CENTMOIS, pour tout le monde

CentMois d’octobre réalise ce jour après le faux départ de dimanche dernier (fond de jante percé…).
Il fait chaud mais pas exactement beau ; j’ai attendu la fin de matinée pour passer entre les gouttes - pas moyen d’éviter le vent par contre qui soufflait à un bon 25 km/h de moyenne je pense, sans trop de rafales heureusement.

Donc départ plein sud pour rentrer avec une assistance naturelle :


Comme d’hab descente dans la vallée du Loing, je longe le canal quelques km vers le sud.

Puis je remonte le Fusin vers Château-Landon.

Après, sud-ouest, y’a pas à tortiller, c’est le plateau gâtinais, ce prolongement de la Beauce honnie - et d’autant plus aujourd’hui avec le vent pleine face !


Je louvoie, non parce que ça faciliterait la tâche (au contraire) mais pour glaner quelques carreaux au passage et dessiner de nouveaux trous à combler. J’ai quand même réussi à ne pas prendre trop de petites routes défoncées, en particulier sur la 2e moitié - la fatigue me rend douillet.

Miracle, un coin de ciel bleu !

Bon je comprends toujours pas pourquoi ils appellent ça CC des 4 vallées alors que c’est désespérément plat.

Redescente enfin sur Souppes-sur-Loing :


Dernière montée laborieuse, je sens bien que je manque d’exercice ces derniers temps et je boucle les 100 km presque tout rond (à une erreur d’aiguillage près !) en un peu moins de 4h ce qui vu le vent et ma forme est honorable.
Va falloir garder le rythme si je veux m’attaquer tantôt à quelques flèches et relais de France.

tentative avortée pour moi aujourd'hui...
Je comptais me faire 60km ce matin, puis aller grimper, et refaire 40km dans la soirée. Mais le sort (et la dde) en ont voulu autrement...
Ce matin, je suis en forme. Il fait beau, y'a presque pas de vent (petit miracle dans mon coin entre Rhone et Ventoux). Je demarre à 9h30, de Sorgues, direction Beaume de Venise, et si tout se passe bien, la montée jusqu'à Suzette.
Bon déjà, la route n'est pas extra. Bedarrides, Sarrian, Aubignan... Le bitume est assez degradé, et puis ça monte doucement pour aller vers les Dentelles de Montmiral. Mais bon, je suis motivé, ma moyenne est à 30 km/h, je suis dans les temps. Passé Aubignon, le tracé de Komoot me fait passer par une petite route assez étroite, à l'ombre des chênes, qui descend (la première depuis le debut du parcours). Le bas côté est assez degradé, mais le centre de la route est en bitume relativement lisse, et le pourcentage relativement fort. Bref, si je lache les freins, je m'envole. Mais ma petite voix intérieure me dit que bon, c'est sinueux, et on n'est pas à l'abri d'un gland (le fruit du chêne évidemment) à la sortie d'un virage.
Je reste donc prudent, et ne dépasse pas les 30-35 km/h. D'ailleurs, j'aperçois un piéton en balade un peu avant le prochain virage. Je ralentis donc à 25 km/h pour me déporter au centre du chemin et le dépasser sans lui faire peur (je suis dans son dos).
A la sortie du virage, j'avise deux autres personnes à pieds 100m plus loin qui me tournent également le dos, coté droit. Comme elles marchent côte à côte, et que j'ai une bonne visibilité sur ce bout de ligne droite, je me dit que je vais me déporter à gauche, envoyer un petit coup de sonnette pour les prévenir, et ça va passer crême.
Je commence à me déporter, j'envoie le petit coup de sonnette, et là je m'aperçoit que dans moins de 15 mètres, la route devient recouverte de terre et de gravier. Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir gardé les randonneurs en priorité dans mon champ de vision, ou si la route était légèrement convexe me cachant cette zone, bref, j'ai pas vu avant. Et à la vitesse où j'arrive, vais pas pouvoir freiner beaucoup avant d'être dedans.
L'équation se fait vite dans ma tête, Graviers rond + bitume = billard. Pour avoir déjà tenté l'expérience, et avoir fait du vélo sur de la glace, je me dis que la meilleur chance de m'en sortir, c'est d'aller bien droit devant et de ne pas toucher les freins. Manque de bol, avec mon opération de changement de coté, si je vais tout droit, je sors de la route. Obligé de tourner légèrement. Je freine pendant 1 seconde avant d'attaquer les graviers, et ce qui doit arriver arrive. Le vélo part gentiment sur le coté droit, et je termine en glissade sur le do, les pieds plus ou moins attachés aux pédales auto.
Les randonneurs qui s'étaient retournés à mon coup de sonnette assistent à la scène impuissants, et viennent m'aider à me dépêtrer du vélo. Petit check-up, à priori rien de casser, ça a un peu frotté sur les omoplates et le haut de la fesse droite, mais à priori d'après les randonneurs, ça ne saigne pas. Le guidon est tordu (la rallonge a tourné dans son tube) mais pas cassé. Une petite douleur aux cotes, j'ai du me prendre le guidon (même s'il se relève), mais à priori rien de cassé.

