Ces petits riens

à vélo, comme à l'air libre
en voiture, comme en prison...

jeux de mots a deux balles (ou moyen mnemotechnique?)

sur un vélo t es Acculé a pédaler pour avancer, en voiture tu es un EN....


OK!!!!!!!!!!!!PAS TAPE je sors!! :velo1:

magnifique moyen mnémotechnique vindwa ! yep !

Mouais... j'vais continuer à dire "je roule en trike, je suis chaussé en marathon..."

ed, ça ne me paraît pas idiot étant donné qu'en tricycle on est à l'intérieur des roues / entre les roues ; on est donc beaucoup plus "dans" le vélo que "sur" le vélo ; du coup, "en trike" semble cohérent

Citation :

je suis chaussé en marathon

ah bon ils font des marathon taille 43 chez Schwalbe maintenant ?

L'accueil de mon chat à mon retour de Sault...

Un pourrissage de fil avorté.

L'hameçon était pourtant habilement envoyé et l'on devait s'attendre à:
"Pas très responsable", ou "Et l'environnement" avec réponse déjà prête pour une dégénéressence en règle.


Rien..... à part deux trois commentaires vagues sur le prix de la flotte.
Le flop

voir début de la page 31 sur ces petits riens qui donnent un peu de bonheur.

à moins que je ne me trompe et qu'on s'extasie vraiment sur une facture

Merci, Patum Bricolus !

figaro a écrit:

Un pourrissage de fil avorté.

L'hameçon était pourtant habilement envoyé et l'on devait s'attendre à:
"Pas très responsable", ou "Et l'environnement" avec réponse déjà prête pour une dégénéressence en règle.


Rien..... à part deux trois commentaires vagues sur le prix de la flotte.
Le flop

voir début de la page 31 sur ces petits riens qui donnent un peu de bonheur.

à moins que je ne me trompe et qu'on s'extasie vraiment sur une facture

J'ai l'impression que tu regrettes ce "petit rien" qu 'est le pourrissage de fil avorté dont tu parles et qui est passé inapercu et tant mieux.......tu rapelles gentiment le lecteur a aller le lire en lui disant ou le faire et tu conclues sur une question qui, je pense (mais je pêux me tromper), tu esperes va ouvrir la polémique 'peut on s'extasier sur une facture?"
Au moins tu pourras dire: ben voyer encore un post "pourrissé"

donc désolé de pourrir moi meme ce fil avec ce post, mais des fois on ne peut s'empecher de réagir lorsque on lit des reactions dans certains fils et que l'on voit ca......
Donc a tous les lecteurs: Ne pourrissez pas plus que je ne fais actuellement et que figaro a commencé de facon habile, si reponse en MP!
merci

ps: j aurai aussi pu faire cette reponse en MP, mais des fois je pense que tout le monde a le droit de savoir....

Venir tranquille le nez au vent le regard vers les cîmes voisines (un peu sur la route aussi quand même hein on ne sait jamais) par une douce température automnale et savoir que de plus en plus de canton interdisent la fumée dans les lieux publics, exceptés sîl sont équipés d'un "vrai" fumoir.

hier
un octogénaire traverse la rue d'un village en courant et bien sûr sans regarder
brusquement il entend le glissement du vk, il se retourne d'un bond, imprime un arc de cercle et saute sur le trottoir

à ma vue il part d'un immense éclat de rire

je lui adresse un pouce levé et un sourire tout aussi immense

déjà loin j'entends sa voix qui m'adresse un "allez, allez ! la vie est belle"

c'est pas grand chose mais aussi doux que le miel des figues qui abondent sur nos chemins de vignes

Arriver au boulot le matin, rencontrer un ancien élève devenu un professionnel et apprendre que des élèves à l'issu de leur stage sont embauchés en CDI.............

Avoir fait un trajet en vélo de plus pour aller au boulot, sous la pluie et avec le vent de face.

Avoir compris après 5km que ce n'était pas de la buée sur les lunettes mais de l'humidité et qu'un essuyage au gant me rendait la vue (pour 500m en tout cas!). Vive le brouillard!

Myrddin a écrit:

Avoir fait un trajet en vélo de plus pour aller au boulot, sous la pluie et avec le vent de face.

