CENTMOIS, pour tout le monde

fiboc a écrit:

Birouette ? Pas de Centmois en novembre ?  
Dommage, les 24 et 25 novembre, tu en étais tout proche : 9,6+74,83 = 84,43km.
Quelle idée aussi des faire des marathons ?! (je viens d'ailleurs de voir que tu as couru ce marathon à 12km/h  T'es un dingue !)

Bah disons que si les 100kms dans le mois c'est validé mais je préfère valider les sorties au maxi sur 24h donc non pas de centmois en novembre.
Pourtant j'étais chaud le 18/11 j'avais prévu un trajet, j'avais prévenu les autres du coin pour sortir mais la motivation et l'énergie du matin m'ont fait faire un autre tour. Que j'ai écourté d'ailleurs car il passait sur la rocade nord de Niort et j'avais pas rémarqué et j'ai préféré rentrer tranquille.
We d'après sortie avec le club de cyclo du coin 75kms. Pendant la sortie je me suis dit "pousse un peu pour faire le centmois" mais en fait j'étais pas motivé et la famille m'attendais. Bref
En fait je crois que j'attend 2024 pour passer un cap sur pas mal de dossier perso et débloquer les 12 centmois (ou plus).

Sinon oui marathon du cognac fait le 11/11 en 3h27. Merci à mon pote qui m'a bien motivé à le faire.

Pas de centmois pour moi en novembre, j'ai loupé le créneau… J'ai roulé seulement par procuration en vous lisant

 Bonne route à vous tous !

Bonjour à tous, cyclistes couchés, droits ou simples lecteurs
En ce dimanche 3 décembre une envie de dégourdir les pneus du Pelso est devenue impérieuse.
Départ aux environs de 10 heures, il ne gèle plus, le soleil brille.
Je réalise une boucle d'une trentaine en passant par Mios de Biganos.
Le bitume entre Balanos et le Petit Caudos, bien râpeux et le vent de face freinent la progression.
Il y aura de meilleurs moments.
Pause déjeuner à la maison pour déguster un petit salé aux lentilles roboratif et bienvenu.
Treize heures trente, il est temps de repartir.
Pas de fantaisie pour le trajet d'après midi; un parcours de soixante dix kilomètres que je connais par cœur.
Le lac de Cazaux, le rond point de la dune du Pyla, la route de la corniche, la rue des courlis à 10%, le Moulleau et les Abatilles à Arcachon puis retour par la route de la côte.
102 kilomètres au compteur, il peut pleuvoir le reste de la semaine...
Je profite de ces quelques lignes pour vous souhaiter de belles fêtes de fin d'année.
Au plaisir de vous lire et au mois prochain.

Belle météo prévue samedi, donc je me suis préparé un parcours inspiré d'une des Randonnées Créçoises" vendredi soir, et hop, en route samedi un peu après 11h (après avoir vidé le cadre de mon Xlow par hasard, en lui faisant faire demi-tour sur la roue arrière. Bien un demi-litre!
Mon parcours:

https://www.openrunner.com/route-details/18021733



Pas beaucoup de photos, il a fait beau mais vraiment froid, j'ai gardé les gants!

Un truc renversant, dont on parlait justement mercredi entre cyclistes:


Arrivé chez moi un peu avant 17h, les pieds gelés. Je n'ai pas pu mettre mes sur-chaussures, mes nouvelles chaussures ne rentrent pas dedans!

Petites question en passant...
Vu l'état de mon pneu avant tout craqué avant d'être usé, et après avoir vu les gens dégonfler après un BRM, j'ai dégonflé les miens en arrivant.
Vous faîtes ça aussi, entre deux sorties, ou pas?

Bonne fin d'année à tous!

Pour les pneus comme je roule au pire tous les 2 jours je ne pense pas que ce soit utile que je les dégonfle (je vérifie plutôt la pression une fois par semaine )

VB77 a écrit:

Un truc renversant, dont on parlait justement mercredi entre cyclistes:

En Hollande où je voyageais il y a deux étés, les agriculteurs en signe de rébellion contre la politique agricole, retournaient le drapeau national : bleu, blanc, rouge de haut en bas au lieu du traditionnel et officiel rouge, blanc, bleu. Mais si on met le drapeau français la tête en bas, on obtient... le drapeau français. Alors apparemment, certains ont décidé de retourner les panneaux d'entrée des villes. J'ai vu cela à Vigny, hier.

berniz95 a écrit:

Mais si on met le drapeau français la tête en bas, on obtient... le drapeau français.