Je remercie les randonneurs pour leur aide, je remets le guidon droit, fait un check-up du vélo. Un bout de caoutchouc pneu arrière c'est découpé et est en partie décollé de la bande de roulement. Evidemment, j'ai oublié de remettre le tube de superglue dans la trousse à outils, y'a plus qu'à prier pour qu'il tienne comme ça jusqu'à la maison (il a tenu, je vais tenter un recollage, pas envie de perdre un pneu!).
Une petite barre pour se remettre des émotions, et retour à la maison un peu avant Beaume de Venise. Sur le retour, c'est un peu douloureux, parceque l'eraflure en haut de la fesse est au niveau du bassin, y'a pas de fesse pour amortir, et c'est bien en contact avec le siège. Pas très agréable mais supportable. Pour le reste, pas de bobos aux genoux ou aux chevilles, je cartonne donc à 33-35 km/h sur le bitume de merde jusqu'à la maison.

Au final, les bobos dans le dos sont effectivement assez superficiel, par contre en haut de la fesse, c'est un peu plus griffé (collant et slip troué), ça a saigné, mai je m'en sors assez bien. Heureusement que je n'allais pas trop vite!

Bon ducoup je referrai une tentative mercredi en nocturne sur la via Rhona. C'est plat et y'a pas de graviers!

Aïe, je compatis !

Vers chez moi le département s’est lancé dans la réfection à l l’économie de la plupart des axes secondaires, en mode on gratte, on laisse un revêtement dégueu pendant deux semaines, on déverse 5 cm de gravier, on laisse deux semaines les voitures tasser, on met une vague couche d’enrobé grumeleux et basta. Donc confort dégradé quasiment partout et nappes de gravier surprises parsemées ici et là…

Pareil ...toutes les routes secondaires autour de chez moi se couvrent petit à petit de ce magnifique bicouche. Au moment où on nous parle de plan vélo, je trouve ça dommage.
Ca va les bobos ? Tu te remets ?

Je vous engage à écrire systématiquement au gestionnaire de voirie. Je me bagarre avec mes collègues "routiers" chaque année. Techniquement, ces enduits permettent de reculer les réfections de chaussée (opération coûteuse, d'où l'enduit) sans tenir compte des usagers "en équilibre" (cyclistes en 2 roues, motards,...). Sans plainte d'usagers, rien ne changera.

Ils ont fait toute la voie verte qui passe vers chez moi en bicouche pourri, alors à mon avis, on peut toujours signaler, mais ils s'en foutent des vélos ...

