Petites réflexions pour cyclocampeur débutant

Quelques vidéos concernant les cartouches de gaz: DANGER*!!!

-comment avoir une bonne approximation du volume restant de gaz dans sa cartouche démontable.
Cela, tout le monde peut le faire.
https://www.youtube.com/watch?v=b-LIavISXqo

*-comment remplir (partiellement) une cartouche vide: attention c'est dangereux!
Ici avec du butane pour briquet qu'on trouve partout (moins performant avec des températures froides...), on remarquera l’intérêt d'utiliser l’adaptateur qui va bien d'office+++++:
https://www.youtube.com/watch?v=AZYT91czXmk

MON ASTUCE: c'est plus performant en réfrigérant la cartouche vide réceptrice, avant son remplissage!

-ici pour se confectionner facilement un adaptateur (pour les bricoleurs),
à 3mm 55s:
https://www.youtube.com/watch?v=IAQ5BFSTQWE
-on peut aussi s'en acheter un (mais je ne sais pas si c'est le bon?!, visible à 5mm 18s, et à droite vers le bas de la page,
en tout cas il faut l' utiliser avec son  joint d’étanchéiste O-ring! ):
https://www.youtube.com/watch?v=hSfXU0RCYTQ&list=PLJYV3UKSIZSA1-SDG-EBF6xv90sBimuEl
ou la pub du fabricant:
https://www.youtube.com/watch?v=SvXnF1Jw43w

-pour visualiser quelques adaptateurs de cartouche à pas de vis (Coleman,...) versus cliquetable (Camping-gaz):
https://www.youtube.com/watch?v=NvxQYoFyS3A

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-on peut remplir sa cartouche vide depuis une grosse bonbonne de mélange butane-propane:
c'est le plus dangereux, mais le plus économique
(très bien par exemple pour la rando à la journée, en n'utilisant qu'une mini cartouche elle-même seulement remplie à moitié!):
-1) il faut le "bon" tuyau de connexion, il doit être impérativement muni de robinets, par exemple de ce genre,
attention au dégazage du tuyau APRES remplissage!+++
http://www.trailspace.com/forums/camp-kitchen/topics/120635.html
-2) il faut impérativement mettre la cartouche à recharger SUR UNE BALANCE pour ne pas la sur-remplir (c'est le danger principal).
On veillera à la remplir avec moins de gaz que d'origine pour avoir de la marge.
On tare la cartouche vide dans un premier temps et on la remplit avec du gaz LIQUIDE, ce qui implique de retourner la bonbonne donneuse,
tout en la positionnant plus en hauteur.
MAIIIIS ce n'est pas commode à faire avec une bonbonne bien pleine, tout en mesurant-controlant la pesée au fur du remplissage,
et en ayant une main de libre pour refermer le robinet quand le remplissage est réalisé.
En bref on prend son temps en n'ouvrant le robinet que partiellement, pour un remplissage......lent.
Si la cartouche réceptrice prend 2 mn pour se remplir: c'est normal! vu l'étroitesse de la tuyauterie du mécanisme.

-sur e-bay:  
GAS Saver Plus / Lindal Valve Canister Shifter / Refill Gas Adapter
ou
Économiseur gaz plus / LINDAL valve canister shifter / adaptateur de gaz recharge
-pour environ 40€....oui, ce n'est pas donné! l'adaptateur est bien fait et très sécurisant (pas de tuyau!+++)
pour transvaser du gaz d'une plus grande cartouche vissable vers une autre vissable plus petite.
Si on choisit le plus grand modèle de cartouche donneuse c'est encore mieux (exemple: la Coleman 500).

CONCLUSIONS:
Ce remplissage de cartouche est intéressant
et pas seulement dans un but purement économique, ou de vouloir gagner en poids de portage (principe du M.U.L.) (souvent mon cas).
Il permet de re-remplir sa cartouche spécifique: avec? ou sans? filetage, avec une autre cartouche  -à priori- non compatible avec son réchaud spécifique....
Ainsi les cartouches à filetage (souvent en opposition aux Camping-gaz) sont difficiles à trouver....en France.
Il est évidement -plus simple de veiller au départ- de choisir un réchaud pouvant fonctionner d'emblée avec
les 2 types de cartouches les plus usuelles :avec et sans pas de vis.
A signaler que je me suis fait  moi-même abusé en la matière sur le choix d'un réchaud "multi-compatible", par un vendeur Décathlon.
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Ce re-remplissage est souvent utilisé en Inde, en Afrique,....à visée purement domestique et bien sûr ......économique.
C'est pratique aussi pour re-remplir une bonbonne consigneable de butane-propane Camping-gaz,
de camping car (ou de caravane), en particulier à l'étranger,
sachant que les détendeurs des grosses bonbonnes sont très variables d'un continent à l'autre voire d'un pays à l'autre.