Ce que font souvent les belges, paraît-il...    

grand pierre a écrit:

Pour les pneus comme je roule au pire tous les 2 jours je ne pense pas que ce soit utile que je les dégonfle (je vérifie plutôt la pression une fois par semaine  )

Oui, pareil pour le vélo que je prends tous les jours pour aller bosser, et qui a de plus gros pneus, moins fort gonflés.

Mais mon Xlow peut rester un mois sans rouler, et il est gonflé à 6 et 7 bars...

Je sais pas ce que ça donne avec les gommes d’aujourd’hui mais j’ai toujours eu en tête qu’un élastomère vieillissait plus vite s’il restait hors charge. Donc sans laisser les pneus gonflés à bloc je les garde toujours au moins à 1,5 ou 2 bars.

CENTMOIS de décembre 2023 effectué hier et ce jour.
Encore un "beau" parcours, uniquement en déplacements professionnels

Pas de photos, mais quelques extraits de caméra avant ... sous la pluie, de nuit, de biens beaux clichés d'une qualité unique !
Notamment :
- quelques illuminations de noël,
- une magnifique sélection de voitures qui me doublent sans phare, par temps de pluie.
- un membre du forum qui me fait coucou,
- 2 clichés de moi en plein dépassement de voitures trop lentes.  

Bonjour,
Dernier Centmois de l'année avant l'arrivée de l'hiver ce vendredi 15 décembre en compagnie de Phil44 pour aller voir la fin des travaux sur le barrage du réservoir de Vioreau qui alimente le canal de Nantes à Brest. La remise en eau a débuté. A peine posés nos vélos pour une pause goûter que le même chat est venu nous saluer tout comme en février ! Phil avait anticipé les petites routes cracra , cela m'a permis de ne pas courir après lui    
Temps couvert et doux 9/10°, peu de vent. Partis vers 12h30 et rentrés avant la nuit avec 117km et 900mD+

Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et à l'an prochain
Cricri

Voilà mon 100 de décembre :

https://framacarte.org/fr/map/carte-sans-nom_173875

Effectué avec l'ami et voisin Guillaume et son tout nouveau trike, ce qui me vaut d'apparaître sur une des photos.

Départ après le lever du soleil, mais juste avant dissipation des brumes matinales. Le thermomètre de mon compteur descend, descend jusqu'à -1,5° où il se stabilise pendant un bon moment. Dans l'après-midi, la température avoisinera les 10° grâce à ce beau soleil qui ne nous quittera pas.

Quelques vicissitudes malgré tout, notamment le chemin de Ramponne (non ce n'est pas une côte) de Vallangoujard à Labbeville, fermé pour "risque de chutes d'arbres" sans doute en raison de forts vents les jours précédents, mais qui devrait maintenant être "fermé pour certitude d'arbres chus" qui valent à mon compagnon un porter de trike. Malheureusement pas le dernier, eu égard un peu plus tard au nombreux poteaux resserrés jalonnant la voie verte qui aurait pu être agréable autrement : ancienne voie ferrée en pente douce vers l'Oise... Sans parler de la "rue Louise et Madeleine de Montebello" qui avec un tel nom, n'est qu'une impasse se prolongeant par un chemin creux en forte pente, avec nouveau porter athlétique de trike. Je viens de signaler cette aberration à Openstreetmap dont dépend le confort de mes itinéraires (via brouter.de/brouter-web). Traverser successivement la voie ferrée (en service celle-là), l'Oise et la D922 tout en respectant les sens interdits relève d'un tel prodige qu'on se félicite d'avoir pu le faire sans plus de détours...

De Bessancourt à Montigny, la voie verte en site propre est toujours agréable, modulo une ou deux barrières sévères et des rochers dissuasivement rapprochés.

La traversée de Herblay reste à peaufiner. Pause - fin de déjeûner à Conflans, devant la Seine, où je croise une collègue de bureau et son mari, selon une probabilité assez faible.

Et remontée sur le plateau via la côte à 8% qui est mon quotidien du soir, quand je reviens du boulot à vélo.

Au final, 103km et une très chouette sortie !

P.S. j'adore la photo du chat roux qui se gratte la tête sur le guidon

Après deux tentatives avortées à cause du temps (50 km le 8 et 60 km le 10), j'ai enfin pu faire, ce lundi 11, mon CENT de décembre qui termine ma 7^ème année de CENTMOIS. Pour anticiper une réponse à ceux qui objecteraient que je n'ai pas (encore) terminé le 7^ème tour d'escargot, je rappelle que trois mois ont été neutralisés pour cause de confinement (y compris mars 2020 au début duquel j'avais pu faire un CENT qui n'a donc pas été pris en compte).

