Les 10 commandements du velotaff en hiver

rico a écrit:

Rouler sous la pluie la nuit en VC pour moi c'est du suicide. La moindre rainure, la moindre plaque d'égout vue trop tard et c'est la roue avant qui se dérobe inéluctablement peu importe le modèle de pneu. Ou alors dégonfler le pneu pour limiter les risque de glissade.

et le trike jeune Rico, tu y as pensé?
et equipé d'un veltop j'aurai pu faire la Viperine au lieu de me faire c..devant la télé..

Pour l'éclairage je crains en effet ma première nocturne ==> j'ai investi dans du ReeLight 770 (cf autre post à ce sujet), mais ça semble light justement pour le phare avant, qui de plus clignote (un + pour être remarqué me direz vous), à priori un problème d'éloignement du moyeu mais dans ma configuration VH, impossible de positionner l'accumulateur en face des électro aimants si je les rapproche du moyeu (autre possibilité si non, mettre sur la roue avant mais pas prévu pour vu les longueurs de cables feu avant/arriere qui différent et risque de perturber le compteur)

L'idée c'est surtout d'avoir un éclairage qui ne tombe pas en panne, quitte à investir dans un phare d'appoint à pile, pour allumer ponctuellement en rase campagne....je verrai selon l'usage si vraiment nécessaire ou pas

zapols a écrit:

1 - en vélomobile tu rouleras tout l'hiver
2 - en Velomobiel tu rouleras tout l'hiver (pour la facilité à changer les roues crevées, hi, hi, hi)
3 - ton nécessaire de réparation tu contrôleras régulièrement en hiver, pour ne pas te retrouver à coller une rustine sous la pluie au bord de la route...
4 - avec prudence tu aborderas les virages (surtout les ronds-points) en hiver, pour ne pas te retourner...
5 - ta batterie d'éclairage tu n'oublieras pas de recharger en hiver, car tu roules toujours de nuit
6 - une polaire tu mettras dans le vélomobile en hiver, pour ne pas te les geler dehors en cas de crevaison
7 - tes duranos tu changeras contre de marathon+ en hiver, pour ne pas crever tous les 100m
8 - une cure de vitamines et de gelée royale tu feras en hiver, pour prévenir des maladies (c'est pas du dopage!)
9 - en panne d'inspiration...
10 - une pensée pour ceux qui n'ont pas de vélomobile tu auras (en été ce sera l'inverse!)

Même en vélomobile, on prend des risques lors des fortes rafales de vent sous la pluie battante en pleine nuit. Quel que soit le type de vélo, on risque de ne pas être bien vu ou de subir le choc d'une voiture mal contrôlée.

Qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, Gilles Boisvert se déplaçait à vélo :
http://www.ledauphine.com/savoie/2012/10/08/accident-mortel-gilles-boisvert-a-ete-fauche-par-une-voiture

http://isabelleetlevelo.20minutes-blogs.fr/archive/2012/10/08/gilles-boisvert-tue-par-un-automobiliste.html#more

zapols a écrit:

1 - en vélomobile tu rouleras tout l'hiver

2 - en Velomobiel tu rouleras tout l'hiver (pour la facilité à changer les roues crevées, hi, hi, hi)

3 - ton nécessaire de réparation tu contrôleras régulièrement en hiver, pour ne pas te retrouver à coller une rustine sous la pluie au bord de la route...

4 - avec prudence tu aborderas les virages (surtout les ronds-points) en hiver, pour ne pas te retourner...

5 - ta batterie d'éclairage tu n'oublieras pas de recharger en hiver, car tu roules toujours de nuit

6 - une polaire tu mettras dans le vélomobile en hiver, pour ne pas te les geler dehors en cas de crevaison

7 - tes duranos tu changeras contre de marathon+ en hiver, pour ne pas crever tous les 100m

8 - une cure de vitamines et de gelée royale tu feras en hiver, pour prévenir des maladies (c'est pas du dopage!)