[à pein moqueur]Ah bon il pleut en bretagne??? [/à peine moqueur]

L'Oli a écrit:

Myrddin a écrit:

Avoir fait un trajet en vélo de plus pour aller au boulot, sous la pluie et avec le vent de face.

[à pein moqueur]Ah bon il pleut en bretagne??? [/à peine moqueur]

Presque jamais. C'est la quatrième cinquième pluie que j'ai en vélotaf cet été.

Citation :

figaro a écrit:
Un pourrissage de fil avorté.

L'hameçon était pourtant habilement envoyé et l'on devait s'attendre à:
"Pas très responsable", ou "Et l'environnement" avec réponse déjà prête pour une dégénéressence en règle.


Rien..... à part deux trois commentaires vagues sur le prix de la flotte.
Le flop

voir début de la page 31 sur ces petits riens qui donnent un peu de bonheur.

à moins que je ne me trompe et qu'on s'extasie vraiment sur une facture


J'ai l'impression que tu regrettes ce "petit rien" qu 'est le pourrissage de fil avorté dont tu parles et qui est passé inapercu et tant mieux.......tu rapelles gentiment le lecteur a aller le lire en lui disant ou le faire et tu conclues sur une question qui, je pense (mais je pêux me tromper), tu esperes va ouvrir la polémique 'peut on s'extasier sur une facture?"
Au moins tu pourras dire: ben voyer encore un post "pourrissé"

donc désolé de pourrir moi meme ce fil avec ce post, mais des fois on ne peut s'empecher de réagir lorsque on lit des reactions dans certains fils et que l'on voit ca......
Donc a tous les lecteurs: Ne pourrissez pas plus que je ne fais actuellement et que figaro a commencé de facon habile, si reponse en MP!
merci

ps: j aurai aussi pu faire cette reponse en MP, mais des fois je pense que tout le monde a le droit de savoir....

Cela m'a surpris aussi..... et Otooloose m'a devancé...
Voilà c'est tout...

Micke a écrit:

Avoir compris après 5km que ce n'était pas de la buée sur les lunettes mais de l'humidité et qu'un essuyage au gant me rendait la vue (pour 500m en tout cas!). Vive le brouillard!

J'ai ce problème aussi sur mon trajet vélotaf, que je fais rarement.
Le Puy c'est la cuvette (donc souvent gris le matin avant que les nuages s'en aillent, mon boulot est encore plus bas, du côté de l'évacuation de la cuvette près de la Loire, donc souvent brouillard.

Même en été, l'autre fois j'arrive dans le brouillard (descente à 40 km/h... j'ai bien freiné! nettoyé les lunettes! ah, mais y'a aussi du brouillard )

otooloose a écrit:

jeux de mots a deux balles (ou moyen mnemotechnique?)

sur un vélo t es Acculé a pédaler pour avancer, en voiture tu es un EN....


OK!!!!!!!!!!!!PAS TAPE je sors!! :velo1:

A en croire ce qui est dit plus haut, acculé est à comprendre avec le sens en dehors puisqu'il est utilisé le préfixe a. Donc, c'est de naturisme qu'il est question dans ce mesage
J'ai du faire une erreur à un moment ...

Le Barjoboss a écrit:

otooloose a écrit:

jeux de mots a deux balles (ou moyen mnemotechnique?)

sur un vélo t es Acculé a pédaler pour avancer, en voiture tu es un EN....


OK!!!!!!!!!!!!PAS TAPE je sors!! :velo1:

A en croire ce qui est dit plus haut, acculé est à comprendre avec le sens en dehors puisqu'il est utilisé le préfixe a. Donc, c'est de naturisme qu'il est question dans ce mesage
J'ai du faire une erreur à un moment ...

ben non comme j ai precisé, c est un jeux de mots a deux balles, donc si t as pas mis les deux balles dans la fente, tu peux pas y avoir accés....
et deux balles pour un jeux de mots c est pas bezef.........j autorise a le classer en jeux de mots difficilement compréhensible (meme par son auteur?)

Vindwa a écrit:

Tiens, personne n'a encore montré ceci?

Tous ceux qui sont montés au sommet ont eu le leur, remis en mains propres par le Président, et bise de Mireille en prime...

