Suivi GPS de Barbara et Jéjon, Raid Provence Extrême 2010

Pour moi, Barbara a fort bien fait d'abandonner et j'espère que c'était à un moment où elle était parfaitement en forme et non alors que des premières fatigues commençaient à l'envahir
Déjà la participation au Kidam, ça faisait bcp je trouve ...

Elle n'a pas abandonné Juste géré son entrainement ( voir plus haut dans le sujet )

Bonjour Jéjon

J'aimerai avoir les nouvelles promises par le monsieur que j'ai réparé avec les moyens du bord sur le RPE.

Car si je ne pouvais rien faire pour le vélo, j'ai fait ce que j'ai pu pour le pilote qui depuis est muet. Il semble avoir disparu de la circulation.

AVIS A TOUS

Si par le plus grand des hasards vous trouvez un Jéjon quelque part et quelque soit son état, prière de bien vouloir m'en informer.


Merci

C'est vrai qu'il est devenu muet et j'en ignore la raison mais je peux affirmer qu'il se porte bien et convalesce sereinement, la cheville emplâtrée.

Merci Poupa pour le renseignement, je craignais que mes soins ne l'ait achevé.

Sous le plâtre c'est pour fracture ou grosse entorse?

Si tu rencontres Jéjon veux-tu bien lui mettre un peu de decoration sur son plâtre.

MERCI

légère fracture
3 semaines HS jusqu'à avis contraire
pour la déco, c'est pas super facile, le plâtre est emmailloté dans une bande velpeau; je vais lui prêter le buff AFB

Coucou les gens !

Ne m'étant plus connecté depuis l'accident, je viens de lire avec reconnaissance et plaisir vos diverses interventions et me fais un gai devoir d'y répondre...

En quelques mots, tout d'abord : deux secondes de sommeil, à la sortie des gorges du Verdon, m'ont valu une belle sortie de route. L'endroit n'est pas le plus dangereux : pas de falaise à pic, mais un ravin pentu de caillasse et de broussailles où il devrait être possible de se faire néanmoins très mal... Voici une, deux, trois, quatre photos de (pour les 1 & 2 ; prises de, pour les 3 & 4) l'endroit exact, empruntées à Panoramio sur Gogole Maps.

Réveillé par le contact violent avec le parapet de pierre, j'ai effectué un très court vol plané jusque dans un grand buisson bordant la route (presque au milieu de la première photo). Moment véritablement angoissant : je comprends aussitôt la situation mais, dans l'obscurité, ne puis deviner si je suis suspendu au-dessus d'un véritable précipice. Je me vois dans un album de Tintin, me cramponne aux branches en espérant que l'arbuste a de solides racines. Je m'en extirpe enfin, la cheville droite un peu douloureuse, haletant.

Depuis mardi 25 et pour quelques semaines, un plâtre m'oblige à laisser cette cheville, un peu fracturée, se rétablir pour de nouvelles aventures...

ly masse a écrit:

Grands Randonneurs = non assistance= 5kg de charge et sur ce parcours montagneux c'est loin d'être négligeable, + de temps passé aux arrêts (trouver de l'eau etc ...).

Oui, en effet, l'estimation est très proche, bravo ! La pesée de mes deux sacoches, chez Serge, affichait 5,7 kg -- sans compter l'eau, dont j'ai emporté deux litres pour grimper le Ventoux. Il y a clairement du travail à faire à ce niveau : il faut gagner du poids. Il est vrai aussi que je ne me bats pas à armes égales avec certains (la plupart ?) "grands randonneurs", qui disposent tout de même d'une assistance "mode Paris-Brest", qui les attend à chaque point de contrôle.

Carbon Arrow a écrit:

Pour Jejon je ne le vois pas sur une autre monture que son Zokra vert ? [...] On en déduit que ses os sont plus résistants que la fibre de carbone de sa fourche

Mais pas de beaucoup tout de même, puisque me voici plâtré avec une "suspicion de fracture" de la malléole interne droite... Oui, il s'agissait bien du Zockra vert.

