule avec les pieds au milieu ?
Et en ville ... ça doit être chaud !

Première chose à faire, virer la pièce qui avance l'assise, et sortir la section arrière du cadre, du tube du cruciforme (partie centrale du cadre), d'une longueur identique à celle de la distance d'avancée de l'assise, de façon à avoir la fixation arrière du siège en face du perçage du cadre correspondant.
Ca devrait aller mieux question braquage car les points actuels de butée du guidon (bords du siège) seront plus en arrière, et la partie avant du siège est plus étroite, donc le guidon pourra aller plus loin vers l'intérieur.

Courage, il va falloir mettre les mains dans les boulons... Un conseil, visualiser mentalement ce qu'on va faire, avant de sortir les forceps.
Une fois la section arrière ajustée, resserrer les 2 vis de serrage du cadre vers la section arrière, à 12-13 Nm. Pour vérifier l'orthogonalité de la roue arrière par rapport à la barre d'essieu qui relie les 2 roues avant, mettre le trike sur un plan horizontal et se placer derrière le trike, visualiser si la roue arrière semble pencher d'un côté ou de l'autre. On peut forcer la roue à pencher d'un côté ou de l'autre pour vérifier la verticalité par comparaison, avant de la remettre d'applomb.

"frotté dessous"
soit on descend de l'engin ..!
soit -et -on protege le dessous avec protection style gaine Amstrong ou autre
Papy volant

première vraie descente : 60 m de déniv. en ligne droite ...

pas la mer à boire et pourtant dans cette même descente mon char solaire était plus stable ...

Définitivement, c'est trop raide, je vais enlever un  peu d'air des pneus
J'avais l'impression de rebondir de bossette en bossette donc je ne pense pas être passé plus vite qu'avec le Tricon

Sur le trajet, en vitesse moyenne pourrie, la bonne nouvelle c'est que les cuisses ont forcément une marge de progression ... sinon je pleure !

L'autre bonne nouvelle, c'est que sur les rond-points au bitume refait, c'est le panard !!!!
La bête sort ses griffes et reste ancrée dans le bitume : aucune peur de se renverser !

Bon, ce soir je tente de suivre les conseils d'el gato !!!!

DB2 a écrit:

L'autre bonne nouvelle, c'est que sur les rond-points au bitume refait, c'est le panard !!!!
La bête sort ses griffes et reste ancrée dans le bitume : aucune peur de se renverser !

C'est sûr que la différence de stabilité entre un rase-moquette et un lit à baldaquin (sans mépris aucun pour un gros trike motorisé solarisé je précise, qui fait des choses que le Vortex ne pourra jamais affronter) est frappante.

Profites-en encore un peu tel quel si le moindre braquage n'est pas trop pénible, des fois qu'après avoir enlevé le support de siège avancé, le Vortex se mette à ressembler au centre Beaubourg (avec des tuyaux dans tous les sens).
Non là j'aurais pas dû écrire ça, je vais faire peur. Mais s'il n'y a pas urgence absolue, inutile de se précipiter, ça peut attendre quelques jours le temps d'apprivoiser la bête.

nan, y a urgence !

je m'y attaque dès que je peux

Les cotés positifs, je les cherche et fais ressortir pour pas déprimer mais ça ne s'équilibre pas du tout pour le moment

DB2 a écrit:

ensuite le rayon de braquage ... je ne suis vraiment pas sûr que ça passe sur une épingle à cheveu serrée !
On fait comment, on recule avec les pieds au milieu ?

Ben non, y a la technique du regretté (sur ce forum) Laurent Ness: ça marche avec le QNT (à tambours):
tu plantes un freinage de bourrin des deux freins avant, cela provoque un violent  transfert de poids à l'avant qui soulève la roue arrière, et à ce moment là tu donnes un bon coup de c... (ou de déhanchement) pour faire tourner l'arrière et tu relâches progressivement les freins en commençant par la roue extérieure !  Bon, vaut mieux avoir un bon protège plateau pour ne pas planter la couronne dans le bitume, ce qui pourrait avoir de fâcheuses conséquences !

