Distance en vélorizontaf

Je vélotaf sur 2*4km en ville, c'est vraiment très peu, d'ailleurs je vais aussi vite qu'en voiture par la rocade. Jamais le temps d'arriver en sueur et très surpris après 3 ans de ce régime de constater qu'il ne pleut pas si souvent que ça. Environ 5 jours par an (sur 200 travaillés) il pleut fort le matin. Le problème que j'ai, c'est les chaussures, je n'ai pas trouvé de solution pour garder les pieds au sec. Le soir je m'en fous, je n'ai plus le choix et je peux me changer en arrivant
En attendant, je suis bien plus zen en arrivant chez moi, que lorsque je faisais le parcours en voiture.

Aujourd'hui, premier vélotaf, 2x12 kils. Fait pas chaud... Il va me falloir un collant plus épais. Pour se réchauffer, je roule vite! Autour de 27 de moyenne à l'aller, surement plus au retour (mais j'ai pas mesuré). C'est fun, c'est bien, c'est cool!

Bonjour,

Plus que la distance, c'est la qualité de sécurité et la pollution du parcours qui comptent. C'est le parisien qui parle ici.

Une distance de 15Km allé, en campagne me serait un maxi confortable. Au delà il faut avoir du temps.

Bonne routes.

Dominique Perruchon

Sécurité Ok (il y a 500m sans bande cyclable, mais ça va, c'est la sSuisse). Niveau pollution, c'est moyen-bon. pas de bouchons, mais au retour je me suis fait gazer par un bus.

Bienvenue chez les vélorizontotafeur!
Ce matin 3° annoncé à la météo et 7° sur mon balcon à l'abris: j'ai resorti le collant (modèle ski de fond) et c'était nikel.

12kms dont 11.5 sur aménagement cyclable, ça ressemble à mon parcours (l'accent suisse en moins mais je suis pas sûr d'y gagner au change...)!

Mon parcours fait 11 km, 90% campagne, 10% petit bourg.

En short ce matin, c'était limite sur le premier km.

Par contre, Noël est en avance cette année:

Je passe par une route de campagne, terminée par un pont sur la rocade nord de Rennes.

J'ai toujours connu ce pont interdit à la circulation automobile: panneau d'annonce "voie sans issue" + sur place "sens interdit sauf véhicules agricoles".

Malgré cela, de nombreux automobilistes passaient par là en roulant franchement vite. Je m'y suis fait les deux seules frayeurs que j'ai connues en trike: virage coupé par un voiture venant en face et dépassement en plein virage avec voiture en face (coup de bol, le gars a freiné avant de se rabattre).

Et puis mardi, Miracle

En abordant les deux derniers km, de nouveaux panneaux ont poussés: "route barrée" "obstacle infranchissable". Effectivement, deux cylindres de béton remplis de terre bloquent désormais la route, on passe pile-poil entre les deux en Catrike et plus une auto en vue.

Par contre, je me suis réjouis de celà à la pause café, et mes collègues ont vite glissé de "Ah c'est toi qui vient en vélo de feignant" vers "Depuis que tu as demandé la fermeture de cette route, il y a des bouchons sur la route".

Hehe, les bouchons c'est souvent la faute des cyclistes, c'est bien connu !! ;-)

Micke a écrit:

collant (modèle ski de fond)

Je vais étudier cette piste...

J'ai tracé le chemin dans Openrunner: c'est plat de chez plat! Dénivellé total de 120m sur 11km (le 12km c'était au pif, mon compteur est mort). Comme je le sentais, les 7 derniers kilomètres de l'aller sont en pente douce. Par contre ça caille vraiment.

Citation :

collant (modèle ski de fond)

Est ce qu'on en trouve à D4 et pour quel prix??

rico a écrit:

Citation :

collant (modèle ski de fond)

Est ce qu'on en trouve à D4 et pour quel prix??

Yep j'ai le modèle quéchécha. De mémoire, il y en avait trois à l'époque de l'achat: pas cher et très léger, moyen cher et plus chaud et hors de prix mais de marque millet ou équivalent.

J'ai pris le moyen cher, il a des surprotection genre windstopper sur les tibia et le haut des cuisses (complément inutiles en VC d'ailleurs) et c'est écrit en gros quéchécha sur le haut de la cuisse gauche. Pas de bretelles car je le souhaitais pratique à mettre et l'ouverture à fermetrue éclair au pied permet de bien protéger les chevilles si on mets des chaussures montantes ou grosses chaussettes.

J'utilise encore le collant fournis avec le paquetage de l'armée..

Petit déterrage en règle pour annoncer non sans fierté mon premier vélotaf... demain !
Enfin, si mon nouveau chargeur d'accu fait son boulot cette nuit !

Au programme, 2 x 24 kms légèrement vallonnés entre Sillé et Villaines (pour ceux qui connaissent), exclusivement en campagne et forêt !
La difficulté sera surement au démarrage depuis Sillé avec une côte de plus de 2kms franche... et l'autre sera de s'y tenir au moins 2 fois par semaine malgré un emploi du temps bien bien chargé !

Bref, à suivre !

Bon courage. mon trajet commence aussi par une côte. Actuellement je l'utilise pour m'échauffer. Je la monte avec le cardio planté à 135 à 10 à l'heure et je prends quelques minutes de + pour mon trajet. Du coup c'est presque dommage d'arriver en haut

Bon courage, je n'ai pu faire qu'une fois le trajet TAF avec 2 x 36 km et c'est mon meilleur souvenir velo-couché, je voudrais multpilier l'expérience mais pas de douche au boulot (lavabo mais c'est pas confort!) en tout cas c'est le pied d'aller bosser en vélo et le boulot n'a pas la même saveur (qui a dit odeur ?) je trouve.