Matin

Départ vers le sud à 9 h (ce qui, pour moi, est un exploit ). Piste cyclable jusqu'à La Source. Là, au niveau de l'ancienne entrée du Parc Floral, pour changer, je ne fais pas le détour vers Saint Cyr en Val mais continue dans l'Université d'Orléans que je traverse entièrement, croise l'avenue du Président Kennedy pour rejoindre l'avenue de la Bolière que je suis jusqu'au bout. Puis rue George Sand qui longe l'Allée des Sapins et qui passe à côté du Lac de l'Orée de Sologne ; ensuite rue Winston Churchill qui aboutit rue Rodin. Et je prends cette dernière dans le mauvais sens ! Un long moment avant de m'en rendre compte, demi-tour et je rejoins La Petite Mérie d'où je pars vers Ardon par la "chaucidou".
Après le centre d'Ardon, direction Jouy le Potier où je prends la rue de Beaugency. Un peu plus loin, à droite, route de Dry qui devient ensuite route de Jouy le Potier jusqu'à Dry, après traversée de la D 951.
Retour en passant par la rue de Meung puis la rue des Bordes et le petit bout de Meung sur Loire qui dépasse au sud de la Loire et où je longe Les Jardins de Roquelin avant de rejoindre la Loire à vélo ... (la suite comme d'habitude !)
Arrivé à proximité de chez moi, le temps semblant favorable, je décide de faire 10 km supplémentaires en repartant vers l'est, en traversant l'île Charlemagne et en la dépassant légèrement, histoire d'obtenir "le bon chiffre". Fin du trajet retour sous un début de pluie qui n'a pas eu le temps de beaucoup me mouiller. 60 km tout rond.

Après-midi

Départ vers l'est à 15 h 30 (bon, manque plus que 40 km !).
Aller-retour par la Loire à vélo jusqu'à hauteur du camping de Jargeau. À l'aller, je ressens un vent de face que j'interprète comme vent relatif, vu ma fantastique vitesse de 16-18 km/h peut-être supérieure à celle du vent d'ouest observé le matin. Mais le retour plus facile me montre qu'en réalité le vent (léger) a tourné à l'est ! Comme le soleil est déjà couché, je finis en (re)traversant l'île Charlemagne où je me sens plus en sécurité que sur les quelques kilomètres de route sans lumière (bien que mon trike ait de l'éclairage).
Sur une bonne partie du trajet, je reçois une fine bruine qui ne mouille que mes lunettes, la visière de ma casquette et l'avant des jambes de mon pantalon (pas l'arrière ni les cuisses).
Total = 100,00 km.

Centmois de décembre effectué jeudi dernier, sur un de mes 2 derniers jours de congé 2023.

J'étais parti ramasser des carrés, la trace est donc un peu tarabiscotée, mais la récolte est bonne (même si j'en ai fait un peu moins que prévu) :


Pour optimiser ma récolte, j'ai pris le premier train pour Nantes (départ 5h50   ), puis j'ai filé vers la forêt du Gavre, puis vers la périphérie de Redon, avant de rentrer vers Guérande.

Départ de nuit forcément, toujours impressionné par le monde à vélo à Nantes et chose que je n'avais pas remarqué jusque là, à l'extérieur de Nantes, sur des petites routes de campagne sans aucun aménagement, j'ai encore croisé beaucoup de cyclistes.

Avec mon jeu des carrés, je me suis retrouvé à rouler dans des chemins boueux :


Et parfois à ne plus pouvoir passer du tout :



Sur la première photo, j'ai du faire un bon détour, revenir sur une nationale en portant mon vélo par-dessus une glissière de sécurité, mais c'est de ma faute : en me rendant compte que je n'allais pas pouvoir passer, je sors mon téléphone et regarde la carte : sur la carte IGN il était indiqué passage à gué. Forcément, au mois de décembre avec les pluies qu'on a eu... ça m'apprendra à préparer trop rapidement mes parcours.

J'avais un impératif horaire à respecter et je me suis rendu compte au bout d'un moment que ça ne passerait pas, j'ai donc commencé à retirer des détours prévus à partir de la forêt du Gavre, mais même comme ça ça été compliqué, je suis rentré particulièrement rincé (dans tous les sens du terme d'ailleurs). Il faut dire qu'à la fin mes vitesses ne passaient plus du tout, j'étais coincé en milieu de cassette et ne pouvais plus descendre ni monter. Heureusement je pouvais encore passer du grand au petit plateau, j'ai fait les 50 derniers kilomètres comme ça. Les vitesses sont revenues progressivement les jours suivants sans que j'ai eu le temps de m'en occuper, donc je met ça sur le compte de la crasse de la sortie, et le retour à la normale sur le compte du séchage après coup, ça vous semble vraisemblable ? J'ai prévu un grand nettoyage d'hiver du vélo, mais pas encore eu le temps de commencer.

