Quest cantalou

très joli ... mais dis, t'avais plein de petits nains pour les photos et le film ou tu t'es tapé 3 x le col??

trop top
merci lalar

aldo a écrit:

C'est un coup à se chopper la crève.

j'y pensais en voyant c'est superbes images merci de prendre le temps de faire toutes ces manips qui nous permettent de profiter des paysages

très joli paysage et belle prise de vue

Superbes vidéo bien tournées, pleines de poésie et de paysages magnifiques.

Merci

Vivement le mois de mai que tu nous en fasses d'autres

Un travail d'orfèvre pour faire la promotion d'une région magnifique et de superbes vélos. Merci beaucoup pour le partage proposé, c'est toujours agréable de découvrir un nouvel épisode des aventures des Quest cantalous

Je plussoie !

Quel temps tu as dû passer !! Bravo !

J'adore cette région et particulièrement ce col que j'ai emprunté il y a déjà bien trop longtemps.... merci pour ces superbes images.

Plutot qu'un PBP l'an prochain, va falloir prevoir un Rennes-Aurillac ;-)

Merci Laurent

Oui Rennes-Aurillac-Rennes j'ai des propositions de parcours sur la partie sud, et différentes à l'aller et au retour.

Merci pour vos encouragements sympathiques. Le paysage se prêtant assez bien aux images agréables, autant vous en faire profiter. La qualité des vidéos est encore très très loin de celles de Daweed. Tiens d'ailleurs, y devait pas nous présenter un court métrage celui-là ? J'ai peut-être loupé un épisode.

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En ce dimanche un peu plus ensoleillé que les jours précédents, il aurait été dommage de ne pas aller voir la neige de plus près. Donc, direction Mandailles pour ne pas changer les bonnes habitudes. Avec le Conti Winter monté depuis hier, l'impression de coller à la chaussée est assez forte. Le Puy Griou est tout juste saupoudré de sucre glace.

Arrivé au grand virage, départ des pistes de fond, le chasse-neige a fait un gros tas barrant la route du Pas de Peyrol. Je descends du Quest, me retrouve nus-pieds, en short et tee-shirt trempé de sueur au milieu des promeneurs en grosses chaussures, anoraks, gants et bonnets. Effectivement, le fond de l'air est frais et le vent de Nord Est assez désagréable. Après hésitation, je tire le Quest par-dessus le tas de neige et repars sur la route non déneigée.

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Hélas, je ne fais que quelques dizaines de mètres. Très peu de neige pourtant mais elle a déjà fondu et regelé et les 6 % laissent le pneu arrière sans accroche suffisante. J'hésite à lui soutirer 2 bars pour essayer de poursuivre un peu mais la raison l'emporte. Les stalactites me confirment juste qu'il est préférable de mettre un pull et un bonnet pour la descente ! Même pas froid en arrivant à Mandailles, sans gants et toujours en short. Le toit bien fermé protège efficacement.

Magique, comme d'hab!

ça y est l'hiver est là .
c'est le moment de mettre des pneus clous.
mais es-ce que cela existe en 20 pouces ??

edit
Oui j'ai fait une recherche , ça existe bien en 20 pouces schwalbe : en 20 x 1.60 avec 160 clous

Merci Claude mais je n'ai pas très envie de découper la carrosserie du Quest en pointillé    Et puis j'ai déjà essayé les pneus clous sur mon VD de ville. C'est vraiment très efficace sur la neige mais galère sur le goudron. J'avais même l'impression d'une adhérence moins bonne en virage sur le bitume nu.
Pas très pressé de trouver la neige sur mon trajet vélotaf en tout cas.

lalar a écrit:

Hélas, je ne fais que quelques dizaines de mètres. Très peu de neige pourtant mais elle a déjà fondu et regelé et les 6 % laissent le pneu arrière sans accroche suffisante.

Dans le genre "bricolage artisanal" se faire des chaines avec de la ficelle autour du pneu arriere ca marche bien sur la neige et ca se sent pas sur le goudron.

http://www.suna.fdn.fr/velomobile/leitra-neige1.jpg
http://www.suna.fdn.fr/velomobile/leitra-neige2.jpg

Inconvenients : ca a une efficacité toute relative sur la glace (mieux que le pneu quand meme si la glace n'est pas trop lisse : la ficelle n'adhere pas mais s'accroche aux asperites) et ca a une duree de vie asse courte sur le goudron. Faire des noeuds a chaque tour autour du pneu, et meme attacher regulierement la ficelle aux rayons, comme ca quand une boucle cassera a cause de l'usure ca n'ira pas s'emmeler dans le moyeu.

lalar a écrit:

Avec le Conti Winter monté depuis hier, l'impression de coller à la chaussée est assez forte.