9 - en panne d'inspiration...

10 - une pensée pour ceux qui n'ont pas de vélomobile tu auras (en été ce sera l'inverse!)

Je respecte intégralement ces commandements...J'ai droit à un bon point?
Mais d'accord avec Hbourj pour les raffales de vents et la nuit que j'évite au maximum l'hivers.

Citation :

et le trike jeune Rico, tu y as pensé?

- trop cher
- trop bas
- trop encombrant
- trop large
- trop de roues

Mais je reconnais que contre les chutes c'est top.

il y a un proverbe persan que j'aime bien :

si tu te jettes au fond d'un puits,
la providence n'est pas obligée d'aller te chercher

à tous les branques qui roulent sans éclairage,
qui ont des comportements inadaptés etc...

je roule la nuit mais je reste persuadé qu'un Hummer aura toujours raison
et ce quelle que soit la situation


biroulet

hbourj a écrit:

Qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, Gilles Boisvert se déplaçait à vélo :
http://www.ledauphine.com/savoie/2012/10/08/accident-mortel-gilles-boisvert-a-ete-fauche-par-une-voiture

http://isabelleetlevelo.20minutes-blogs.fr/archive/2012/10/08/gilles-boisvert-tue-par-un-automobiliste.html#more

En important telle quelle la légende d'une photo d'un des articles donnés en lien dans le contexte particulier de cette discussion-ci, cela crée un amalgame déplaisant qui laisse croire que c'est la cause de son décès malheureux. Or cet accident n'a strictement rien à voir avec ce fil.

A ce propos j'aurais aimé connaître les circonstances de cet accident.

Il y a un lien donné dans l'article du blog Isabelle et le vélo qui mène vers une page avec quelques détails.

zapols a écrit:

9 - une fois hors de la ville, le firmament tu contempleras (d'un oeil seulement, l'autre est pour la route)

Deuz, il faut essayer son equipement avant d'en avoir besoin, et il faut essayer dans au moins 2 conditions: en campagne sur route seche et route mouillee, en effet si les phares serieux font plutot bien l'affaire dans le premier cas, une fois l'effet miroir d'un enrobe mouille pris en compte, ca devient rock & roll. Bon enfin si deja t'as prevu de l'eclairage c'est beaucoup mieux que les 2 VD fantomes que j'ai croise recement...

Pour l'éclairage, j'essaie de tout doubler par mesure de sécurité.
L'éclairage du circuit faisceau du électrique du VM et un jeu d'éclairage complet indépendant (freinage compris) à piles.
De cette manière, on est certain de rester visible à défaut d'y voir très clair.
De toutes façons, sans éclairage, de nuit, je me met à l'abris de la circulation et je m'arrête. Pour moi, il est hors de question de rouler sans signalisation.

biroulet a écrit:

il y a un proverbe persan que j'aime bien :
si tu te jettes au fond d'un puits,
la providence n'est pas obligée d'aller te chercher
à tous les branques qui roulent sans éclairage,
qui ont des comportements inadaptés etc...
je roule la nuit mais je reste persuadé qu'un Hummer aura toujours raison
et ce quelle que soit la situation
biroulet

+1 Biroulet

On assure sa sécurité en prenant des précautions raisonnables, après y'a la chance...

Pour la nuit, chez moi c'est tout par deux, comme Magnum (et je suis pas à l'abri dans mon suppositoire, moi )
Devant, phare sur dynamo comme principal, qui suffit pour la ville et les conditions normales. Nuit noire, il est doublé par une lampe torche sur le casque, qui fournit la sécurité en cas de panne de l'autre, la possibilité de voir sur les côtés, et de faire des appels de phare pour ne pas se faire éblouir quand on t'oublie en face.

Et derrière, c'est feu rouge fixe sur dynamo (principal) et flash sur pile (backup), placé assez haut.