Et j'avais oublié un truc que j'ai vu ce matin et qu'il me faudra vérifier ce soir : je ne grimpe pas du tout au mur avec le Rohloff

J'ai voulu prendre une forte pente pour vérifier la forte démultiplication du Rohloff ... mais heureusement la pente de la route d'accès à cette rue m'en a dissuadé : pas sûr de sortir en haut sinon

Je me suis donc dis que c'était pas grave, que je n'avais qu'à utiliser les deux plateaux plus petits au lieux des deux grands

Hé bien non, ce n'est pas si simple ...
Dans ma belle petite descente, j'avais l'impression de mouliner à mort !

Par contre, comme je ne trouvais pas ça très stable, je n'ai pas pu apporter l'attention nécessaire pour être sûr que j'étais bien sur la vitesse 14

à vérifier ce soir

M a écrit:

DB2 a écrit:

ensuite le rayon de braquage ... je ne suis vraiment pas sûr que ça passe sur une épingle à cheveu serrée !
On fait comment, on recule avec les pieds au milieu ?

Ben non, y a la technique du regretté (sur ce forum) Laurent Ness: ça marche avec le QNT (à tambours):
tu plantes un freinage de bourrin des deux freins avant, cela provoque un violent  transfert de poids à l'avant qui soulève la roue arrière, et à ce moment là tu donnes un bon coup de c... (ou de déhanchement) pour faire tourner l'arrière et tu relâches progressivement les freins en commençant par la roue extérieure !  Bon, vaut mieux avoir un bon protège plateau pour ne pas planter la couronne dans le bitume, ce qui pourrait avoir de fâcheuses conséquences !

Alors comment dire ...

Déjà, je pourrais dire que comme mes freins avant sont couplés, c'est impossible ...

Mais non, c'est juste que ce n'est pas de mon niveau !!!

Et avec des freins séparés, je ne comprends pas l'interet de cette methode !

Il ne suffit pas de bloquer la roue interieure et de tourner autour ?

Eh DB2 , la méthode de M c'est aussi la meilleure façon de cramer les pneus !! Je dis ça je dis rien hein !

j'y ai repensé en revenant ce soir : même en freinant à mort, je ne vois pas comment on peut lever la roue arrière du Vortex ...

Pour aider la roue arrière à se soulever, il faut décoller le dos du siège, il faut s'asseoir, en fait.
M'enfin avec un Vortex, il faut vraiment y aller fort, à cause de l'empattement long, ça fait une masse à soulever au bout d'un grand bras de levier. La tâche de M est plus facile avec un p'tit Qnt en roue arrière 20".

Mieux vaut ne pas jouer à ça sans protège-pédalier, des fois que ça marche

J'y étais arrivé une fois dans une descente à basse vitesse. Ça aide ! Mais c'était inattendu et je n'avais pas fait exprès !

bon, deuxième essai ...

j'ai viré la moitié de la pression des pneus : nettement mieux !

En gros, ça va presque tout le temps mais ...

Comme ça allait mieux, je suis allé chercher une petite bosse ...

Et d'un, ça m'a mis le nez dans la certitude que le Ventoux n'était pas pour demain. Comme ça faisait déjà un peu mal, en pensant à GP, j'ai tenté de faire qqes tours en ne me servant que d'une jambe ... j'ai bien failli ne pas mettre qqes au pluriel !
Respect !

et ensuite, la descente ...
bitume granuleux ... vibrations de chez vibrations !!!
Un coup à en perdre les lunettes ...
Insupportable si ça doit durer

Par contre, bas de la côte en bon bitume et virage serré derrière, c'est vraiment un truc fait pour !!!
Cet engin ne sert en fait qu'à tourner en rond au Castellet !!!!