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Une cartouche de gaz amovible (versus le "Bleuet" Camping-gaz -à cartouche percutable- ) apporte au campeur
bien plus de modalité pour ranger son réchaud dans sa sacoche, tout en étant bien plus chère à l'achat.
Le mélange butane-PROPANE est nettement plus performant et pas seulement par temps froid: ça chauffe nettement plus vite.





à éditer pour d'autres vidéos sélectionnées.

oxygene a écrit:

J'ai alors pensé à mettre un désodorisant pour voiture, à demeure dans une des poches de la tente. Résultat impeccable, la tente respire la bonne odeur, vrai plaisir à chaque déballage!
Je recommande !

Attention à ces désodorisants qui contiennent plein de saloperies chimiques probablement cancérigènes... Si en plus tu les respires toute la nuit... Je serai prudent à ta place, regardes la composition !

Est ce que quelqu'un a déjà commandé sur : http://www.trekkinn.com
Est ce que ce site est fiable ?

Bicarbonate de soude (ou bicarbonate de sodium) versus Javel*.

(*:le message dédié à la Javel ayant fait couler beaucoup d'encre et ....de reproches, j'ai décidé de parler ici d'un produit plus écologique)


Le bicarbonate de soude peut vite faire penser aux remèdes de grand-mère, puisqu'il est utilisée depuis fort longtemps.

Cela dit, il faut avouer qu'il est effectivement multi-usage, et qu'il peut être très utile au cyclo-campeur,
en particulier si on ne veut pas utiliser de la Javel comme désinfectant-déodorant.

On en trouve:
-partout,
-en poudre pas trop fine,
-souvent en boite cylindrique verseuse (comme les grosses boite de sel blanc raffiné, on le trouve d'ailleurs en France souvent au même rayon),
-ou en boite en carton , à prix plus modique,
-et au pire ...en pharmacie.

Contrairement à d'autres produits (javel, produit de vaisselle,...),
si le produit se déverse sur les vêtements des sacoches, ce n'est pas dramatique (surtout versus /Javel).

On peut le conserver tel quel dans sa boite verseuse, mais c'est lourd quand la boite est pleine,
ou dans presque n'importe autre contenant, tel du sucre en poudre: un sachet verseur souple à bouchon (comme les recharges de lessive) fait parfaitement l'affaire.

Par rapport à la Javel, il ne détruit pas complètement les germes, mais il agit  toutefois également par son Ph très basique
(le contraire de l'acide où se complaisent la plupart des microbes).
En bref il est plus préventif que curatif en bloquant le développement des germes.
On doit donc l'utiliser au plus tôt (voir ci-dessous), c'est à dire ....AVANT le développement des germes..
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Quelques utilisations (non exhaustives) pour le cyclo-campeur:
Je l'utilise:
-1) en usage externe hygiénique:
-comme déodorant biologique d'aisselle, tel quel en grains,ce qui permet de se passer de tout dérivés d'aluminium,
habituellement présents dans les déodorants classiques, et en plus ....sans  donner des traces parfois disgracieuses au T-Shirts.

Ça évite de sentir trop rapidement,
quand une fois arrivé au camping, par grande chaleur estivale,
d'avoir pris sa douche,
en portant un vêtement (comme un T-shirt) pourtant tout propre
et qu'on parte faire ses emplettes ou du tourisme,
en transpirant abondamment.
Car sinon, dans cette situation, on va vite incommoder les autres.


-pour "les pieds qui puent": en en saupoudrant un peu sur les semelles de propreté des chaussures.
On peut en mettre aussi directement dans des chaussettes avant de les enfiler.
-en pâte dentifrice seule ou en complément (décape plus les tâches sur les dents).
-dans le duvet encore humidifié par la condensation nocturne avant de le ranger pour le roulage de la journée: il sentira bien moins vite
(encore plus vrai avec un "vrai"duvet en plumes, bien plus problématique à ...laver et à....sécher au cours d'un périple).
il suffira de secouer le duvet retourné pour en faire partir le produit une fois arrivé à l'étape suivante.
-en camping sauvage, et si on ne dispose que de très peu* d'eau, il permet d'enlever le gros de la transpiration,
évitant ainsi de trop contaminer son duvet par des mauvaises odeurs.

*:contrairement au savon (ou pire dans cette situation: le gel douche):.....il ne mousse pas!
Du coup le rinçage s'en trouve grandement facilité-abrégé.
Si la dilution est importante, on peut même se passer du rinçage.
Reste le problématique lavage des cheveux après une bonne suée, très consommateur d'eau,
qui  -pour moi-  est souvent le prétexte pour préférer désormais la douche d'un camping.