Bravo Vincent et à tous ceux qui l'ont obtenu
Et bravo à celui/celle qui a dessiné ce diplôme. Il est vraiment sympa

Trois jours superbes à rouler par monts et par vaux, humer les 1ères senteurs d'automne le long de la Meuse et...y croiser Figaro

Salutations,

Ce pourrait être une préface, un prologue, un avant propos mais bon voilà, l'auteur de ce qui suit n'y a pas mis de titre. Ce qu'il y a, c'est que quand j'ai lu ces deux pages et quelques qui ouvrait le bouquin bien joliment, j'ai ressenti la même chose (à deux trois battements près...) que lors du coup d'un foudre (où quelque chose dans le genre...), J'en ai encore les doigts fébrile sur le clavier et tape avec du bégaiement de ci de là ! Mais c'esert pras trope graave, l'avantagre avec le crètement de pexte, c'est que l'on preu rectifier le tir...

Je le relis depuis (ne me demandez pas quand, ça ne m'était d'aucune utilité alors je ne l'ai pas retenu...) assez régulièrement, car ce truc a été pour moi la confirmation de ce que je ressentais mais c'était (il me semble), fichtrement bien mis en lumière. Et puis, avec les surtensions récentes dans le fil, cela m'est revenu à nouveau et je suis partir à la conquête de mes nettoyages de printemps jamais exécutés et n'est pas résisté à vous le glisser ici bas.

Avertissement : Il ne s'agit pas de riens... ou alors de grands riens... enfin c'est ce que je ressent quoi...

Citation :

Quand il dit bleu, je vois rouge.
Un autre voit jaune, ma sœur voit vert, mon voisin voit violet, mon chien voit tout en noir et ma mère tout en rose. Certains voient autre chose que des couleurs : des chansons, des saveurs, des gares, des lendemains, des moineaux, des citernes. Est-ce à dire que personne ne voit bleu quand il dit bleu ? Cela signifie que chacun voit son bleu à sa porte. Que le regard est plus important que la chose regardée, l'écoute plus importante que la chose écoutée, la lecture plus importante que le livre, le souffle plus important que le poumon. Que personne n'a jamais pu imposer son bleu à personne. Que les parleurs de bleu le veuillent ou non. Est-ce que toute parole est ainsi condamnée au malentendu ? Toute parole s'expose aux rires des dieux et à la liberté des hommes. Toute parole n'est qu'échange, commerce et grain à moudre. Mais toute parole est existence. Fais que ce grain soit le meilleur possible. Le plus plein, le plus odorant, le plus doré. Si tu es celui qui dit bleu, que ce bleu soit la poignante légèreté du ciel et le bleu ombrageux des flots, que ce bleu soit le bleu des rails et de l'encre, et de l'Orient et des volets et des lessives, et le bleu des yeux de ta mère, alors je verrai rouge, mais ce rouge, mon rouge, sera pivoine, désir, foulard, carmin, prénom, serment, fanal, que sais-je ? Le vert de ma sœur sera tout aussi imprévu pour elle. De son violet, mon voisin fera une douce consolation ; de son noir, mon chien fera un nouveau départ dans la vie. Et ainsi de suite. Plus profond sera ton bleu, plus fervent et plus vrai, plus tu éveilleras, plus tu révéleras en chacun sa couleur, sa vibration d'une couleur unique et qui jusque-là manquait à l'histoire des hommes.
Ainsi le monde semblera meilleur et peut-être le sera-t-il vraiment.
Alors, soigne ton bleu, mon frère, creuse ton bleu, danse ton bleu, affûte ton bleu et parle-moi.
La prochaine fois, je te dirai rouge.

Extrait de "Là-bas si j'y suis - carnets de routes" Daniel Mermet (Pocket)

On ne fait que ressentir et interpréter, jamais, jamais nous ne pourrons ressentir véritablement ce que ressent l'autre (quoi qu'on en dise...). On s'en rapproche, on s'en effleure, on souffre avec l'autre mais il s'agit bien là de notre interprétation ! C'est magique et merveilleux à certain moment alors imaginez ce que ce serait sans filtre...

pascalambic.

Très beau poëme en prose..... mais je le trouve un peu vert !!!

Très beau