Ce qui est plus embêtant, c'est que j'ai bien vu hier ... je suis encore plus lent qu'en vélo droit !!!!

Finalement les 100 tours comme objectif, ça n'est peut-être pas si ridicule ...

el gato a écrit:

Mieux vaut ne pas jouer à ça sans protège-pédalier, des fois que ça marche

Je jouerais à me créer des pbs de toute pièce quand j'aurai résolu ceux, réels, qui s'imposent à moi ....

Ah ben oui c'est plus lent qu'un VD : une roue de trop et deux fois plus lourd.

Sur une descente que je ne connaissais pas et granuleuse aussi , ce ne sont pas les vibrations le souci mais l'impression que je risquais de déraper car ça ressemblait à des graviers donc c'était déconcertant.

Là non, je sais que ça tient. Enfin que la route est d'un seul morceau

Ce dont je doute c'est de ma capacité à maitriser tout ça dans ce niveau de vibration
Par exemple, il m'est impossible de laisser la tête appuyée sur l'appui-tête sous peine de séquelles neurologiques !!!!!

Sur le QNT j'aime finalement assez les gros pneus (scorcher voire marathon supreme...), ça tient mieux la route même sur des revêtements pourris.
(pour la technique de virage pas sûr qu'El Gato me prête son ICE de test pour faire des essais !!!)

Je ne connaissais pas ce suprême !

Il a une tronche à rouler tout en étant confortable : qqun confirme ?

par exemple ...

c'est sûr que mettre du 35 sur un vortex peut choquer ... mais pas plus que le laisser au garage ...

Pourquoi pas?
Tout dépend de ce que tu veux faire avec ton vélo.

Si tu cherches des pneus plus confortables, éventuellement plus aptes à permettre de faire un peu de tout chemin light à l'occasion,
ça peut être une idée pertinente.
Il y a des routes parfois en mauvais état.

Tu y perdras sans doute un peu en performances , mais tu y gagneras en confort.

Ca rejoint un peu ce qui se fait en VD actuellement, entre les vélos purement sportifs sur route et les gravel bikes
plus polyvalents.

Je crois que grandpierre avait fait des choses peu académiques avec son vortex...

DB2 a écrit:

Je ne connaissais pas ce suprême !

Il a une tronche à rouler tout en étant confortable : qqun confirme ?

il a au moins 2 fils dédiés!
http://velorizontal.1fr1.net/t7598p50-schwalbe-marathon-supreme?highlight=supreme#556293
http://velorizontal.1fr1.net/t13683-vive-les-marathon-supreme?highlight=supreme#255815
J'ai été surpris dans une de mes montées favorites (150m D+) je ne perdais pas grand chose. Et en descente ils tiennent au top. Pas de soucis non plus sur les pistes sales (à la différence des kojak/scorcher/...). Donc non cela ne me semble pas inconsidéré pour mettre sur un vélo qui est appelé à rouler en tout temps...

Super, merci pour cette info et les fils dédiés

En fait, perso, c'est facile :

Pas de voiture pour aller bosser --> il pleut trop (je suis en Provence ...) je prends le bus (autant dire que je ne prends pas un abonnement !)

Il pleut un peu, il caille, j'ai la flemme : je prends je ti-fly AE solaire

Tout le reste du temps (la majorité donc) je compte prendre le Vortex

Donc il faut qu'il arrête de me considérer comme de la crème à monter en chantilly
Comme il y a déjà qqes années que la performance n'est plus mon soucis, si les pneus me ralentissent, c'est parfait : ça me donne une excuses externe pour être lent

Par contre, ce vortex ressortira de ses routes pourries pour le Castellet : on lui mettra de vrais pneus sans excuses ...

Je veux donc des pneus qui roulent qd même un peu, qui ne crèvent que qd vraiment on insiste, qui durent un peu et qui tiennent sur route mouillée

Ces suprêmes ont l'air parfaits (je regarde s'ils existent en 20")