Pederrodoù Quattrovelo#9 & Duoquest #05; Snoek#58

dobage des routes
J'ai lu cette phrase quelque part sur ce forum et j'ai trouvé qu'elle collait bien je trouve, au signalement de cette façon par soucie d'économie soit disant et pour rendre les routes moins glissant( n'est-ce pas Denis).
de balancer du gravillon sur les routes puis de l'arroser avec du goudron liquide, puis remettre une couche de gravier par dessus pour pas que çà colle, rebalayer le tous quelque temps plus tard (ou pas).

Cela créé plein de joyeuseté, chute sur gravier    , projection de gravier peinture parebrise etc..   ., projection de goudron frais    , puis cela devient une belle râpé à fromage, les cyclistes lui disent merci, la ou ils chutaient avec ptit brulure, maintenant il s'arrache toute les couches de l'épiderme  , puis l'été venu le goudron fond créant aussi de belle chute   , et se recolle à nouveau partout    cela  créé c'est belle plaque lisse comme un miroir  là ou Denis a probablement glissé.
et enfin lorsque cette dobe a mal fusionné avec l'ancienne couche elle s'arrache par plaque rendent d'ancienne belle route, bien qu'encore potable pour les voitures, totalement pourrie pour les cyclistes    .

oups grillé par Denis.   en plus concis  

Aïe, je viens de voir ta péripétie avec ton Snoek, pas cool... j'espère que tu t'en remets bien, je me fais moins de soucis pour le VM s'il est entre tes mains
Bon rétablissement !

Aïe ! Je viens de voir tes mésaventures : pas drôle… mais heureusement qu’un camion n’arrivait pas en face. Remets-toi bien et donne nous des nouvelles des réparations ( changement de coque ?)

Le dobage des routes, s'appelle un cache misère, qui cycliquement commence à se pratiquer au printemps.
Cela fait le bonheur des changeurs de pare brise, la fortune des entreprises de travaux publics et le malheur des cyclistes, mais n'a aucune efficacité sur l'amélioration de la chaussée.

Dobage, est-ce un régionalisme?
Je ne vois pas de trace dans les dictionnaires. Si on parle de gravillonnage ou d'enrobé gravillonné, on comprend mieux de quoi il s'agit..

C'est sûrement pour ça que je n'avais pas compris.

je suppose qu'il faut lire "daubage"
de l'ancien français "dauber"

Clairement de la daube oui !!

Merci pour la recherche çà colle bien au sujet.

Mais pas aux pneus

Au juste :

Papy Bruno le 2 novembre 2021 a écrit:

Est-ce que ton SNOEK est réparable ?

Pour l’instant nous en sommes au stade des discussions avec l’assurance, dès que ça sera finalisé je vous l’écrirai.

Ce matin je suis passé dans la fâcheuse descente avec le Quattrovelo à peu près à la même vitesse, j’ai évité les zones lisses et 4 roues ça fait une sacré différence.

Oui clairement.

Bon rétablissement. Le physique est une chose, le psychique une autre. J'espère pour toi que c'est réparable.

Comment elle se démonte la 622 du Snoek au juste ?

C’est le même système mer…que conçu à la base par Daniel Fenn.

Par contre si tu enlèves le chapeau au bout du bras oscillant tu peux démonter le bras sans sortir la roue.

C'est bien ce qu'il me semblait donc moyeu inversé ?

Je découvre maintenant ton accident et le sort de ce malheureux snoek.
Heureusement que tu t'en sors bien.

C'est toujours ce type de scenario qui me fait peu en VM : perte d'adhérence de l'arrière, départ en tête à queue, reprise d'adhérence, tonneau, et fin en savonnette contre la rembarde.

J'ai deux questions :
- avais-tu un amortisseur arrière à huile? je sais que les snoek pourraient en bénéficier (je ne sais pas si c'est monté en standard)
- sur mes précédents Velomobiel, j'avais l'amortisseur standard à friction : sur certaines surfaces un peu style type vibreur, je sentais la roue arrière rebondir et perdre complètement l'adhérence (mais cela ne m'est arrivé qu'en ligne droite, heureusement pour moi...) Est-ce que dans ton cas la perte d'adhérence est liée à ce même effet? ou bien uniquement au fait que c'était vraiment glissant?

Merci.

Il y a bien un amortisseur à huile sur le Snoek.
La perte d’adhérence est due au revêtement glissant de la chaussée.

Décidement, je ne vais plus assez sur ce forum : j'avais totalement raté ta mésaventure, Denis.  Je compatis et te souhaite le meilleur, pour toi et le vm.
Finalement, il vaut peut-être mieux rouler à 15 km/h en Charente-Maritime, sur des routes tellement pourries (et sans gravillons) qu'on ne peut pas aller plus vite sans risquer au minimum des crevaisons, sauts de chaîne, bris de dérailleur, engueulade par le Biquet "mais pourquoi (boum) tu me fais (boum) passer (boum boum) par ici (BOUM) ?" etc, etc,
Je rigole  et pourtant c'est la vérité.

Ce type de revêtement s'appelle du bicouche car mis en oeuvre en 2 couches : sur un tout-venant compacté ou sur un enrobé existant, un camion avec des rampes qui asperge du bitume liquide et chaud et juste derrière, un autre (en marche arrière si je me souviens bien) qui déverse du gravillon. Après, on attend une 15aine de jours que les usagers se plantent roulent dessus pour tout compacter eux même et ensuite, une balayeuse vient enlever le surplus.
On obtient ensuite une merveilleuse bande de roulement très rugueuse ; parfaite pour avoir une bande adhérence en cas de faible neige ou gel, horrible pour tout le reste du temps en particulier en voiture, vélo, poussette, trottinette, skateboard, etc ...
Coup de l'opération : environ 50% moins cher qu'un enrobé classique pour un résultat tout pourri.

Quand je pense que le département 71 à eu la bonne idée de faire réaliser une bonne partie de la voie verte "La Bressanne" par ce procédé, je me questionne vraiment sur leurs motivations, leur santé mentale, leurs capacités cognitives ...

labiquette a écrit:

Décidement, je ne vais plus assez sur ce forum

En effet !

https://velorizontal.1fr1.net/t26666-pourquoi-ce-pseudo-quattryves#678182

labiquette a écrit:

engueulade par le Biquet

Ce n’est pas grave Labiquette, j’aurais presque pu finir ma balade renversante si le siège n’avait pas éclaté lui aussi.

Et tant que ce n’est que du matériel, c’est acceptable.

Ça tombe à point pour vérifier le fonctionnement de mon assurance, un article est en cours d’élaboration sur ce point, à paraître dans le prochain vélomobiliste.

Du coup ton expérience m'a décidé à franchir le pas, je viens d'assurer le Milan .