Vindwa a écrit:

Mais qu'il doit être déçu! C'était un de ses grands objectifs de cette année

Poupa a écrit:

Le bilan moral est peut-être plus lourd; sous le coup, il s'interroge sur la poursuite de sa participation à de tels évènements. Il nous en dira plus à tête reposée.

Non, je ne pense pas avoir été moralement très atteint. Simplement résigné. Le RPE n'était pas mon principal objectif, Bordeaux-Paris étant prioritaire à mes yeux -- bon, évidemment, c'est râpé aussi ! Ma seule certitude dès les premiers instants après l'accident fut : ceci ne doit plus se produire. Cette conviction est toujours la mienne. Mais pendant deux jours, la conclusion que je croyais devoir en tirer était qu'il fallait abandonner la longue distance. J'ai assez rapidement changé d'avis, puisque

Figaro a écrit:

la connaissance et la gestion de [m]on sommeil peut en revanche se travailler comme le font les navigateurs.

Figaro a écrit:

On vous indiquera par Mp les coordonnées GPS du Saint-Buisson

Les voici ! 43.787451,6.265714

Beginner Ben a écrit:

Les route Françaises sont décidément trop bien entretenues! Un tel assoupissement n'est envisageable dans notre région qu'après un minimum de 72h de veille ;-)

La route est assez bonne sur ce tronçon, c'est exact ; mais quelques cailloux écroulés de la falaise la jonchaient de place en place et, surtout, les segments plats n'y dépassent pas 100 mètres : comment peut-on s'endormir lorsque le parcours est si "distrayant" ?

Carbon Arrow a écrit:

Je lui souhaite [...] de tout de meme profiter un peu de la Provence avant de rentrer

Oui, je remercie du fond du coeur Cycloutil et Patrice, qui se sont relayés pour s'occuper de moi tout ce dimanche où je traînais lamentablement la patte !

Geoffroy a écrit:

C'est plutôt sain que tu en sois tout retourné, preuve que tu n'es pas un tête brulée. [...] Même si personne ne l'a encore écrit ouvertement, nous avons tous pensé à la même personne en lisant les derniers messages à presque un an de son accident, c'est un immense soulagement que la loi des séries ne s'applique pas ici.

Bien que projeté cul par-dessus tête, la mésaventure ne m'a pas vraiment "retourné" : c'est, je crois, par une très froide réflexion que je me résolvais à abandonner la longue distance. Réflexion d'ailleurs à ce point détachée que je n'en éprouvais guère de regret.
Oui, j'ai aussi pensé à Laurent. Il connaissait bien le Verdon.

Sébastien a écrit:

Penses tu que tu manquais de sommeil pour t'être assoupi "si tôt" dans la soirée ? Ou s'agissait-il d'un gros coup de barre que tu pensais gérer en roulant plus tranquille...?

Je traînais une fatigue depuis plusieurs semaines, et les deux nuits précédentes furent très courtes, voire mauvaise pour celle dans le train-couchettes. Les coups de barre me sont coutumiers sur la longue distance, mais jamais à onze heures du soir, après seulement 300 km ! Ces circonstances démontrent bien que je manquais certainement de sommeil, oui.

HTC a écrit:

Comme quoi le carbon c'est surfait et surtout très dangereux quand il casse net.

Berniche a écrit:

à moins d’avoir fait tout le début de parcours en wheeling, il avait bien une roue ? alors en quoi ? elle ? carbone ? alu ? elle a joué les filles de l’air ? plié ? explosé sous l’impacte ?

Euh, je crois qu'il faut que je réexplique un peu les circonstances, là, parce que ces réflexions me laissent entrevoir que certains n'ont pas tout bien compris.

Donc, honte sur moi et humiliation pour des générations de vélos couchés, je me suis endormi sur mon vélo, vers 22h45, en descente, dans les lacets qui sortent des Gorges du Verdon. La route était droite depuis 50 mètres environ, j'en ai donc profité pour piquer un petit roupillon. Manque de bol, qu'est-ce qu'il y a à la fin d'une portion droite ? Eh bien, une autre portion droite, bien sûr, mais pas exactement alignée avec la première, sinon, les agents de la DDE feraient un seul segment droit, plus long, en réunissant les deux segments que nous étudions. Donc, je m'apprête à enfiler comme si de rien n'était deux morceaux de ligne droite, mais ma torpeur m'empêche de constater que la grande imperfection de leur alignement génère ce qu'il est convenu d'appeler un "virage" ou un "tournant" (la structure fractale de la D952 autorise aussi à parler de "singularité"). Oh, pas une épingle, non : voyez plutôt.