Une petite photo du vélo pour finir, il l'a bien mérité :

Je ne connaissais pas le VTT couché ?? Tu viens de lancer un concept je pense !
Pour le problème de passage des vitesses, vu la bouillasse sur les photos, ça ne parait pas impossible. (quoi que ... jamais eu ce problème à VTT pourtant bien bien boueux ces temps-ci)

Tu plaisante, mais j'aimerais bien m'inscrire sur des épreuves / sorties gravel en vélo couché. Mais peut-être pas avec le Vendetta, je ne suis pas sûr d'être assez à l'aise si ça devient un peu technique.

Je trouve mon vieux vendetta très à l’aise sur les chemins modérément gras et un peu herbeux, malgré ses petits pneus tout fins ; le Silvio avec ses crampons de 35 devrait m’autoriser à passer dans des coins un peu boueux sans trop souffrir, j’ai déjà fait quelques tronçons sympathiques en Corse et dans l’Yonne le mois dernier. Pas trop de souci d’accroche malgré la traction, par contre je suis pas encore à mon aise quand l’arrière chasse.
Marco Ruga avait construit un TD TT, sur des chemins forestiers pas trop humide ça faisait bien le job ; les limites arrivent dès qu’il faut mettre pied à terre, on manque d’agilité et d’appui au sol par rapport à un VD.

Hello,
J'ai bien crû qu'il n'y aurait pas de centmois pour moi en décembre. Je dois reconnaitre un très gros manque de motivation pour sortir sous la pluie dans le froid.
Finalement, hier matin, enfin un ciel clair et le soleil.
J'ai donc rejoint le départ pour la ballade à la journée de mon club à 9h30.
Nous étions 8 courageux avec mon catrike et un tandem avec Jérome aveugle.
J'ai dû m'employer tout au long du parcours pour suivre le groupe. Soleil en début de matinée et en milieu d'après-midi. Un peu de pluie avant le repas et à l'arrivée.
Je suis rentré totalement épuisé. Maintenant repos jusqu'en janvier  

VB77 a écrit:

Petites question en passant...
Vu l'état de mon pneu avant tout craqué avant d'être usé, et après avoir vu les gens dégonfler après un BRM, j'ai dégonflé les miens en arrivant.
Vous faîtes ça aussi, entre deux sorties, ou pas?

Bonne fin d'année à tous!

J'ai des pneus continental gp et gp5000 qui restent gonflés en permanence. Je sors péniblement 1 fois par semaine. Les pneus précedents ont tenus 2 ans comme ça avant le changement pour usure.
Idem pour les pneus marathons+ du velotaff qui tiennent depuis des années comme ça. Le big apple n'a pas bougé depuis presque 10 ans que je l'ai.
J'ai d'autres exemples dans divers marques.
Je pense que le plus dommageable pour les pneus, ça reste le soleil...

Je sors environ 5 fois par semaine avec le vélomobile, donc pas concerné par ton problème. (j'use mais pneus avant qu'il ne leur prenne l'idée de se craqueler)
Pour mon vieux VTT, les pneus et chambres à air étaient encore d'origine (1993) et ils n'ont commencé à craquer que cet été. Il faut dire que quand on ne touche pas au vélo, les pneus se dégonflent lentement mais surement, donc oui, quand je n'utilise pas un vélo pendant longtemps, les pneus sont à plat, mais de là à les dégonfler moi même, non.
Mais bon, 3,5 bars dans un pneu de VTT, c'est plus vite à plat que les 6 à 8 bars d'un pneu de vélomobile ...

guiguinou a écrit:

Je pense que le plus dommageable pour les pneus, ça reste le soleil...

Oui !

Concernant le dégonflage, j'ai entendu un peu de tout mais dans tous les cas, ça ne concerne que les pressions élevées (> 7 bars). Ca pourrait permettre :
- de préserver les pneus qui peuvent craqueler ou se déformer
- de soulager les jantes (effet de fluage)
- d'éviter l'éclatement du pneu en laissant la roue derrière la vitre arrière de la voiture en plein soleil par exemple

Mais la raison la plus probable selon moi, c'est qu'il s'agisse d'une conservation d'habitude de l'époque où les boyaux étaient faits à la main.

Moi, dans le doute, je dégonfle les boyaux de mon vélo route ; ça prend quelques secondes et de toute façon, je refais la pression avant chaque sortie.
Sur mon VM à 5,5 bars je laisse.

C'est ton stock personnel de boyaux ?

Météo France n'avait pas prévu de pluie, j'en ai eu pendant toute la sortie. Une IA ferait sans doute moins d'erreur.

Il manque quelques 100 de mètres qui sont faits dans la journée via les déplacements.