Tout ça sans compter les nombreux réfléchissant qui me transforment en sapin de noël... Mais ça m'évitera peut-être que ça sente le sapin...

Personnellement, je roule dans toutes les conditions (pluie, neige, verglas, vents forts).
Mais depuis l'hiver dernier, je prend le VTT équipé de pneus clous quand la neige et le verglas sont présents.

Mon premier hiver en vélo couché, je l'ai utilisé même sous la neige, mais je dois avouer que c'était sportif de traverser Genève dans ces conditions.
Bon, les descentes en étant assis avec les 2 pieds par terre en guise de skis, c'était plutôt fun, mais j'ai chûté une ou deux fois.

Bref, je dirais qu'on peut rouler par tous les temps mais qu'il faut utiliser un équipement adéquat !

Tiens... il pleut !

giloulebreton a écrit:

Personnellement, je roule dans toutes les conditions (pluie, neige, verglas, vents forts).
Mon premier hiver en vélo couché, je l'ai utilisé même sous la neige, mais je dois avouer que c'était sportif de traverser Genève dans ces conditions.
Bon, les descentes en étant assis avec les 2 pieds par terre en guise de skis, c'était plutôt fun, mais j'ai chûté une ou deux fois.!

Le vélo couché était-il aussi clouté ?

non, le VC n'était pas clouté.
Je dois avouer qu'essayer le VC avec les pneus cloutés me tente, mais la fainéantise me rattrape.

a écrit:

Gilles Boisvert, fondateur et directeur de la vélostation de la gare, puis de l'agence Ecomobilité de Chambéry (16 personnes), a été renversé hier dimanche sur une route départementale par une voiture de sport. Elle venait en sens inverse et a traversé la route.

==> peu importe l'éclairage, la luminosité, les intempéries, à part ne plus faire de vélo du tout, nous courrons tous ce risque

Du coup je reprendrai bien la voiture...a ben non
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Accident-mortel-cette-nuit-a-Saint-Nazaire_40771-2121135-pere-pdl_filDMA.Htm

Moto ? non plus !!! http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75005/prison-ferme-pour-le-chauffard-apres-l-accident-mortel-10-10-2012-2219927.php


Bon ben y'a plus qu'à rester chez soi

Ben non: env. 25% des décès surviennent à domicile contre env. 1,5% sur la voie publique...
source: insee

Et sur un VC, on est un peu comme chez soi en fin de compte

Tous les jours, vélotaf, sans hésiter, sauf avis de tempête (les rafales à plus de 80 km/h, je les sent pas trop ;o), en VD jusqu'à juillet, et en VH depuis. J'avoue que j'appréhendais un poil la route mouillée, mais ça va très bien en roulant prudemment (de toute façon, c'est du Paris + proche banlieue, alors beaucoup de bagnoles, piétons, scoots et autres joyeusetés, donc de toute façon, je suis obligé de rouler tranquille si je souhaite arriver entier), surtout dans les virages évidemment et vraiment pas fier sur la place d'Italie dans la descente vers l'avenue des Gobelins (grand rond point –4 voies au moins– de pavés en dévers), l'horreur quand il a plu et que le pavé est bien gras surglissant, et que l'on ne va pas dans le sens de la pente mais en travers, avec la roue arrière qui tente de s'échapper à chaque pavé dans le sens de la pente, déjà que je ne l'appréciais pas des masses en VD (1 chute), je fait vraiment bien gaffe, mais jusqu'ici, tout va bien ;o), pourvu que ça dure ! Pour ce qui est de la pluie, je trouve qu'on souffre moins qu'en VD, le pire étant les chaussures (enfin le beaucoup mieux en VH avec un pédalier dont l'axe est à 73 cm du sol), un surpantalon jaune fluo de chantier avec bandes réfléchissantes, ou pour les vraiment grosses draches, une combi de motard (trouvée pour 2 € dans un vide grenier) font bien l'affaire. Mon seul souci, c'est les gants pour la pluie, j'avais des Thinsulate parfaits, vraiment étanches et pas trop étuve, et je les ai perdus, c'est ballot. J'ai trouvé une solution pour le siège baquet qui se transforme en en siège baignoire en cas de passage dans de grosse flaques : une capuche étanche de sac à dos fait pile poil la taille du siège, donc, quand on remonte sur le vélo après le boulot et qu'il ne pleut plus, le siège est parfaitement sec, ce qui est quand même plus agréable (je n'ai pas de Ventisit, c'est un Dragon que j'ai acheté sur bentokaz cet été et je pense que c'est la mousse + housse coton d'origine). Inconvénient, c'est un peu glissant, faut se repositionner plus souvent sur son siège (mais bon, sur un parcours de 30 mn, c'est pas la mort).