Remarque:
On serait aussi tenté de l'utiliser au matin quand on doit plier sa tente encore toute humide de rosée,
pour éviter le développement microbien qui donne cette fameuse odeur de moisi à la tente.
Certes c'est efficace ici aussi, mais le bicarbonate peut avoir un effet abrasif important au fil des jours
quand il reste des grains au sol ...sous le matelas, ....sous les sacoches déposées dans la tente, etc.
Le sol va alors s'élimer bien plus vite et il perdra plus vite aussi son imperméabilisation,
bien que cela soit à tempérer à la perte d'imperméabilisation irrémédiable qui arrive plus vite et plus sûrement avec les moisissures.
(dans mon cas, je lessive une fois/an ma tente à la machine à laver -avec de la Javel- et je ré-imperméabilise ma tente en suivant
avec du polyuréthane, ce qui rend le bicarbonate moins pertinent pour moi et dans cette indication précise).

-un peu dans la dernière eau de rinçage de ses vêtements : ils sentiront bien moins rapidement en cours de journée, ou pour le pyjama.
-très bien aussi pour les conserver sans qu'ils ne prennent d'odeur quand ils restent humides toute la nuit quand il pleut sans arrêt
et qu'il est impossible de faire sécher son linge (la Javel reste plus efficace dans ce cas).
On prendra soin alors d'attendre que les grains soient bien dissous pour éviter qu'il n'en reste entiers et qu'ils deviennent finalement abrasifs pour la peau  au cours du roulage.

-pour la soie .....qui ne supporte pas la Javel!

-2) en usages internes (boissons):
-aide à rétablir le Ph du sang (avec une petite pincée/1L) dans une eau de boisson,
en particulier au soir pour se réhydrater d'une journée caniculaire (je transpire facilement 6L/jour l'été).
Très bien par exemple quand on s' approvisionne avec de l'eau de montagne (eau de fonte de neige ou de pluie =  qui n'est quasiment pas minéralisée).
Mais des eaux du commerce riches en bicarbonates tel que l' Arvie, me semblent plus goûteuses.


-3) pour le nettoyage de la popote:
-comme poudre à récurer telle quelle.

-4) pour la cuisson de certains aliments:
en particulier,.....pour cuire plus vite certains aliments: tels que les féculents*, les légumes verts (haricots verts,....)
*à signaler que les féculents sont très longs à cuire et demande beaucoup de ressources** de son réchaud:
il est nettement plus simple et même économique de les acheter tout prêts , en boite.
On s'évite aussi le temps de trempage préalable à leur cuisson, souvent obligatoire.

**: en camping sauvage, cela peut être sympa de "perdre du temps" de cuire ce type d'aliment sur un petit feu de bois.
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Comme toujours , quelques essais avant de partir en périple sont conseillés!.......
Non dilué = en cristaux, le bicarbonate peut être abrasif.
il se dilue très bien dans de l'eau, et il n'en faut souvent que très peu (grande dilution)
.

Attention quand même à l'utilisation trop fréquente du bicarbonate pour le nettoyage des dents, ça use bien l'émail.

Contre les odeurs de mes chaussures de marche j'y mets de la cannelle en poudre ; ça ne tache pas les chaussettes et il n'y a pas de grains qui grattent.

un peu d'auto-dérision, pour détendre ce fil un peu (trop?) sérieux!

Mes touts premiers repas de cyclo-campeurs débutants
(Si!Si!..... j'ai débuté moi aussi!...en 1976)

Arrivé à  destination en gare SNCF, après avoir expédié mon vélo 10 jours avant,
j'ai du attendre tout le matin et une bonne partie de l'après midi que mon vélo fasse le même trajet.


Je commence -enfin- à rouler, mais mes jambes sont si lourdes d'avoir attendu en gare,
que je sais déjà que je ne ferais pas mes 100km de prévus pour cette première étape.

Je suis prévoyant, je m'arrête à une boulangerie (avant le soir) pour acheter un pain.
j'en dévore un petit morceau, vu que je n'ai rien mangé depuis 6H ce matin.

Mes sacoches sont bien distendues de tout mon énorme barda: les coutures sont toutes étirées..
Je place donc le pain sous les tendeurs qui maintiennent ma tente canadienne: sur la plate-forme de mon porte-bagage entre mes 2 sacoches Karimore.
Les tendeurs sont bien tendus et le pain est tout écrabouillé.
Après un premier km, une moitié tombe au sol.
Je cale donc les 2 moitiés du pain dans le sac de mon duvet, en ayant pris soin d'en dévorer encore un petit bout.


Au bout de 5 km, je sais que ne pourrais pas faire plus de 50 km.
Après 10 km, je sais que je vais caler au 25eme km.
Bref, à 18 km, je cherche déjà un endroit pour camper en sauvage.
Ouf! 20 km:  je n'en peux plus.

Je pose mon vélo contre l'arbre repéré "qui va bien".
Je sors de ma sacoche toute ma popote  de campeur,
dont mon camping-gaz tout  neuf "Globe-trotteur" dont je suis tout fier.

J'ai bien envie d'un "bon thé" pour accompagner mon pain.
mais voila: où sont les allumettes pour démarrer le gaz?...un oubli sans doute?!
Bah, ce n'est pas si grave, car je n'ai pas pris de sachets de thé.
Et...pas de sucre non plus, ni de lait...ni même une tranche de citron, ni même de saucisson ou de fromage.
Pas de confiture à tartiner dessus!....
Rien d'autre!
En fait: .....rien de rien!
C'est vrai que ma mère s'occupait de toute l'intendance familiale.