Bon. Que fait la fourche en carbone lorsqu'elle voit arriver un virage et que le pilote est endormi ? Elle tremble d'angoisse ? Elle se liquéfie en laissant derrière elle, pour les besoins de l'enquête balistique, une traînée baveuse d'époxy ? Elle s'ébroue comme un porc-épic en dispersant autour d'elle ses fibreuses et tranchantes aiguilles perforatrices de pneus concurrents ? Bref, elle fait hara-kiri ?

Eh bien non, vous allez être déçus : elle ne fait strictement rien. Elle continue sa course dans l'axe approximatif du premier segment de ligne droite, têtue, l'air de rien. Mieux : dans le pivot de direction qui lui sert de glande pinéale, elle prépare déjà sa défense : "Ah, mais on ne m'avait rien dit ! Moi, je suis les ordres qui viennent d'en haut ! Je suis une petite main, moi, et je n'ai que deux bras !..."

Supposons que la singularité de la D952 soit dextrogyre. Le virage tourne à droite, quoi. Selon la trajectoire empruntée par le cycliste et l'angle du virage, il est probable que le vélo (dont la fourche, nous l'avons vu, est un organe très peu doué de raison et encore moins de sens de l'initiative) atteindra le bord de la route de selon un angle d'incidence intermédiaire entre la perpendiculaire et la tangente. Supposons qu'il y ait un parapet de pierre. S'il est discontinu et que nous définissons sa continuité par un coefficient qui serait le rapport entre la longueur des segments de pierre et celle des espaces vides, nous pouvons conclure que la probabilité que le vélo touche le parapet est strictement équivalente à ce coefficient. Supposons que le coefficient de continuité du parapet vaut 1. Il est continu. La probabilité que le vélo-fantôme le touche vaut 1. Supposons que ce parapet soit haut de 45 cm environ. Supposons encore, si vous le voulez bien, n'est-ce pas, que l'angle d'incidence du mobile est plus proche de la perpendiculaire que de la tangente. La pédale ne pouvant toucher le parapet qu'en position basse, c'est le pneu qui touchera probablement en premier. Il est possible qu'ultérieurement on découvre alors sur ce pneu, même en l'absence éventuelle de crevaison, les traces d'un choc violent sous la forme d'une grande zone hernieuse aux flancs laissant apparaître leur trame, quoique presque neufs. Il est possible aussi que la roue de 451 à 20 rayons ronds croisés par deux apparaisse surdimensionnée puisqu'à peine voilée.

Il est probable enfin que l'angle d'incidence, inférieur à 90°, fasse exercer par le parapet sur la roue un puissant moment de force qui lui impose de pivoter vers la droite et à exposer le bras de fourche gauche à la morsure de l'arête du muret, avant que l'ensemble du mobile (vélo + cycliste, celui-ci étant récemment réveillé) ne bascule par-dessus l'obstacle.

Ah, le carbone, c'est très surfait. Voyez-vous, avec une fourche en acier, eh bien, eh bien... il faudrait reprendre le récit depuis le début en cherchant ce qui aurait changé.

Berniche a écrit:

Quand au prétendu abandon programmé [de Barbara] [...] Après ce fiasco, la nuit est là pour porter conseil, et surtout faite pour dormir.

"Prétendu", certes, mais aussi appuyé par mon présent témoignage et documenté par les mails que nous échangeâmes les semaines précédentes. Barbara avait l'intention d'aller jusqu'au Verdon, et une averse sur la corniche a un peu arbitrairement fixé l'endroit exact. Peut-être eût-elle souhaité parcourir 50 km de plus, mais certainement pas davantage. Pas de fiasco de son côté, soyez-en sûr et remontez dans votre chambre.

Botty a écrit:

A bientôt peut-être pour un p'tit tour tranqille dans nos belles ardennes.

Oh oui ! Vivement une petite virée, dans quelques semaines, pour faire oublier ce fichu plâtre !