J’ai écrit au département et j’encourage les gens autour de moi à le faire. Pas sûr que ça change grand-chose à court terme mais si on ne se manifeste pas c’est sûr que rien ne changera jamais. J’ai aussi la chance d’avoir une conseillère départementale à portée de voix donc je ne manque jamais une occasion de la saouler avec ça.
Le pire c’est qu’ils ont refait des tronçons de route qui étaient tout à fait corrects, certains dataient de moins de trois ans, ça sent la dotation exceptionnelle genre plan de relance à liquider avant la fin de l’année ; il eût mieux valu qu’ils en refassent moins mais mieux…

PS : je serai curieux de connaître la perte de rendement, même pour les voitures ça ne doit pas être négligeable.

IyhelM a écrit:

Pas sûr que ça change grand-chose à court terme mais si on ne se manifeste pas c’est sûr que rien ne changera jamais.

Entièrement d'accord avec IyhelM et fiboc. C'est un travail de fourmi mais comme on dit, 100% des gagnants ont tenté leur chance. Dans mon secteur je prends de plus en plus de photos de dégradations (notamment des tranchées d'enfouissement de câbles qui sont rebouchées mais jamais goudronnées, surtout sur les pistes cyclables) et... ça paye. Mes réclamations sont transmises aux services appropriés, quelqu'un me rappelle pour essayer de comprendre et... les travaux sont faits. Et pour des désordres de plus grande envergure, il faut envisager la mobilisation collective !

Pas toujours facile, en particulier lors de nos CENTMOIS* de savoir qui est le gestionnaire de la voirie : département, commune, communauté de communes  ??? Un vrai casse-tête.
Je viens d'écrire à ma com-com et à la ville de Chalon (ça n'est pas la 1ère fois et je n'ai jamais de réponse) j'ai aussi écrit au département pour la voie verte (eux m'ont répondu d'aller me faire f*$@#) mais pour les coins que j'emprunte plus rarement et plus loin de chez moi, je ne sais pas qui contacter

*pour que ce Hors Sujet paraisse un peu moins hors sujet ...

Allez, ce coup là c'est le bon! Rien de très original, j'ai fait de la via rhona entre Sorgues et Pont Saint Esprit. L'est pourri d'ailleurs ce bout entre mornas et Pont St Esprit, il m'a fait perdre au moins 1 km/h de moyenne générale. Avec un petit aller retour supplémentaire entre Caderousse et Mornas pour arriver aux 100km.
Resultat: 101 km en 3h20, 3h30 en comptant les arrêts pipi. La première fois que je le fais aussi vite su ce parcours, avec aussi peu de pauses. Content Gaëtan.

fiboc a écrit:

Ils ont fait toute la voie verte qui passe vers chez moi en bicouche pourri, alors à mon avis, on peut toujours signaler, mais ils s'en foutent des vélos ...

C'est souvent le cas ("ils s'en foutent des vélos") mais c'est plus dure à planquer s'il y a des traces écrites, je peux vous l'assurer. En revanche, il faut du factuel et aucune agressivité dans le ton.

fiboc a écrit:

Pas toujours facile, en particulier lors de nos CENTMOIS* de savoir qui est le gestionnaire de la voirie : département, commune, communauté de communes  ??? Un vrai casse-tête.
Je viens d'écrire à ma com-com et à la ville de Chalon (ça n'est pas la 1ère fois et je n'ai jamais de réponse) j'ai aussi écrit au département pour la voie verte (eux m'ont répondu d'aller me faire f*$@#) mais pour les coins que j'emprunte plus rarement et plus loin de chez moi, je ne sais pas qui contacter

*pour que ce Hors Sujet paraisse un peu moins hors sujet ...

Oui, le centmois dans de bonnes conditions de roulage, c'est important (j'ai bon, là ?... ). C'est pour cela qu'il ne faut pas perdre patience et persévérer. Et il vaut mieux 5 courriers de personnes différentes que 10 du même. Les choses changent, lentement, certes mais changent tout de même ; cela ne se voit pas nécessairement de l'extérieur mais de l'intérieur ça remue clairement (je bosse dans un conseil départemental, certes à l'environnement mais avec comme collègues et patron direct, des "constructeurs" de route).

Profitant de la météo exceptionnelle (?) dans notre région ces derniers temps, j'ai pu faire un beau centmois dimanche-dernier !