Depuis le début de cette année, je travaille au collège de Sauveterre de Guyenne, trois fois par semaine, un trajet magnifique, mais franchement bosselé : 32 km allé retour et 350 m de dénivelé, partagé entre ondulations faciles à avaler et côtes à 8 voire 9 % sur 80 m de dénivelé. Une fois par semaine, je vais à Castillon, à 8 km, ce qui est juste un échauffement.

Mes impressions sont que c'est un trajet fatiguant, surtout parce qu'il me prend, temps morts compris deux heures trente par jour. Chose surprenante, je l'effectuais au mois de septembre à 20 km/h de moyenne, moyenne tombée au plus fort de l'hiver à 16 km/h. J'ai l'impression de me désentrainer, je sais que je roule plus lentement de nuit, mais pourtant, je monte les côtes de manière plus fluide.
J'avoue aussi quelques coups de pompes, les nuits sont un peu raccourcies depuis que nous nous sommes lancés dans la production intensive de couches merdouaillantes artisanales. Ce matin, j'ai gratté une heure de sommeil, et donc, j'ai pris Pépette, la twingo hors d'âge qui ne sert qu'à tirer des remorques de gravats. Trahison, apostasie... je le paye d'un état léthargique et second... Voiture pas bien, vélo beaucoup plus mieux.
Sinon, qu'il gèle ou pas, qu'il fasse sec ou humide, je sue toujours et tellement que mes habits sont trempés (je trempe la couette et le matelas dans une chambre à 16°, alors...)

Tiens, j'affiche le profil...

En ce moment 2x43km (250m D+) de 2 à 3 fois par semaine (et pas de douche au boulot...). Quand la température matinale tourne autour de -4 à -5 degrés, je ne sens plus mes doigts de pied à l'arrivée (aïe aïe aïe). Et je fais entre 100 et 300km le weekend suivant l'humeur. On verra combien de temps j'aurai la motivation. Ça fait du bien de se sentir vivre.

Kapello a écrit:

...J'ai l'impression de me désentrainer, je sais que je roule plus lentement de nuit, mais pourtant, je monte les côtes de manière plus fluide.
J'avoue aussi quelques coups de pompes, les nuits sont un peu raccourcies...

Fatigue transitoire, j'en sors depuis peu. Courage, les nuits finissent pas se rallonger, les jours aussi d'ailleurs en ce moment. Le réentraînement viendra, motivé par les gazouillis de ton passager. Quand je vois comment les miens rigolent dès que je roule un peu plus vite.

bandicoot a écrit:

En ce moment 2x43km (250m D+) de 2 à 3 fois par semaine (et pas de douche au boulot...). Quand la température matinale tourne autour de -4 à -5 degrés, je ne sens plus mes doigts de pied à l'arrivée (aïe aïe aïe). Et je fais entre 100 et 300km le weekend suivant l'humeur. On verra combien de temps j'aurai la motivation. Ça fait du bien de se sentir vivre.

je sens qu'en balade Suisse-romande, je vais être à la traine :-)
Je ne fais que 2x15kms par jour ! Et pas vraiment de balade le week-end...
Pour les doigts de pieds, je mets des sur-chaussures de pluie quand il fait en dessous de -4°C et ça marche plutôt bien...

Je pense que je vais baisser et stabiliser à 1 a 2 sorties de velotaf par semaine. Plus c'est quand même une sacrée contrainte sur l'organisme, surtout en hiver. En été c'est différent, on transpire beaucoup trop et on boit énormément.

2 x 12km sur Valence, selon l'heure grande route très roulante et très fréquentée avec bande pseudo cyclable et quelques côtes.
Sinon, petite route de campagne commençant par une pente raide. Par là, les poules font beaucoup leur nid, ça va moins vite, mais pas de voiture sauf la fin où j'arrive à Valence.
J'ai fait le trajet 3 ans avec un VAE MATRA et j'apprécie beaucoup le trike, la vallée du Rhone étant très ventée nord ou sud, comme mon trajet.

C'est avec 2 semaines de retard que j'ai pu enfin tester mon premier retour du taf !! Du bonheur car la forme vient petit à petit (un petit 27 de moyenne pour une reprise c'est correct) et prendre l'air après le boulot est excellent ! Le jour ne se couche que vers 18h45 après une belle journée de soleil, ce qui est agréable également...

2ème épisode à 7h demain matin !! Avec un départ bp plus dur car ! en montée...

Un petit 2x3km tous les jours de la semaine de travail, c'est agréable pour bien commencer la journée, mais je dois bien avouer que ça commence à me paraitre cours, je crois que je vais envisager un trajet avec quelques détours

Kapello a écrit:

J'ai l'impression de me désentrainer,

Attention que ce ne soit pas l'inverse : le surentrainement
En alternant, un jour sur 2 par exemple, ça peut aller mieux

Comme je ne force pas trop, je ne pense pas me sur entrainer, mais il est vrai que j'ai besoin de périodes de repos et que je récupère un rythme plus rapide après la pause. J'imagine au la limite entrainement / surentrainement n'est pas la même pour tout le monde, je vais tâcher de ressentir les symptômes de la fatigue (ça, c'est une méthode d'hypochondriaque)

Je parcoure une petite distance, 7 km le matin 7 le soir pour rentrer à la maison. Par tous les temps et tous les jours ouvrables. Avec le VC depuis deux ans et avec un vélo vertical les 25 années précédentes. Forcement je n'ai ni voiture ni moto. Ah, si le train est une alternative quand la route est bloquée par des amoncellements de neige. Heureusement ça n’arrive pas trop souvent.