Autre léger problème, j'ai plusieurs paires de chaussures (cales Time Atac, vraiment dommage qu'ils les aient arrêtées), mais seules les Canondale ne glissent pas trop quand je met pied à terre sur chaussée grasse, les Time, c'est vraiment que pour l'été (elles sont trèèèès aérées) et les Shimano que je préfère (à cause du velcro qui empêche les boucles des lacets de se prendre dans le plateau) s'avèrent assez glissantes (chose que je n'avais jamais expérimenté en VD). Bon, de toute façon, j'avais prévu de m'acheter une paire vraiment hiver, je le ferais dès que j'aurais renfloué la tirelire.

Pour le froid, j'ai assez peu de parcours (30 mn), mais de toute façon, en 5 minutes à vélo, j'ai plus froid ! Le problème réside dans ces 5 minutes, donc sous le casque, un bandeau polaire pour les oreilles une paire de gants de ski quand ça caille vraiment et ça roule... Et les yeux, il me faut des lunettes de nuit et je n'ai qu'une magnifique paire de Specialized à verres vario route, donc parfaites de jour, mais vraiment trop sombre la nuit.

Pour ce qui est de la nuit, d'ailleurs, en environnement 100 % urbain, je trouve qu'on nous voit mieux justement la nuit, surtout si on s'équipe « sapin de noël »...

Qui attend avec impatience la neige très rigolo en VD, on est les rois de la ville avec les bagnoles qui roulent en crabe et les scoots et autres motos à l'arrêt ;o). Mais un dragon, ça fait fondre la neige, non ?

Bon, j'ai bien fait de moufter ce matin, avec ce que j'ai pris à l'aller comme au retour (il est tombé des mois de pluie pendent mes deux trajets ! ;o), je suis fixé sur l'efficacité du sus–mentionné équipement : à l'aller, j'ai couardement attendu que la grosse averse soit passée, mais il pleuvait encore bien quand je suis parti, chaussée détrempée, un arrêt d'urgence en virage bien maîtrisé, arrivé les chaussettes à peine humides, impeccable. Par contre, au retour, tout le chemin sous une pluie battante et surtout, à un endroit en travaux, une quarantaine de mètres de piscine de 3 à 5 cm de profondeur (désolé, je ne me suis pas arrêté pour être plus précis, je n'avais pas pris la jauge, et puis j'étais talonné par des machins avec plein de moteurs partout), arrivé chaussettes trempées, ça commençait à s'infiltrer par le cou, une petite tâche d'humidité sur le ventre (ça stagne bien, là) et ça avait un tout petit peu traversé le fond de pantalon de la combi, le jean était à peine humide, pas encore mouillé (il a fallu que j'y regarde de près), et les coudes aussi légèrement humides (j'ai un guidon hamster jovial, donc c'est ce qui prends le plus), par contre, le k–way pour le siège fonctionne parfaitement bien, j'aurais le cul au sec demain matin, et puis ce n'est pas si glissant que ça.

Donc, combi motard (double épaisseur, ça doit jouer) pas neuve (vide grenier) et donc probablement désimperméabilisée par des lavages + capote siège approuvés pour mon vélotaff de 30 mn, même par gros temps. Reste à trouver des gans étanches pour l'hiver (là, il faisait plutôt doux), et des lunettes...