J'avais vu le film « La nuit du 12 », tourné en partie à Grenoble, la scène de fin se déroulait dans un col qui m'a fait pensé à la Croix de Fer (je ne suis pas sûr à 100% que c'était celui-là), avec des couleurs d'automne, et même un peu de neige en bord de route… Bref, je me disais que je tenterais bien, en octobre, quand les jours sont encore un peu longs, et qu'il ne fait pas trop froid…

Pour le froid, aucun souci, avec la météo quasi-estivale, j'y suis monté… en simple maillot !!


Départ à 7h, il fait encore nuit, à peine un peu de fraîcheur, et la route est déserte. Je m'interroge, est-ce l'heure ou est-ce le manque de carburant (bien présent chez nous) ? En tout cas, c'est bien agréable pour remonter la vallée de la Romanche, une route assez passante, pas toujours tranquille quand il y a du trafic. J'aperçois le soleil qui se lève sur les flancs de montagnes, la vallée est ici plutôt bien resserrée :


Je me dis que je profiterai bientôt du soleil : en fait pas du tout, je ne verrai réellement le soleil que 3h plus tard !! Je continue de remonter la vallée jusqu'à Rochetaillée, un peu avant Bourg d'Oisans. Là, je laisse la grande route du col du Lautaret pour prendre une vallée sur la gauche, direction le village d'Allemond. Une première grimpette m'amène jusqu'au haut du village, qui permet par une petite route d'éviter la route plus passante le long du barrage et de son lac. Ensuite, j'entame le plat principal : la montée au Rivier d'Allemond, quelques kilomètres à 9 - 10 %. Arrivé vers le Rivier, enfin du soleil, et une belle vue :


Je suis vers 1200m d'altitude, cela fait déjà une bonne montée depuis le point le plus bas du parcours, vers 250m… mais là arrive la partie la plus difficile moralement : après avoir traversé le village, la route qui poursuivait vers le barrage de Grandmaison a été emportée par une avalanche il y a quelques années, et un autre a été construite… de l'autre coté de la vallée !! Donc c'est parti pour une descente raide toute en épingles, pas très longue heureusement :


Et arrivé en bas, cela remonte aussi sec, avec au début du 11 - 12 % qui casse bien les pattes ! Je suis repassé à l'ombre, il ne reste plus qu'à mouliner pour continuer de monter, petit à petit. La route est parfois jonchée de pierres tombées, il faut parfois trouver son chemin entre : il faudra faire attention au retour, à la descente !

J'aperçois enfin le barrage de Grandmaison, et après quelques lacets, le lac apparaît enfin. La pente s'atténue un peu, mais ce n'est qu'un répit. Bientôt s'annonce le col du Glandon, que je laisserai sur la gauche ; Une dizaine de parapentistes s'en donnent à cœur joie au col, volant en rase-motte, se posant et redécollant, cela me fait un beau spectacle, et me fait un peu oublier la pente. Je peine sur les derniers kilomètres, pourtant pas bien difficiles, mais l'accumulation de fatigue doit jouer, et j'arrive bien fatigué au col de la Croix de Fer, 2067m, vers 13h.
Je souffle, récupère, et je mange un morceau en admirant la vue, notamment sur les Aiguilles d'Arve :


Il n'y a pas foule, je verrai à peine 10 cyclistes sur la route du col, mais pas mal de bagnoles, finalement, l'essence n'est pas un problème pour tout le monde…

Une fois requinqué, demi-tour pour environ 60 km de descente :-) Je descend tranquillement, en profitant de la vue, c'est vraiment magnifique




Il y a quand même un bon raidillon pour remonter vers le Rivier d'Allemond, mais sinon, c'est de la belle descente, bien raide jusqu'à Allemond, puis de la légère descente, mais qui passe super-bien à vélo-couché ! Les kilomètres de descente dans la vallée défilent vite. Sur une zone de travaux, je fais l'expérience d'une route « rainurée » : avec la vitesse imposée par la descente et le peu de suspension des pneus fins, c'est un vrai supplice ou tout se met à vibrer, d'abord le vélo, puis le pilote, on a la sensation que toute sa tête vibre, la vue se trouble, c'est terrible !