Bon, je mange donc mon premier repas en tenant d'une main la moitié de mon pain et de l'autre ma gourde d'eau tiédie,
mais heureusement encore remplie (les petits 20 km parcourus n'en sont pas venus à bout).
J'ai encore faim (j'étais encore un ado!...), mais je suis prudent: je garde l'autre moitié pour le lendemain matin.

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L'emplacement pour camper se révèle non judicieux: je suis tout collant de cette chaude journée de juillet et rien pour faire trempette!
Pas de lac, pas de rivière,....
Mon pantalon en velours côtelé pour pédaler n'était pas une bonne idée non plus,
même si son fond est garni d'un empiècement en cuir sur mesure.......

Ma tente canadienne n'est -par contre- pas si mal: elle est flambant neuve, avec un sol très épais en PVC.
Et "que" de....3.5kg.
J'ai toutefois mal dormi  puisque j'ai -aussi- oublié le matelas pneumatique!!!
(en fait je l'ai bêtement oublié car je n'avais déjà plus de place pour un barda supplémentaire! et pour un poids de 3.5kg lui aussi)
Un peu peur aussi de me retrouver tout seul.

Les miettes de pain dans un duvet: pas bon non plus!
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Le lendemain matin: je finis par dénicher (dans l'autre sacoche!), les fameuses allumettes.
Je me rend compte d'emblée que des sacoches verticales et bien trop remplies s'avèrent pénibles,
d'autant que leurs sangles sont très longues à ouvrir et à fermer:
-pas de clip,
-ni de tanka (obligation de faire un nœud à lacet à chaque fois pour la jupe du haut...).

Mais de l'eau chaude en guise de  petit déjeuner: bôf!
Je tente tout de même le coup avec les toutes dernières gouttes que je n'ai pas bu pendant la nuit chaude.
Mais boire une boisson chaude à même une popote en aluminium est une TRÈS MAUVAISE idée!
J'aurais du emporter un bol en plastique!....encore un oubli!

Impossible de connaitre l'heure:
-mon compteur de vitesse est mécanique (à câble),
-et j'ai oublié ma montre (mécanique elle aussi).

Je tente de capter une chaîne de radio sur les grandes ondes de ma micro radio (format grosse boite d'allumettes, venant du Japon, et non pas encore de Chine, encore hostile au commerce capitaliste).
Mais le soleil est déjà trop haut dans le ciel pour capter ici les petites ondes.
Point de station FM (la radio ne les captent pas!) et les radios libres ne sont pas encore à l'état de projet gouvernemental).
Le jour même, je comprend qu'il suffit de lire l'heure de proche en proche aux clochers des églises des villages traversés.

Le pain est tout ramolli de la rosée de la nuit (je l'ai laissé au dehors, pour éviter les miettes et pour ne pas être tenter d'en grignoter encore).
Les allumettes pour le réchaud me servent quand même à griller le peu de pain qui me reste, pour le rendre plus appétant.
Tout cela me donne envie d'aller aux toilettes, mais où est le papier toilette:...encore un oubli!



Pour le sucre:
-pas d'hésitation: je vais acheter 1 kg de sucre semoule (qui passera son temps à s’échapper ensuite de son sac, pour diffuser dans les sacoches).

Pour le lait:
-le Tétra-brick n'est pas encore développé en France, le lait UHT introuvable: les bouteilles sont en verre.
Le lait en poudre est alors exécrable (mauvaise dilution à l'époque) et bien trop coûteux pour mon faible budget.
Je me rabat donc sur le lait condensé sucré, qui s'avère bien pratique et très goutteux: mon premier tube ne me fait pas la journée.

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Cela dit:
-plus de mère, de père ni de frères et sœurs sur le dos: la vie est belle!

vues dans la revue cycliste trimestrielle "200" de cet été:

quelques pages intéressantes pour les néophytes concernant......les "premières vacances à vélo".

Dans une société ou on bouge de moins en moins je trouve dans le cyclo camping une part pour l ' aventure . Bien sûr de temps à autre il y a des désagréments ( bruit , flotte et j' en passe ) mais dans l ' ensemble c ' est une bonne partie de vie qui laisse des bons souvenirs à raconter mais pas à tout le monde beaucoup pense qu 'on ne devrait pas faire autrement qu ' eux c ' est à dire location , camping car , caravane en un mot tout le monde pareil ! tu parles de vacances j ' aime encore mieux mon vélo ou mon tricycle et c ' est parti pour de nouvelles aventures . cette année je fais le canal du midi A oui j ' oubliais cette année je vais avoir 69 ans à +

