Pederrodoù Quattrovelo#9 & Duoquest #05; Snoek#58

Eva m’a fait le design pour les autocollants de la dérive.



J’ai aussi replongé pour un conti gp5000 32-622 en tubeless cette fois à l’arrière.
Maintenant je ferai gaffe sur le mouillé, mais il est plus confortable que le urban contact, sa pression maxi est seulement à 6 bars.
Dommage que conti ne le fasse pas en 30-406, ce serait un concurrent sérieux au pro-one schwalbe.

Le Snoek "dérivé" pourrait prendre le nom d'Esox

Magnifique !!
Oui effectivement ça serait un sérieux concurrent !! Dommage !

Personnellement, je n’ai rien pour tenir mon tiler en roulant (juste un velcro pour le coller en position haute lors des entrées sorties du vm.
Je trouve que ça fait travailler bras, épaules et pectoraux de tenir de manière dynamique le tiler en roulant. Ça me semble une bonne chose de ne pas travailler que les cuisses quand on roule (pas envie de ressembler à une grande grenouille avec juste des cuisses ) et je m’y retrouve à l’escalade avec un peu plus de viande en haut et en bas du corps !

Les pecs c'est comme les abdos : j'ai des très gros doutes !

Voilà ça c’est fait BRM 300, hier enfin plutôt 307km pour 3680m de D+, qui a dit que la Bretagne était un plat Pays.
Première partie jusqu’à 65km, ça roule bien, on double le peloton de tête. Comme nous ne sommes que tous les 2 le pointage prend moins de temps.



Puis ensuite ça commence à monter puis à descendre puis à remonter puis à redescendre, c’est sans fin.
Km 90, un coup de fusil, des pointillés blanc sur la route, le pro-one de gauche vient d’exploser pour ses 140km de roulage, quelle merde ces pneus.
Je me mets plein de liquide anti-crevaison partout, je comprends maintenant pourquoi les vrais cyclistes ont les jambes rasées.
On démonte péniblement ce pneu, provenance Ginkgo, beaucoup plus difficile à monter et démonter que les autres de provenance cycletyres.
On remonte un ancien pro-one avec chambre facilement, le seul problème c’est de le faire claquer, impossible, le Snoek fera vibro-masseur pendant les 210km qui restent. Heureusement il y a plein de patates et en dessous de 20km/h je ne le sens pas, au-dessus de 60 c’est aussi moins sensible.





Bref, on roule notre bonhomme de chemin, en s’arrêtant ici et là pour se désaltérer et manger un morceau, ambiance sympa avec les autres cyclistes qui nous passent dans les côtes et que l’on double ensuite. Au bout d’un moment ça commence à fatiguer ce traitement de faveur, heureusement les 50 derniers km sont plus favorables. Je vibro-masse toujours, pas de répit.




Nous finissons à un poil moins que 28kph de moyenne, pas mécontent d’arriver. Ronan aurait pu faire mieux je n’en doute pas, il va pouvoir le prouver sur le 400km, je serai sur la route de la Bourgogne.

Conclusion, plus de pneus chers et pourris, je vais limer les humps et mettre de vrais pneus, one ou urban contact. A l’arrière nous avons roulé avec des René Herse Bon jo pass en 35-622, confortable et léger, sur ma jante il fait 37,5mm de large.

High hat !
28Km/h en Bretagne ...
J

Zenedavtri a écrit:

Voilà ça c’est fait BRM 300, hier enfin plutôt 307km pour 3680m de D+, qui a dit que la Bretagne était un plat Pays.

Jacques Pouliquen a écrit:

High hat !
28Km/h en Bretagne ...
J

En effet! Vous n'avez pas un peu molli les gars? 28 km/h c'est plutôt modeste!
On attendait mieux!  


Pour info, vous avez une idée de ce qu'on pu faire les premiers VD arrivés après vous? (forcément)

Bravo Denis sacrée moyenne vs ce gros dénivelé 🤩.

"""Limer les hump"" voilà une bonne idée (tu pourras me donner ta technique stp, merci).

Je ne sais pas, surement mieux que nous, avec ce niveau de D+, le VM n’est pas dans son domaine.
Mais bon nous ne sommes pas ridicule. Les patates de 10%-11% ont en a vu quelques unes.
Dans ce cas le SD Schlumpf est un peu juste, ça monte en force, j’ai un plateau de 38 avec une cassette 11-42.
Sinon, jusqu’à 3-4% le 62-42 ça passe et jusqu’à 8% sur les courts raidillons.
Le gps Garmin me donne la longueur du raidillon, sa pente par segment, quand c’est rouge, ce n’est pas bon.