Il n'existe toujours pas en version 20 pouces, lui? Qqpart, j'aime bien avoir au moins autant de grip pour m'arreter que pour avancer ;-)

Oui, c'est bien le problème.

J'ai testé le Milan SL sur la neige tassée en duranos. Dans les grosses bosses, c'était à pied en poussant et dans les descentes les nerfs étaient mis à rude épreuve...

Dans les descentes ça doit être chaud
Le "tuyau" de la ficelle ou cordelette je n'y avais plus pensé

Salut lalar,

Merci à toi pour tous ces reportages
Ce Pas de Peyrol  offre des paysages somptueux, y compris en cette saison.
M'enfin, avec ses 1500m, il m'impressionne "un tantinet"...  
Dans la région Alsace en ce moment, ce n'est pas la grande joie avec les météos "spéciales WE"...
L'activité est donc.... à l'arrêt total
Si ça pouvait faire froid et sec, qu'est-ce que ce serait bien !!

Je regardais ton toit Wim Schermer: une question que je me posais, car c'est un phénomène récurrent sur la visière que j'ai mise sur le mien: est-ce que tu n'a pas de problème de buée avec ce toit, en particulier si ta visière est abaissée ? La ventilation reste suffisante ?
Le système des ventouses pour le maintenir en avant sur le nez du Quest est ingénieux. Merci pour la photo !

Est-ce que tu as le système "nacaduct" ? J'ai d'ailleurs un peu de mal à voir comment celui-ci s'insère dans le toit proposé par Wim...

Merci pour tes infos et bonne route  

JM22 a écrit:

ce n'est pas la grande joie avec les météos "spéciales WE"...
L'activité est donc.... à l'arrêt total

C'est vrai qu'on n'a pas très envie de sortir mais si on fait l'effort de monter à bord de la fusée, on ne le regrette pas, bien au contraire. On a même tout lieu de se réjouir de pouvoir continuer à pédaler par tous les temps.

La buée sur la visière a déjà fait l'objet de pas mal de discussions sur le forum. Du coup, je m'attendais à pire ! Bien sûr, si elle est totalement fermée, il est nécessaire de rouler assez vite pour éviter sa formation. Mais je trouve le réglage de l'ouverture particulièrement pratique et il est facile de l'affiner en roulant pour empêcher la formation de la buée ou refroidir le moteur. Pas d'ouverture de type NACA duct sur ce modèle, ce qui évite les entrées d'eau inopportunes  me semble-t-il.

En montée, il fait rapidement trop chaud : j'ai encore fait hier un aller retour à Mandailles en short et tee-shirt alors que tous les VD croisés disparaissaient sous les gants, bonnets, masques et chaussons néoprènes. Et j'ai fini bien trempé de sueur. Pour ma part, malgré un petit -5°C en début de semaine, je n'ai pas encore mis les gants sur mon trajet vélotaf.

Sur le forum, on parle aussi de l'effet caisse de résonance avec le toit fermé. C'est vrai mais ça reste très raisonnable. Et puis, à partir de 70 -75 km/h, un vrombissement digne d'un turbo réacteur commence à se manifester, ce qui est assez grisant Pourtant, lors de ma 1ère visite au magasin du Mans, j'étais totalement opposé aux modèles fermés et... Joël semblait déjà penser que je changerais d'avis.

Pour les ventouses, l'idée est bonne : ça évite un velcro pas spécialement lisse sur la coque externe. Mais j'en ai déjà perdu une et il faudrait un modèle légèrement plus grand pour assurer un maintien correct du toit, ne serait-ce qu'à l'arrêt ou quand on manipule le VM par la poignée arrière.

Le Quest Cantalou va bientôt fêter son 1er anniversaire avec 5000 km au compteur. C'est beaucoup moins que certains mais avec une année écourtée par 3 mois d'arrêt forcé et une utilisation vélotaf depuis seulement 4 mois, la 2ème année devrait voir plus de bornes défiler.

En tout cas, nul regret, si ce n'est de ne pas avoir franchi le pas plus tôt.

Merci lalar pour tes précisions

Effectivement, le sujet buée est largement récurrent ici, mais ma foi, je me demandais ce que ça donnait avec le toit de Wim Schermer.

Visiblement, ce n'est donc pas un problème, en tous les cas: ça se gère

Merci encore et bonnes sorties à toi

ce n est pas tellement le temps qu il faut blamer JM,mais le métié qui est le miens pour cette periode de fêtes a répétition
j essayerai bien ce toi

lalar a écrit:

J'ai dû la pousser à la fin de la montée après avoir mis mon pull en tampon entre les deux VM.