Quand je pars j ' emporte une tente bien sûr une igloo 3 places de chez inter sport , un matelas auto gonflant de 5 cm d 'épaisseur et un duvet qui résiste à des températures de moins 5 degrés une popotte qui fonctionne à l ' alcool à bruler ( on en trouve partout et c ' est pas cher ) un aspi venin ( que l' on trouve en pharmacie ) des vêtements de rechange et tout ce qui concerne la vie ordinaire couteau , fourchette et j' en passe il y a des magasins qui sont spécialisés dans ce type de matériel . A Paris il y a le vieux campeur et en province il y en a aussi

fusion sujet : modo Durbin

Si tout va comme prévu, je partirai début juin pour aller (et revenir si possible) de chez moi (Brugelette, Belgique) à Monaco....

salut,
l’efficacité médicale de l'Aspi-venin pour les morsures de serpents est plus que controversée, puisqu'elle serait quasi nulle*.
j'y ai cru moi-même en son temps.
*:On peut s'en rendre compte déjà avec une piqûre d'abeille.

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L'incision des chaires entre la morsure et le cœur
pour faire écouler le venin serait plus performante ....
......(si la morsure est superficielle, mais comment le savoir?),
mais c'est aussi très dangereux et donc à déconseiller.
Ce n'est pas là qu'il faut jouer à ....... la "MikeGyver".

Coucou

Pour nous laver nous utilisons un savon d'Alep bio, avec 30% d'huile de laurier, le top! il fait tout des pieds à la tete

el sombrero a écrit:

le Boitier en plastique:
Avec plus de 7m !!! de cable!!!

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La comparaison de quelques diamètres de fil électrique:ici pas besoin de plus de 5W en 220V.
On pourra remarquer la petitesse du boitier par rapport à une simple prise de courrant de rallonge standard (en blanc).
Un noeud a éte fait sur le fil pour servir de butée à l'enroulement,renforcé à l'aide d'une gaine thermorétractable (rouge).

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.

Je serais bien tenté de réaliser le même bricolage qu'el sombrero mais je me pose quand même la question du risque électrique : ces câbles de faible section sont tout de même soumis à du 220V, pas de risque d'électrocution en cas de défaut d'isolation ?

Sinon, ça fait un moment que je regarde pour trouver un boitier aussi petit que celui présenté mais pas trouvé la perle rare jusqu'ici, un bon candidat pour une imprimante 3D ?

Très intéressant se petit enrouleur! il me semble ne pas voir d'isolement avec une terre?

Bjr à toutes et tous,

Si c'est pour ce limiter à 5 watt, il n'est utile que l'hiver. L'été un chargeur solaire fera amplement l'affaire.
Je vais m'équiper en enrouleur électrique au printemps, je vais privilégier une longueur de 5 mètre, un adaptateur ( prise bleu ) pour les bornes de camping.
Pour moi avec le chargeur de batterie il me faut une puissance un peu plus importante ( 2 ampères ).
La taille ne pourra donc pas être aussi minime mais je trouverai bien une place dans la remorque

Bonjour,
un câble HO3VVH2F 2x0.75mm² comme celui là est certifié pour 6A max., soit 1380W max.
Le bricolage nœud + fiche banane au bout et l'absence de terre me semble par contre plus problématique. Pour des petites puissance, je privilégierais plutôt un câble 3x0.5mm² (900W max.) et une vraie prise à chaque extrémités. Pour une petite longueur comme ça, pas la peine de s’encombrer d'un enrouleur. Un petit bout de velcro suffit.

Bonjour à tous,

Les bananes permettent de s'affranchir des petites différences de prises (allemandes, espagnoles, ANGLAISES (fiches plates)....),
et surtout de pouvoir s'enfoncer dans les prises femelles des bornes "camping" très profondes , sans avoir besoin d'un adaptateur.

Le nœud ne sert que de butée lors de l'enroulage, mais j'avais prévu un peu de marge: il faut vraiment forcer pour le dernier tour pour arriver sur la butée.
La gaine thermo se colle à elle-même quand on l'enroule avant de la chauffer, ce qui permet de faire un nœud presque pas serré du tout!
Le nœud est en fait surtout tactile "au cas où"  (dans le noir de la tente au petit matin quand il faut tout ranger).

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Il est vrai que je n'ai pas retrouvé l'équivalent du boitier en magasin de bricolage.
Peut-être vers le:
-matériel de camping suisse?!
-enrouleur électrique de voyage 220V-2m
exemple: https://www.castorama.fr/electricite-securite/electricite/rallonge-electrique-enrouleur-electrique-et-multiprise/cat_id_1182.cat

Le câble d'origine était similaire à celui des appareils de petits électro-ménager: yaourtière, girafe, moulin à café,....).
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En tout cas c'est.....plus que pratique!!!!++++
donc IMPÉRATIF dans mon barda depuis.....des décennies.

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Les trous ne sont pas impératifs, mais ils permettent une bien meilleure dissipation de la chaleur* (effet joule + canicule estivale),
même si pour cela je préfère dérouler totalement* la rallonge (le rab est placé dans la tente).
*:parfois je consomme nettement plus que les 5W (un simple chargeur délivrant 2W en consomme forcément plus!)
Le chargeur de mon lecteur MP4 (à disque dur Archos AV500), débite 2.5W.
Chargeur de 4 piles AA-LR6.....