J'arrive vers Vizille, là ou une semaine auparavant, j'avais croisé [en voiture] le beau vélomobile de Marcel, la descente m'a redonné la frite, et je décide finalement de terminer jusqu'à chez moi le parcours, j'avais pensé un moment éviter la remontée finale et demander à mon taxi préféré de venir me chercher

J'arriverai avant 18h, après 160 km de route, une moyenne pas bien terrible de 17,5, mais avec plein de paysages magiques dans les yeux (et 2800 de D+ dans les pattes !).

@Fred : Chapeau bas! Notre Centmois en commun dans le jura était de la rigolade en comparaison

Quelle chance d'avoir un tel terrain de jeu à portée de roue et de vue.
Mais sûr, il faut avoir un état de forme au top.
BRAVO de nous partager ainsi, ça donne vraiment envie.

Centmois réalisé le 16 octobre dernier. Pour l'occasion, j'ai rejoint une joyeuse troupe nantaise pour un c'est pas ouf (pour l'explication du concept voir ici : https://cestpasouf-nantes.fr/quest-ce-que-cest)

Départ à 4h30 du matin pour parcourir tranquillement les 90 km qui me permettront de rejoindre le départ à 9h. Au final on partira à 10h, ce qui fait que j'aurais pu dormir une heure de plus, mince .
La matinée se fera à un rythme très tranquille, entre pauses et soucis techniques, ce qui fait qu'à la pause déjeuner (à 14h) on n'aura parcouru qu'une quarantaine de km. Arrêt près d'un robot-pizza alors que j'avais déjà commencé mon sandwich, j'ai trop mangé !
L'après-midi se fera à un rythme plus consistant, une petite traversée du bac à Couëron, un peu de Loire à vélo et retour à Nantes à 19h. J'avais prévu de refaire encore un peu de vélo pour aller chercher des tuiles supplémentaires mais vu l'heure je décide de prendre directement le train à Nantes pour un retour à La Baule.

Kilométrage jusqu'au train de 199,5 km (j'avais peur de rater le train si je tentais les 500m supplémentaires) et encore 7,5 km supplémentaires de la gare de La Baule à la maison.

Ci-dessous quelques photos de l'évènement (prises par d'autres participants) :

kmkaplan a écrit:

Je tente ma chance...

Spoiler:

fiboc a écrit:

Je tente ma chance aussi :

Spoiler:

Honte à moi
1000 excuses, je vous avais lu, et pensais avoir répondu
Il n'y a que Nina et Bob qui coincent un peu...
C'est bien Hagen et pas Simone, et Marley, pas si incohérent puisqu'en compagnie de Tiken et autres Tryo...

Pour octobre, pas de kouise musical, pas de photo, juste un parcours de 110km et 1110m de D+, en Baron et sans drapeau (vu le vent, j'ai bien fait!)
https://www.openrunner.com/route-details/15717755

Je suis allé à Esbly rejoindre un groupe de cyclos
https://www.amiscyclosesbly.fr/

Donc départ matinal mais pas froid du tout à 7h30, petite demie-heure d'attente au point de rdv, scission avant La Ferté-sous-Jouarre, je me trouve en tête avec un groupe de trois, que je perds par la suite...
Détour impromptu par Voulangis, petite pause ravito chez mes parents, et retour maison vers 15h.

J'avais déjà fait une sortie avec ce club d'Esbly fin août, à refaire mais ça fait loin de chez moi, par l'ex RN34, pas top...

A propos d'août, mon parcours d'août sur Belle-Ile (la bien nommée...)
https://www.openrunner.com/route-details/15427470
Le principe était de faire le tour de l'ile au plus prêt de la côte...

Part cette belle journée je me décider de partir en bord de la Loire de Blois à Beaugency,et retour par de belle petite routes bien tranquille.   Ce fût une trés bonne journée avec la traverssé de la forêt du Chateau de Chambord.  Rencontré que deux voyageur Suisse .   C'est vrai ce n'est plus trop la saison,les campings sont fermé.

