Sarko et le vélo couché

Lu aujourd'hui dans la version web du Figaro (lien : http://sports.lefigaro.fr/article_figaro_2.html)

« Ce qui plaît à Sarko dans le vélo, c'est la douleur. Il aime ce sport qui réussit à ceux qui résistent le mieux au mal », résume un de ses compagnons de route.

On est mal barré pour le convaincre de s'intéresser au vélo couché...

Si il aime avoir mal au cul c'est son choix

Ceci expliquerait donc cela....
Bon, plus sérieusement je trouve toujours limite ceux qui disent que sans souffrance la victoire est moins belle. Pourquoi? Si l'on est capable de se distancer de la concurrence par un avantage technique ou stratégique clair, pourquoi cela entacherait la qualité de la victoire, ou de la performance?

Et en remarque annexe, certains résistent au mal, d'autres l'incarnent...
Son compagnon de route n'a pas la lumière à tous les étages.

Je ne sais pas ce que vous avez tous contre Sarko !!! Vous ètes jaloux ou quoi ? Ca commence à devenir " La Secte du vélo couché " ! Les Bidochons vont pas tarder à prendre le pouvoir , c'est clair !

Amgoun a écrit:

Je ne sais pas ce que vous avez tous contre Sarko !!! Vous ètes jaloux ou quoi ? Ca commence à devenir " La Secte du vélo couché " ! Les Bidochons vont pas tarder à prendre le pouvoir , c'est clair !

Jaloux ? Non point, messire.

Je m'disais juste qu'avec un président qui aime la bicyclette, on aurait peut-être des chances de voir une politique en faveur du vélo, y compris du vélo couché. Mais là, quand j'ai vu ce qui lui plait dans le vélo, j'ai vite déchanté pour nous zôtres vélocouchistes... Un vélo confortable, ça peut pas l'faire...

moi je l'aime bien sarko car grâce à lui pleins d'internautes viennent sur mon site http://www.sharkosy.fr et la promo des véloc ouchés se fait toute seule;
Les nouvelles photos sont ici http://sharkosy.fr/images/sharko2/index.html?5b1d4e48ba.jpg

bien amicalement

denis

de plus, je pense que d'une manière générale, le vélo pour lui c'est sur les pistes le dimanche…
quand aux marginaux que nous sommes, même pas il nous regarde !

Si le vélo, c'est prendre son puant pour faire 100km, aller faire 25km de "vélo" le nez dans le guidon, puis rentrer se doucher, boire un bon vin de l'autre bout du monde et allumer un gros plasma et la clim', très peu pour moi.

Si c'est souffrir en peloton avec en moyenne une voiture par cycliste voir plus, toujours très peu pour moi.

Au dernier tour de romandie il y avait 50 motos et 135 voitures, pour suivre les vélos... Pas glop.

Jaloux de quoi? De l'incapacité ou de l'absence de volonté de se projeter dans l'avenir et de résoudre aujourd'hui les problèmes de demain? Non môssieur, très peu pour moi...

cavallo pazzo a écrit:

Si le vélo, c'est prendre son puant pour faire 100km, aller faire 25km de......... très peu pour moi...

Je suis complètement d'accord

cavallo pazzo a écrit:

Bon, plus sérieusement je trouve toujours limite ceux qui disent que sans souffrance la victoire est moins belle. Pourquoi? Si l'on est capable de se distancer de la concurrence par un avantage technique ou stratégique clair, pourquoi cela entacherait la qualité de la victoire, ou de la performance?

Et en remarque annexe, certains résistent au mal, d'autres l'incarnent...
Son compagnon de route n'a pas la lumière à tous les étages.

Il pense comme beaucoup que le vélo c'est dur et il n'a pas tord. Pour pédaler vite en couché ou en droit faut appuyer donc c'est dur. La différence c'est que l'énergie perdue à lutter conter le mal de c.. est utilisée à des fins plus propulsives en VC.
Il faut avoir mal pour gagner c'est l'éducation judéo-chrétienne peut-être ?

Moi, je m'en tape de gagner !

Je cherche juste à être bien !

J'ai toujours pensé que la souffrance était une chose qu'il fallait chercher à éradiquer en ce bas monde ! Je sais bien qu'il est difficile de l'éviter en certaine circonstance, mais je ne part pas sur quelque chose avec dans l'idée d'avoir mal pour être bien ! Je la suppporte quand je ne peux l'éviter mais je cherche toujours le moindre mal !

Ce qui explique le vélo couché, alors que je commençais à avoir moins de difficulté en terme d'effort pour aller au boulot à vélo.

pascalambic.