C'est mon côté M.U.L (mouvement ultra-léger de randonneur).
On gagne aussi:.....beaucoup de poids..

C'est évidemment le câble électrique qui pèse le plus.
Il faut qu'il soit performant: bien souple!....pour être rouler et dérouler une foultitude de fois.

Petits emballages étanches en DIY (=Do It Yourself=fait main):
-très faciles,
-très rapides,
-très compactes
-très économes,
faisables aussi au campement.

à 1 mm25:
https://www.youtube.com/watch?v=Le4G01QQxOM

Quelques idées en vidéo du compactage-pliage-roulage des vêtements

-compactage assez extrême (je préfère toutefois le compactage de l'armée américaine = vêtement moins fripé)
https://www.youtube.com/watch?v=29R99CSp0Y8

-à 1mm 30
https://www.youtube.com/watch?v=Cg0GUUKC4cE

-compactage ultime, (plus pour prendre l'avion que pour le roulage à vélo (= peu pratique, bien qu'efficace)):
https://www.youtube.com/watch?v=NW0aiQP4L44

Une fois les "rouleaux de vêtements" réalisés, on les place VERTICALEMENT dans sa sacoche
pour pouvoir les attraper et les sortir sans défaire les autres rouleaux.

De même pour replacer un rouleau (re-roulé; lavé et séché; etc).,
on glisse son poing entre les rouleaux jusqu'au fond pour faire de la place, on y place le rouleau.

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Mon astuce est d'avoir des vêtements tous différents en couleur: on les repère ainsi bien plus facilement:
-T shirt fin / T shirt épais,
-slip en coton / maillot de bain,
-chaussettes fines /chaussettes épaisses,
-vêtements de ville / vêtements de nuit (pyjama),
-etc.

C'est mieux si les rouleaux ont la même largeur,
autrement dit la même "hauteur" une fois placés verticalement  dans la sacoche.
Peu importe en fait leur diamètre, ils se caleront tous seuls entre-eux (ce sont des vêtements!).

On peut y caler d'ailleurs d'autres affaires.
J'ai l'habitude d'y glisser le matin des bouteilles d'eau fraîche  de 0.5L, façon Thermos.
Les sacs "à tout faire" (sac à linge décrits plus haut dans ce fil), se posent alors facilement dessus,
voire eux aussi verticalement, si il y a de la place (par exemple au fur et à mesure qu'on a du linge sale, au détriment du propre.
Il est très facile de les écarter dans la seconde pour accéder à ces rouleaux de linge, juste en dessous.

LES RAYONS QUI CASSENT en cyclo-camping (2), s'appliquant principalement aux "2 roues"

en cyclo-camping, à cause du poids du barda,
(outre la pression des pneumatiques),
il faut bien plus contrôler la tension des rayons:

-trop tendus ce n'est pas bien non plus: ils risquent de casser comme du verre
(nid de poule, pierre, montée de trottoir, mouvements brusques pour reprendre sa trajectoire
(guidonnage violent aux démarrages pour ne pas tomber, côtes violentes, moments d’inattention nécessitant de reprendre sa trajectoire...))....
-trop détendus: ils peuvent "pincer" la chambre en dépassant -très momentanément de leur logement de la jante
quand ils se retrouve justement à l' aplomb de l'axe de roue. C'est très difficile à objectiver à l'arrêt (du coup , on y pense pas assez).

La plus grande majorité de mes rayons cassés (au temps de mes vélos droits) furent au moment  où on passe le col,
souvent au premier coup de frein brutal, probablement dû au travail des rayons en sens inverse de la montée??!
(y'a du poids à freiner! Sans parler de mon habitude de tester les freins avant de me lancer dans la descente).
Parfois on entend le "Clic" sonore du rayon qui pète si on n'a pas encore pris de la vitesse.
Mais une fois lancé dans la pente, le vent dans les oreilles ne permet plus de l'entendre.
C'est d'ailleurs comme cela qu'on pète rapidement d'autres rayons, sans s'en apercevoir de suite, ce qui engendre plus d'effort sur les rayons -encore- intacts,
qui risquent donc de péter à leur tour, une fois changé le rayon cassé..

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Reste que cette tension est très délicate à déterminer, car selon ma propre expérience elle dépend de facteurs tels que:

-le poids du cycliste, (on peut toutefois compenser en mettant des rayons de plus fort diamètre (ça m 'a bien réussi).
On évitera les vis de rayons en alu trop fragiles.
-celui du barda et de SON CALAGE/ PORTE-BAGAGE++++.
En tout cas il faut éviter au maximum les ballottements des sacoches, en particulier si on roule vite
même si on pense qu'on penche bien moins que lorsqu'on roule sans bagage, si on a la sagesse d'y faire attention en roulant!
-on s'interdira de rouler en danseuse (je l'ai eu fait, principalement pour "aérer" les coucougnettes: tout le monde me comprendra...).
-pour ceux qui débutent le cyclo-camping avec un lourd sac à dos...sur le dos*: ils n'imaginent pas les réels effets néfastes engendrés sur le cadre et les roues du vélo.
(Bon, il faut relativiser: un cycliste de 50 kg + un sac à dos de 10 kg (hamac, pas de popote ni de réchaud,...), ce n'est pas beaucoup!).