Rendez en decembre
direction Chambord.
courbouzon

Ce mercredi 2, vite profiter du temps sec avant la pluie prévue le lendemain pour faire mon CENT de novembre !

Matin

Je profite de ne pas être encore accoutumé à l'heure d'hiver pour partir un peu plus tôt que d'habitude (enfin le soleil dirait un peu plus tard car, apparemment, lui, il s'en fout de l'heure légale ), soit un peu après 9 h 30. Loire à vélo vers l'ouest jusqu'à Meung sur Loire puis Dry, lieu-dit Villecante, 1,5 km avant le centre. Là je repars vers Mézières lez Cléry en passant par le Mont (ou la Butte) des Élus, tumulus de 12 mètres :
https://www.larep.fr/mezieres-lez-clery-45370/actualites/la-butte-des-elus-garde-tout-son-mystere_11547534/
Après Mézières, je frôle Saint Hilaire Saint Mesmin puis dévie vers Olivet dont je contourne largement la partie centrale par le boulevard Victor Hugo (enfin, la piste cyclable qui le longe). Passage à côté d'Auchan puis rue du Pont Cotelle (pont toujours condamné) pour rejoindre la piste cyclable qui mène à La Source. Appel téléphonique à la maison pour savoir où en est la cuisson des frites et si je peux faire encore quelques kilomètres mais comme ça ne répond pas, je rentre chez moi directement : 46 km (virgule 04).

Après-midi

Départ à 15 h 30 vers l'est par la Loire à vélo. Je comptais dépasser Jargeau pour faire le kilométrage nécessaire. Mais voilà qu'après 16 km je m'aperçois que j'ai oublié ma lampe avant, alors qu'avec l'heure d'hiver, je vais finir après le coucher du soleil (qui continue de s'en foutre de l'heure légale !). Donc demi-tour et retour à la maison pour récupérer la lampe. Comme il commence à faire relativement froid dehors (12 °C), je paresse un peu au chaud et tarde à repartir.
Manquent environ 22 km. Que faire ? Déjà parti vers l'ouest, puis l'est ... je vais vers le sud : Orléans la Source puis Saint Cyr en Val. J'en profite pour aller vérifier que 'La Bernardière' (cueillette libre) est encore ouverte puis pour passer au parc de Morchêne où je constate que le pont pour piétons est réparé et accessible. Ajustement final et retour de nuit avec un total de 100,00 km.

Aujourd'hui vendredi, je ne suis toujours pas synchronisé le matin avec l'heure d'hiver, ce qui fait que je dors systématiquement une heure de moins.

Bonsoir à tous.
Je n'ai depassé qu'à deux reprises les sorties de cent kms, en octobre.
La derniere fois, c'était le samedi 29 octobre avec........Cricri.
Nous avons passé une trés belle journée le long de la Loire, au bord de la mer et en campagne, sur des petites routes tranquilles.
Peu de dénivelé positif mais 152 kms.
Bon courage à tous pour la fin de l'année.
 



https://www.strava.com/activities/8037488274

Après une matinée pluvieuse hier (enfin, 3 averses en 4h de marche) pour faire une belle randonnée de 25 km,
aujourd'hui c'était sortie club le matin et poursuite l'après-midi pour faire le complément.

Le coup de vent qui a duré toute la nuit s'est calmé avec le lever du jour et du soleil.
Sortie groupée de 50 km pour faire le tour de La Roche Bernard ce matin.
Après le ravitaillement, je descend sur Piriac puis La Turballe avant de remonter chercher mon colis commandé à Roberto au relais de St Molf.
Il ne me reste qu'à rentrer à la maison vers 17h pour terminer ma journée en ayant plein les jambes.
110 km sur la journée, avec le soleil.