Je n'ai pas super confiance dans la solidite de l'avant de nos VMs, du coup la seule fois ou j'ai du improviser un poussage, j'ai prefere bras droit tendu, poser la main tout a l'arriere, en haut de la surface reflechissante, et bien sur, pedaler plus fort.

salut lalar

je suis en espionnage industriel et viens à la pêche aux infos

ton toit est posés fibre sur fibre dans la battue de l'hiloire?  ... ou y a-t-il des protections qui feraient en même temps office de joint d'étanchéité?

plein de photos sous tous les angles ce serait le top

Voilà Beno, ça vient...

D'abord une photo d'ensemble montrant que pour limiter tout reflet, c'est maintenant tout l'avant du toit qui est en noir et pas seulement la partie sous la visière. On voit aussi que j'ai souhaité garder un assez large espace à l'arrière en ne retaillant le toit que modérément pour l'encastrer dans le mât, pour favoriser la sortie d'air.

Plus en détail maintenant. De façon générale, pleins de petits détails participent à la diminution des sources de bruits. Trois pastilles en velcro empêchent tout frottement ou vibration de la visière contre la coque quand elle est complètement fermée. En plus, ça permet de maintenir un tout petit filet d'air. Le déflecteur interne est fixé par velcro. Il doit éventuellement être retaillé pour que le regard porte juste au-dessus. Il permet bien évidemment de diriger le flux d'air sur la face interne de la visière, évitant la formation de buée. C'est très efficace dès 15 km/h, à condition de ne pas souffler comme un boeuf dans une montée. Noter au passage la mousse genre néoprène qui entoure tout le bord de l'hiloire du toit, ainsi que la tige de rigidification de la visière.

De peur de ne pas être assez précis pour un fribourgeois, ci-contre le détail de la fixation du déflecteur interne.

Vu de l'arrière, notez le tampon de mousse qui écarte un peu la visière en maintenant un filet d'air et empêche toute vibration.

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Toujours pour limiter les vibrations inopportunes, des petits tampons de mousse au niveau de la charnière ainsi que sur le rebord supérieur du toit. Ce dernier protège aussi le crâne du cycliste d'un rebord en carbone tranchant.

Un joint en caoutchouc isole le rebord du toit de l'hiloire du Quest. Il assure l'étanchéité, limite les vibrations et les frottements sur l'hiloire.

A l'arrière, j'ai dû retailler le toit pour faire place au mât. Comme indiqué plus haut, j'ai volontairement réduit la taille de l'échancrure pour favoriser la ventilation. J'ai collé un bout de chambre à air pour isoler le toit du mât mais je soupçonne que le bruit de turbine à haute vitesse provient des vibrations du mât contre le toit. Sans mât, deux tampons de mousse latéraux, peu visibles sur la photo,  assurent un décalage entre le toit et la coque.

A l'intérieur, la visière est maintenu en place par deux languettes de plexi recouvertes de velcro. Un réglage très précis peut-être effectué en roulant, d'abord d'un côté puis de l'autre. On peut modifier à volonté et très facilement la ventilation et le désembuage en fonction de la vitesse et de la température. En position légèrement ouverte, le petit déflecteur renvoie l'air sur le haut du crâne et protège le visage de l'air froid. C'est agréable en cette saison, sûrement moins en saison plus chaude mais comme il est monté sur velcro, on peut facilement le retirer. Le toit lui-même est maintenu à la coque par 7 gros velcro. En pratique, je n'en attache que 3.

Trois ventouses fixées aux velcros permettent de maintenir le toit sur l'avant de la coque. Comme indiqué plus haut, j'en ai déjà perdu une et leur efficacité est perfectible mais l'idée est bonne et évite le collage de velcro sur la coque.

Bon, je crois avoir un peu abusé des détails, c'est pas de ma faute, c'est Béno qu'a demandé.  Les modos séviront si besoin

J'ajoute juste que le toit est bien sûr distribué par son concepteur mais aussi, semble-t-il, par un professionnel bien connu de la Sarthe.

facile de dire que c'est de ma faute n'empêche, si un modo trace les détails, je le dénonce!

merci lalar pour tous ces détails

la fixation avec ces ventouses n'est pas claire pour moi, sur le waw (enfin, les "anciens"...) les velcros sont fixés sur des larges bandes élastiques elle-mêmes collées à l'intérieur, donc pas de ventouse qui se balade...

il a l'air bien fait ce toit. si Madame en commande un définitivement, je vais m'en inspirer mais y mettre aussi des détails de la cape du waw...