*:il m'arrive de faire mes courses comme cela avec mon vélo de course.

Cela est très perceptible -hélas avec l'habitude de péter régulièrement des rayons- quand on vient de péter un rayon juste passé le col et qu'on doive encore descendre -TOUT DU LONG- jusqu'au prochain bivouac
(= camping dans la vallée).
Ainsi, j'ai très souvent dû économiser les mouvements de roue avant qui font dramatiquement  ballotter les sacoches arrière, tout en freinant tout doux.
(on descend très lentement pour anticiper (15 Km/h max. pour moi, en essayant de placer une partie du barda (le plus lourd, sur la roue avant):
-pour ne pas à avoir à faire un freinage d'urgence violent,
-pour éviter un obstacle trop tardivement si on roule trop vite(trou dans la chaussée, tesson de bouteille,...).
C'est en effet un problème voire un dilemme du cyclo-campeur dans cette situation:
-soit donner un grand coup de guidon "in extrémis", pour éviter l'obstacle,
-ou soit ne rien faire et passer droit (hélas)  dans le nid de poule, ce qui est souvent plus pertinent?!!!+++.
-tout comme pour passer les virages (parfois en épingles en montagne), en les passant  pratiquement "à plat" (5-6 km/h)

Et comme ce sont BIEN PLUS SOUVENT les rayons de la roue arrière qui pètent
(roue arrière = roue motrice et roue porteuse de l'essentiel du barda= beaucoup d'efforts exercés dessus!!!+++)
-on tentera de soulager le poids sur la roue arrière en déplaçant une partie de son barda sur la roue avant.
-Si on n'a pas de tendeur pour maintenir cela en place, on peut utiliser une chambre à air en guise de tendeur improvisé.
-On peut aussi (à vélo droit) se pencher plus en avant pour placer plus de poids corporel sur la roue avant,
mais cela occasionne souvent des mouvements parasites de redressements brutaux de trajectoire.... si on n'est pas habitué à pratiquer cela.
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En tout cas, SI on ne peut pas changer le rayon cassé de suite (ce qui reste évidemment le plus conseillé!),
on peut rectifier un peu le voile engendré de la jante.
On aura pris soin, -comme toujours- de faire sonner* TOUS les autres rayons pour en vérifier leur intégrité.
Il serait  trop beta d'avoir d'autres rayons cassés qui seraient passés inaperçus....+++++

Il ne faut pas desserrer! Mais au contraire....serrer plus les autres rayons.
(là aussi on fait sonner* les rayons pour vérifier que leur tension ne soit pas exagérée).
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*:En cyclo-camping, il est une bonne habitude-routine  de vérifier ses rayons une fois /jour en les faisant sonner.
On apprend alors facilement à reconnaître "le bon bruit" d'un rayon, comme le ferait une corde de piano qu'on accorde.
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Ce voile peut provoquer:
-un frottement sur les haubans (donnant un effet de  freinage),
-un frottement sur les haubans du porte-bagage, voir sur le tissu des sacoches (une descente de col de 20 km pourrait les percer par frottement-usure!)
-et bien sûr...sur des freins à patins (ça, tout le monde le sait).
-peut aussi obliger de déposer son garde-boue** arrière si on on en a un.
(**C'est une des raisons qui font que je n'en utilise plus depuis plus de 30 ans).

Attention à la tentation de vouloir  corriger ce voile complètement, au risque de trop forcer sur les rayons avoisinants.
Cela est normal qu'il reste encore du voile après serrage des rayons voisins!

el sombrero a écrit:

-celui du barda et de SON CALAGE/ PORTE-BAGAGE++++.
En tout cas il faut éviter au maximum les ballottements des sacoches, en particulier si on roule vite

Oui les sacoches doivent être conçues pour le voyage en vélo. Et le poids du matériel hyper optimisé. Pour info, le site de matériel XXXX fournit cela.
Nous avons accueilli cet été 2 jeunes Italiens qui faisaient un parcours Milan -> Portugal, ils étaient hyper optimisés au niveau de l'équipement et fonctionnaient en autonomie quasi totale. Ils avaient le plein de pâtes à bord!