Pat16 a écrit:

Bravo Denis sacrée moyenne vs ce gros dénivelé 🤩.

"""Limer les hump"" voilà une bonne idée (tu pourras me donner ta technique stp, merci).

L’idée revient à Philippe qui l’a fait à la lime.

Oups 🤨, à la lime ??? aïe , parce que c'est vrai que c'est ch.... même un Conti Urban j'ai eu toutes les peines du monde à l'enlever (seulement réussi à l'étau).

Tu as eu du mérite de virer un P.One sur le bord de la route et avec la pression de faire vite .

Voilà qui prouve que ce foutu hump est un vrai problème !

Zenedavtri a écrit:

Km 90, un coup de fusil, des pointillés blanc sur la route, le pro-one de gauche vient d’exploser pour ses 140km de roulage, quelle merde ces pneus.

Ça ne donne plus guère envie ces pneus ! Parfois je me demande si nos VM ne sont pas trop lourds pour ce type de pneus parce que sur mon Vortex j'ai encore les anciens One , sans doute pas plus solides que les Pro-One , et j'en suis pourtant content.

Zenedavtri a écrit:

Dans ce cas le SD Schlumpf est un peu juste, ça monte en force, j’ai un plateau de 38 avec une cassette 11-42.

Ah ! Tu comprends maintenant pourquoi je préfère le MD ?

Des raidillons comme ça il n’y en a pas des tonnes, pas la peine d’essayer de me faire revenir en arrière.

Pat16, déjà ce pneu était tellement serré qu’il n’a pas dû bien monter derrière le hump, alors il n’était pas collé bien que non fuyard.

" fait à la lime "
Ce que je ferais si j'étais humpé

. une lime plate douce largeur 20mm avec au péalable un coup de meule pour arraser les dents sur le ou les champs et permettre à la lime de s'autoguider dans le creux de la jante sans avoir l'envie de mordre
. la lime dans une main en tournant la roue de l'autre

il ne me parait pas necéssaire d'enlever tout le hump

Tu as sans doute raison Zapillon, enlever ce qui est vraiment saillant.
J’ai aussi une lime électrique, ça pourrait faire le boulot sans trop d’effort.
J’ai des vieilles jantes voilées, je peux tester dessus celle-là avant de passer sur celles qui serviront.

Merci à tous les deux, donc j'attends ton retour Denis.
Tu peux être sûr que si j'avais eu vent de ce souci de hump, j'y aurais prêté attention et je n'en aurais jamais eu.

Pourtant Fleur en a déjà parlé plusieurs fois de ce hump.

Bravo a vous pour ce BRM
avec de tel dénivelé vous êtes prêts pour venir jouer dans nos belles montagnes

Oui Marcel, c’est peut-être plus facile de monter tout d’un coup et de redescendre ensuite à tombeau ouvert.

zapilon a écrit:

"  fait à la lime "
Ce que je ferais si j'étais humpé

. une lime plate douce largeur 20mm avec au péalable un coup de meule pour arraser les dents sur le ou les champs et permettre à la lime de s'autoguider dans le creux de la jante sans avoir l'envie de mordre
. la lime dans une main en tournant la roue de l'autre

il ne me parait pas necéssaire d'enlever tout le hump

Faire tourner la roue, très bonne idée, on peut l'étendre en immobilisant bien le vélo et faisant tourner la roue sur le vélo avec le pédalier pour la roue arrière, on obtient une sorte de tour !

J'ai aussi eu tous mes Pro-one détruits d'une manière ou d'une autre sur un banal VD de 8kg. Aucun n'a finit sa vie en étant complètement usé.

" faisant tourner la roue sur le vélo avec le pédalier pour la roue arrière "

Fleur tu délires ... et à plat ventre la tête dans le coffre pour pouvoir tenir la lime contre les humps

Pour répondre à Ludo, bien sûr c'est justement depuis que Fleur nous l'a appris que je le sais.

zapilon a écrit:

"  faisant tourner la roue sur le vélo avec le pédalier pour la roue arrière "

Fleur tu délires  ... et à plat ventre la tête dans le coffre pour pouvoir tenir la lime contre les humps

N'as-tu jamais mis un vélo les roues en l'air pour y travailler ?

Connais-tu ce qu'on appelle un pieds d'atelier ?

C’est plus difficile sur un vélomobile Fleur.