Seul inconvénient de la combi, elle est gris souris, pas super voyante de nuit, par contre, le sac à siège est orange fluo, et on le voit un peu sur le dos du siège, bien, ça...

c'est-y pas les angliches qui disent que la seule chose étanche c'est une oreille de grenouille ?
de mémoire ?


biroulet

zit a écrit:

Seul inconvénient de la combi, elle est gris souris, pas super voyante de nuit, par contre, le sac à siège est orange fluo, et on le voit un peu sur le dos du siège, bien, ça...

Ne pas hésitez à remettre un gilet jaune fluo avec bandes réfléchissantes par dessus, qui sera certe trempé mais apportera visibilité + protection supplémentaire pour la pluie.

Concernant le sac à siège, je vois pas trop ce que c'est mais perso, pour être visible de dos, j'ai acheté un sursac avec bande réfléchissante, comme j'ai un sachet sur porte bagage, mon sursac englobe le sachet et passe entre siège et mousse, ça fait une grosse boule jaune à l'arrière,juste au-dessus de mon feu rouge

Pour moi, rouler en hiver… :

- entre avoir un truc étanche où on se remplit littéralement de transpiration, et un truc respirant où on est mouillé je préfère de loin la deuxième solution. Si vraiment il pleut trop je met un K-Way par dessus toutes mes couches de pulls.

- la technique de l'oignon: de haut en bas: plusieurs couches de chaussettes, la première en laine mérinos, la dernière étant une chaussette en laine très épaisse allant jusqu'aux genoux, ensuite deux caleçons longs de chez Ligne Nature, un en laine et soie et l'autre en coton, plus un pantalon, puis un T-shirt en laine mérinos, plus des T-shirt en coton, puis sweat, puis pulls, puis veste en laine, K-way si pluie forte, ensuite une écharpe en laine, puis un bonnet, et un masque de ski pour les grands froids (lunettes si -20 avec du vent), deux gants superposés (un fin et un plus épais), un seul si il fait trop chaud.
Le point faible que j'avais l'hiver dernier quand il a fait -15 avec du vent c'est les pieds. J'avais pas de couvre-chaussures, ou de chaussures de vélo spécial hiver.

J'aime beaucoup la solution de la veste en laine feutrée/laine tissée-feutrée légère et respirante.

Pour l'hiver je n'aime pas avoir trop chaud et trop transpirer, et préfère avoir un petit peu froid. Par 5 degrés, avec de grosses chaussettes et un pull+des t-shirts, on peut encore être en short si on roule bien vite. Ce qui me vaut une sacrée réputation.

Quand on fait un long voyage en hiver, ne jamais emmener de gourde, mais une thermos… l'eau finit par geler autrement… (erreur que j'avais faite… hi hi hi).

Pour les terrains glissants, j'ai déjà remarqué que le VTT plus les pneus à crampons était bon sur la neige. Pour le vélo couché j'ai déjà testé, mais j'ai pas encore trouvé de solution qui me plaît. Peut-être penser à des coudières en vélo couché.

Ce qui m'énerve c'est les tas de neige du côté de la route…

Mais j'aime être le roi de la route en VTT quand toutes les voitures dérapent de partout et n'avancent plus.

reflets de vert a écrit:

- la technique de l'oignon: de haut en bas: plusieurs couches de chaussettes, la première en laine mérinos, la dernière étant une chaussette en laine très épaisse allant jusqu'aux genoux...

Si tu mets les chaussettes en haut et un bonnet en bas, tu ne dois pas passer inaperçu

Très intéressant, le corps doit aussi pouvoir s'adapter pour s’accommoder des température plus fraîche sans multiplier indéfiniment les protections.

L'inconvénient de la stratégie "oignon" ou "mouillé de la tête au pied" reste que c'est peu adapté au vélotaff