O'Leave

Bonjour SaCAdos
Ce serait dommage d'en rester à un seul message effectivement et de disparaître ensuite dans la profondeur du ouaibe.
Le monde du vélo couché est passionnant et insolite, pour qui ne le connaît pas.
Et il y a tout plein de cyclocampeurs, qui ne fabriquent pas eux-même leur matériel.
Une occasion peut-être d'essayer un vélo couché.
Il doit y avoir des pratiquants dans le Tarn, du côté de chez toi donc, si j'ai bien compris...

petitefete a écrit:

Très intéressant ce petit enrouleur! il me semble ne pas voir d'isolement avec une terre?

Oui! pas de prise de terre,
sinon le câble aurait été trop épais et n'aurait pu faire qu'1 seul mètre de longueur.
(d'ailleurs l'enrouleur à l'origine n'a pas de prise de terre: ça se voir bien sur les 2 prises jaunes d'origine.
L'enrouleur n'a pas de vis: c'est emboîté.

En fait l'idée m'ai venu de ces enrouleurs de fil de corde à linge de voyage suisse :
-très pratique!
-jamais de fil à dénouer,
on déroule juste ce qu'on veut en longueur.

La seule limite de cet enrouleur est d'y faire passer beaucoup d'ampères, dans une tente surchauffée, en plein soleil d'été.
L'effet joule se fait alors sentir (comme une rallonge électrique de caravane de 50 m
qu'on n'a pas déroulée quand la prise de courant est juste à côté de la caravane: ça chauffe!).

Évidemment, elle n'est pas faite pour recharger des batteries de vélo électrique,
ou une résistance électrique chauffante-plongeante pour chauffer une boisson.

Mais pour charger des MP3, MP4, batteries d'appareil photos, de piles, etc.
c'est peu volumineux et très peu lourd et largement suffisant.
Pour dérouler la longueur voulue, il suffit de tirer dessus.
La longueur de câble est évidemment limitée à ce que peut enrouler le mécanisme.

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Par précaution, je déroule donc systématiquement tout le câble.
Si il y a du rab en longueur je laisse une boucle au sol dans l'herbe, voire un peu dissimulée* sous ma tente,
ou le plus souvent entre* les toiles interne et externe de ma tente.
(avec les 2 auvents latéraux de ma tente, l'entrée du câble DANS la tente est toujours facile quelque soit le côté).
Je fais souvent un tour d'encrage autour d'une sardine au cas ou un enfant aurait l'idée de tirer dessus.

Mais en pratique, au camping, la borne électrique  n'est jamais tout contre ma tente
(car souvent la borne est -aussi- lumineuse et gêne l'endormissement),
le câble est alors disposé en ligne droite jusqu'à la borne.

EN FAIT, CONCRÈTEMENT, JE CALCULE-PLACE MA TENTE/ BORNE ÉLECTRIQUE EN FONCTION DE LA LONGUEUR DE MA RALLONGE.+++

A signaler qu'on "perd" souvent 1 mètre de longueur depuis la borne, car les prises sont situées en hauteur,
et qu'il faut que le câble arrive au sol.

En cas de pluie, j'utilise ma "boite à tout faire" pour y placer -au sec- le dévidoir.
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J'ai dû faire de nombreux essais pour déterminer le "bon" câble électrique:
-assez puissant,
-très souple (donc pas d'aluminium cassant!)
-assez résistant (à l'étirement, à l'enroulement, aux frottements, etc.) (plus de 80 kg testé).

Ce sont les 2 extrémités qui ont été solidement renforcées.
Ainsi, la butée de rem-bobinage a été réalisée simplement
en plaçant un bonne longueur de gaine thermo-rétractable (rouge pour mieux la repérer)
autour du câble  avant d'y faire un nœud assez serré et de thermo-rétrécir la gaine seulement à ce moment.
La gaine colle alors a elle-même.

Comme l'enrouleur contient le maximum de longueur possible,
le câble coince un peu ....juste en fin d'enroulement (ça évite aussi qu'il se déroule tout seul dans la sacoche lors du roulage!).
Il faut donc tirer un peu plus fermement pour commencer à dérouler le câble.
Je saisis ainsi ce nœud, bien pratique pour ça.

En cas de souillures (pluie, boue, herbe tondue collante, bave d'escargot),
j'utilise mon torchon microfibre en le faisant glisser le long du câble
en prenant soin à ce qu'il tombe -propre- DANS la tente.
Je l'enroule après en quelques secondes.
Pas besoin de sécher complètement le câble nettoyé, grace aux trous d'évidemment de l'enrouleur.
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Conclusion:
L'enrouleur apporte certes du poids en plus.
Mais à l'usage cela est TRÈS largement compensé par son agrément de tous les jours,
et participe à ces "petits plus" qui améliorent infiniment la vie du cyclo-campeur.

C'est encore plus vrai au petit matin, quand on n'est pas bien réveillé, et qu'on doit lever le camp.
L'enroulement de sa ligne de linge, de sa rallonge électrique.... se fait en un instant, sans réfléchir.

Astuce - Faire des Économies de Gaz en Randonnée
https://www.youtube.com/watch?v=zFJeEgqB1Bc

https://www.youtube.com/watch?v=99ZZslgr6ro