Speedy Malric a écrit:

Ce qui est arrivé à Jéjon est un accident et la fourche n'est certainement pas conçue pour encaisser ce cas de charge.

C'est clair ! Je ne connais pas ma vitesse à cet endroit, mais elle était assurément supérieure à 30 km/h. Peut-être 40, qui sait ?

Speedy Malric a écrit:

Il est rassurant par contre de voir que la casse est relativement nette et qu'il n'y a pas de 'couteaux' comme cela arrive sur les pièces construites en fibres unidirectionnelles.

C'est même mieux que ça : après m'être extirpé du buisson et m'être reposé du choc, accoudé sur le muret pendant une minute, je suis allé rechercher le vélo, qui était descendu un peu plus bas, encore entier. Je l'ai péniblement traîné derrière moi, je ne sais plus exactement comment, en l'agrippant par la roue arrière et/ou l'appuie-tête. Je l'ai ramené sur la route et posé contre le muret. Tout semblait normal ! La photo suivante a été prise dans les minutes qui ont suivi l'accident :


J'avais grand envie de repartir, et j'ai inspecté le vélo. J'ai redressé la potence, qui avait tourné, examiné les bases, qui n'avaient pas une griffe, vérifié la roue arrière, impeccable... Le bras gauche de la fourche seul semblait avoir souffert : il était fortement rayé et montrait même une petite indentation sur son "bord de fuite". Mais surtout, la roue avant ne tournait plus : quelque chose frottait, et je ne voyais pas quoi. J'ai alors appuyé verticalement sur la bôme et constaté, au son d'un bruit de friction de fibres, que j'avais gagné une suspension avant... Bien ; si le bras droit, sous ma faible lampe frontale, n'affichait pas grand-chose, le RPE s'arrêtait néanmoins ici pour moi. Ce n'est que plus tard, en poussant le vélo dans l'une des voitures de l'organisateur, que la fourche a complètement cédé.

Speedy Malric a écrit:

Il faudra par contre que je pense à faire des sièges moins confortable pour la longue distance...

Ah, je me réjouis de tester le nouveau proto... "Le nouveau Zockra Fakir, pour les cyclistes à la peau dure !"

Herhyck a écrit:

Bonjour Jéjon, J'aimerai avoir les nouvelles promises par le monsieur que j'ai réparé avec les moyens du bord sur le RPE. Car si je ne pouvais rien faire pour le vélo, j'ai fait ce que j'ai pu pour le pilote qui depuis est muet. Il semble avoir disparu de la circulation.

Eh bien, Éric, merci pour vos bons soins et... bravo pour la sûreté de votre diagnostic ! Me voici plâtré pour quelques semaines avec une "suspicion de fracture" de la malléole interne droite : on aperçoit un très fin trait de fracture sur les radios, mais les os n'ont pas bougé. J'en saurai un peu plus lundi prochain, après un nouveau rendez-vous. Merci encore, et puissiez-vous ne devoir gérer que de plus infimes bobos au cours des jours qui viennent !

Ca fait plaisir à lire !

Jejon is back !


Entre nous, ce Berniche, quel boute en train...

Content de te lire.
Rétablis toi bien.

si je comprends bien Jejon

tu t'es sorti seul àpres la culbute/tu as récupéré le bent .. seul ..
mais ensuite....
les secours sont arrivés.. comment ? prévenus par ??
celà veut dire que la cheville a travaillé encore en contrainte ..?
bon rétablissement
Papy volant

Juste après avoir partiellement constaté les dégâts sur la fourche et avant même que je n'aie le temps de prendre mon téléphone, une voiture est arrivée. C'était l'un des membres de l'organisation, qui ne pouvait m'emmener et a contacté le poste de contrôle de la Palud-sur-Verdon, distant de 10 kilomètres et que je venais de quitter. Une autre voiture est donc venue me chercher, un quart d'heure plus tard, mis à profit pour téléphoner à Figaro et prendre quelques photos.

