Mieux vaut un vieux WAW qu'une auto

Bien compris, ma crainte c'est plutôt en cas d'accident et contrôle par un expert... (et aussi pour le principe de respecter les règles même si c'est pas facile ^^).
Il faudrait que je puisse faire des essais pour me rendre compte de l'effort à fournir !

Bon finalement je pense quand même partir sur un direct drive qui a l'avantage du frein moteur.
Par contre, dans les fortes descentes il semblerait que ce type de moteur exerce une pression importante sur les points d'ancrage de la roue avec un risque de tout arracher.

Faut-il que je renforce la fixation de la roue (qui pour l'instant repose essentiellement sur la coque en résine) ?
Je possède de la fibre + epoxy ainsi que des plaques en alu de 3 mm pour créer des renforts supplémentaires si besoin.

J'ai parcouru 27528 km avec cette configuration: Waw 127 sans suspension et moteur direct drive. Ce Waw doit continuer à rouler en Normandie.
La fixation de la roue n'a pas bougé.
Le seul souci, ce sont les rondelles anti couple qui étaient un peu faibles, ce moteur ayant été livré sans bras anti couple.

Et j'ai même descendu avec le col du Pas de peyrol...

Merci pour ce précieux retour d'expérience !

Mon moteur étant réducté, il n'exerce pas de couple au freinage, mais voici comment j'ai monté les bras anti-couple (1 de chaque côté), ne me fiant pas aux rondelles anti-couple.

C'est la régénération forcée qui exercerait le plus de couple.

Je la soupçonne d'être responsable de la rupture de la jambe de suspension gauche au bout de 20 000 km sur Waw 313.

Qu'est-ce qui a cassé: une jambe de suspension à l'avant (??) ou un des bras de suspension arrière?

La jambe de suspension arrière gauche (là ou est le bras anti couple). La supension ayant éré conçue pour du musculaire...