Ah, en route, j'ai sauvé un rouge gorge. Au début je croyais à un caillou sur la route, mais en passant entre le trottoir et le caillou, j'ai aperçu ce malheureux. Comme les voitures étaient encore assez loin, demi tour pour prendre l'oiseau en main sans quoi des roues ne l'auraient probablement pas épargné. Il ne semble pas blessé donc je l'abreuve un peu puis le dépose à l'écart sur une pelouse. Est-il parvenu à reprendre son vol, je ne le saurais jamais. Ma BA du jour !

Mes jours de repos vont être bien occupés ce mois-ci avec de menus travaux à la maison donc au cas où je documente un ersatz de CentMois réalisé en deux temps et avec un peu d’assistance électrique.

Hier 56 km pour un aller-retour à Fontainebleau, départ à 10h50 ; pas de photo et c’est fort dommage car je roulais vers le nord, avec un beau soleil dans le dos et un splendide arc-en-ciel en face… évidemment, qui dit arc-en-ciel dit pluie et je me suis pris une bonne saucée, pas très longue mais intense. Juste le temps de constater que mon coupe-vent n’est plus très imperméable et qu’il faut que je remette les surgants et les surchaussures dans les sacoches…

Après un bon repas chez Elemiah (restaurant bellifontain végane hautement recommandé) à regarder la pluie tomber derrière la vitre, départ pour la maison avec en ligne de mire un gros front nuageux bien noir au-dessus du Loing - finalement je ne prendrai pas une goutte sur ce trajet.


Ce matin départ vers 8h30, à la fraîche, avec le pony4 pour aller faire des emplettes pour les travaux.
Crochet au retour par la minoterie locale pour refaire le plein de farine, une biscouette pour rajouter un petit kilomètre et ça nous fait 28,4 x2 + 43,7 = 100,5 km sur 23h30.

Et voilà l'escargot d'octobre :

On arrive à la période difficile maintenant...

Ce week-end, j'ai rebroussé après une bonne douche bien glacée.

Espérons que cette semaine soit plus propice pour une longue distance.

C'est fait, aujourd'hui il fait beau, donc au programme un peu de tourisme. Le but : rallier Senlis et visite le centre historique. Je ne suis jamais rentré dans cette ville, on se contente de passer e à côté lors de nos sorties.

Comme je suis seul, oui les distances moyennement longues, surtout en hiver, attirent peu de monde. Je pars à l'heure que je veux, ou plutôt quand je suis prêt. Il n'est pas encore 8h, le soleil commence à peine à se lever, le ciel encore couvert, c'est plutôt sombre. La météo devrait être de la partie.

Je traverse la forêt de Montmorency, et je prends la direction de la forêt d'Ermenonville (Mer des sables). Davantage de monde sur les routes que le dimanche matin. Ça roule. Aucun arrêt avant Senlis.

Ça y est Senlis ! Déjà plus de 60km au compteur et 27-28km/h de moyenne. Ça ne traîne pas, mais on passera à la caisse. En hiver, tenir cette cadence sur plus de 100km, ce n'est pas facile. Températures fraîches, vent, route humide... Ce n'est pas l'été !



Direction le centre historique, c'est tout pavé. Mais pas des pavés bien lisses comme sur les Champs Élysées. C'est plus du Paris-Roubais. Donc vitesse max 6km/h. En plus, j'ai un rayon de cassé de la sortie précédente.




Maintenant, il est l'heure de rentré. La moyenne a pris une claque, ce n'est pas l'objectif. Il reste un peu moins de 50km à parcourir.

On reprend la route en traversant Chantilly, Gouvieux (ça mérite aussi des photos), puis direction Persan-Beaumont, puis on longe l'Oise.

115km, 24km/h de moyenne.

Je suis rincé, j'aurais dû prendre des ravitaillements, l'hiver (même si il ne fait pas particulièrement froid) c'est plus difficile.

Mission accomplie pour Novembre. Décembre devrait bien se passer.

Puis Janvier et Février, les deux mois les plus difficiles ! Ensuite, les BRM vont reprendre, donc de gré ou de force, les 100mois devraient être faits.