Nous sommes restés à la Palud trois heures environ, jusqu'au passage des derniers concurrents, largement hors-délai, vers deux heures du matin, puis nous avons suivi la suite du parcours jusqu'à l'arrivée, à Saint-Rémy, où Julius et Nils sont venus me prendre en charge en fin d'après-midi. Le lundi s'est agréablement passé chez Serge puis Patrice, jusqu'à minuit, lorsque j'ai repris mon train-couchettes vers le Grand Nord.

Ce n'est que mardi soir que je suis allé faire faire des radios : j'espérais encore qu'il ne s'agirait que d'une entorse, mais la douleur ne faiblissait pas. Trois jours durant, j'ai donc pitoyablement claudiqué, l'immobilité (même en station debout) étant heureusement tout à fait indolore.

W-Jean-Marie a écrit:

Cycloutil a écrit:

Souvenir du passage de Jéjon à Buis pour ce RPE 2010

Un bon plâtre et ça repart

Pour le bonhomme aussi alors

Jéjon reviens

Cher maitre Jéjon, je n'ai nullement sous entendu que la chute était dû à la défaillance de la fourche, j'ai juste constaté le résultat de la chute.
Petite mise au point de mon coté.

Ce qu'il y a de bien, c'est que tu sois là ! La mécanique ça se répare ou ça se change, les bonshommes par contre...

Petit hors sujet :
@ Berniche :
1 Quand on a pas vu l'accident, on ferme sa grande bouche !
2 On t' attend l'année prochaine pour le RPE ?

Et bien raconté comme cela, ton aventure a encore plus de piquant!! Bon rétablissement!!

Bon rétablissement à toi

philippe

content de retrouver la prose de Jejon...et un peu triste de ne pas me faire doubler par lui lors du prochain BPR...

bon rétablissement Jérome!


Alain

Bravo Jéjon, pas de séquelle neurologique à ce que je vois, ton récit est excellent!
Je te transmets les voeux de prompt rétablissement de Stéphane Ruel qui est arrivé premier des grands randonneurs (à vélo droit) et qui s'est lui aussi beaucoup inquiété pour toi. Il espère te revoir rapidement sur ces courses que vous adorez (bande de fous!), je vais pouvoir le rassurer sur ton avenir en longue distance. J'espère également rouler très vite à tes côtés mais sur des distances plus à ma portée, notre heure au kidam m'ayant laissé un immense souvenir. Surtout qu'une fourche, même en carbone , c'est vite changé!

Merci, les amis !

Oui, je serai très probablement sur le RPE 2011, et j'examine mon agenda en espérant que ma saison 2010 n'est pas finie...

Buis est un des quelques coins de France qu'il est judicieux de choisir pour casser du matos : Serge Cycloutil avait des fourches 451 en stock et a remis le vélo sur roues dès le lendemain ! C'est un modèle différent, avec un "col" plus long de 4 cm environ, ce qui va changer un peu la géométrie du vélo : assise relevée de 3 cm, pédalier de 5 cm, siège plus couché, chasse augmentée... je me réjouis de rouler.

Jéjon a écrit:

j'examine mon agenda en espérant que ma saison 2010 n'est pas finie...

on se voit le 21 et le 22 août t'as pas oublié

ly masse a écrit:

Jéjon a écrit:

j'examine mon agenda en espérant que ma saison 2010 n'est pas finie...

on se voit le 21 et le 22 août t'as pas oublié

y aurait t'il quand même une petite atteinte à un ou 2 neurones?

Ce n'est qu'aujourd'hui qu'on te découvre accroché à ton buisson au-dessus du vide ...mais tenace point de suspension...
Nous te souhaitons un bon rétablissement.

Jéjon a écrit:

Merci, les amis !
Buis est un des quelques coins de France qu'il est judicieux de choisir pour casser du matos : Serge Cycloutil avait des fourches 451 en stock et a remis le vélo sur roues dès le lendemain ! .

entre nous jérôme même si ...
t'avais toujours la solution chez cycloutil

merci à ce brave chien d'avoir accepté de poser aprés son gonflage de roues

21-22 août sous les étoiles du plateau d'Albion(qu'il a dit pitchoun) pour un 24hAFB

moralité:
prenez soins de vous !
nous sommes plus precieux que le carbone...
(sauf Berniche qui vaut son pesant d'acier a ferrer les ânes).
bon retablissement