X200 proto VM

Oui le vinyle colle mais les rayons sont en retrait du plan entre la jante et le moyeu.
Après on peut huiler les rayons aux endroits critiques.

Pour la valve faut faire une découpe, renforcer les bords et fermer avec un bande adhésive pas trop puissante, j’ai ce qu’il faut !
Déjà résolu le problème sur une roue que j’ai recouverte d’un disque de carbone, même problème.

Salut Denis,
les axes de roues sont en acier où en alu?

Salut Olive,

En alu pour l’instant mais j’ai commandé une paire en titane chez Ginkgo

Plus solide mais plus léger ?

En tapant "densité alu et densité titane", on a la réponse.

C'est un axe creux de 15mm pour fourche avant de VTT ?

Le premier VM carbone-titane: ça c’est vraiment la grande classe ! De la vraie horlogerie suisse

olive a écrit:

C'est un axe creux de 15mm pour fourche avant de VTT ?

J’avais mis provisoirement un RockShoxMaxle

Initialement j’avais prévu de changer les roulements des moyeux pour mettre un axe de 15mm ou plus.
Le 12mm Alu n’a pas bougé malgré le manque de suspension et le mono bras…

J'avais voulu mettre le même axe mais en 15mm sur mon vélomobile mais j'ai des doutes sur la solidité vu que c'est prévu pour deux bras de fourche.
J'ai mis des axes pleins en acier prévu pour des scooters, mais alors c'est très lourd!!! et pas de la précision des axes que tu as mis.

Je pars en vacances plus de 2 semaines et voilà que je découvre ce sujet grâce... au site néerlandais Ligfiets.net !

Je ne trouve pas les mots pour exprimer mon admiration devant ce splendide vélomobile          

Je me trompe Denis, ou tu es ingénieur de formation? En tout cas ton approche me semble bien plus rigoureuse que celle adoptée par Velomobiel, et par Daniel Fenn dans une moindre mesure, qui améliorent (enfin pas toujours!) leurs créations par petites touches.

Tu n'as pas hésité à partir d'une feuille blanche et il est clair qu'ici chaque composant a été pensé et réfléchi: du grand art!

Encore bravo!

Bonsoir Samural,

Non suis pas ingénieur. J’ai bien fait un passage rapide d’une année en physique à l’EPFL mais je me suis rapidement trouvé assis dans un cockpit d’avion de ligne…

Bon ça fait 40 ans que je construits divers maquettes volantes et moins volantes.
J’ai accumulé pas mal d’expérience avec mes proches et des Pro dans divers domaines de ce genre de constructions.
Après j’aime bien essayer, si possibles des choses nouvelles ou au moins différentes.

Pas ingénieur, peut-être, mais ingénieux, c'est sûr!!!!!

Bonjour Denis,

Pas mal d'ingénieurs sont incapables de planter un clou
Il est clair que l'aéromodélisme donne de précieuses bases quand on y manipule des matériaux composites.

Denis a écrit:

Mouler sous vide quand il y a 1x 100g de verre et 1x200g de carbone, il faut rajouter un tissu d’arrachage un film perforé et un feutre d’absorption.
Beaucoup de matériel pour pas grand chose.
De plus retirer le tissu d’arrache sur une coque aussi fine c’est très risqué.
Avec le moulage sous vide il faut toujours couper la fibre humide du bord du moule avant de mettre sous vide, sinon ça fait des bordures ratées.
Les mini bulles de surface ne disparaissent pas forcément sous vide il vaut mieux bien tamponner tout le moule tant que la résine est liquide.

Je te partage mon expérience sur des ailes de planeurs.
Tu peux très bien te passer des feutres, films perforés et tissus d'arrachage.
A partir du moment où le plastique du sac à vide est autodémoulant c'est bon.
La transparence du sac te permet alors de voir l'état d'imprégnation de ton tissu.
A la mise sous vide un outil souple t'aide à chasser vers les bords libres l'excédent de résine et la plupart des bulles.
Le moule doit comporter des rainures dans son plan de joint pour capter cet excédent.
Une fois durcie (polymerisée), on retire les plastiques et on ponçe les zones à coller.
Après avoir placé les renforts et fait le tour du joint avec de la résine chargée de micro ballon, on referme les moules à l'aide de boulons.

Il faut que je retrouve des photos pour illustrer.

A+

En voici quelques une sur une fabrication de stabilisateur en V :

Belles pièces tes empennages en V

J’ai fait qq essai de structures de coques …
C’est un jonglage entre poids et rigidité.


Finalement 2 couches de Carbon sur les flancs ça reste souple mais ne vibre pas. Avec quelques renforts mieux placés sur la V2 ça devrait le faire. Le tout sous vide juste avec le film et quelques canaux pour évacuer la résine pourrait optimiser le poids et la rigidité …

jagut a écrit:

Pas ingénieur, peut-être, mais ingénieux, c'est sûr!!!

Bon midi,
............. ingénieurs vs Ingénieux
Les mots font mal."Ingénieur" à l'effet contraire du mot Nègre. Mais pour les deux ,une fois qu'il sont dit on sépare l’humanité en deux classes:Les respectables et les autres être inférieurs.
Les ingénieurs sont de moins en moins ingénieux car ils font des carrières d'encadrement .
Les ingénieux n'ont pas eu la chance de faire valoir leur talent et ils sont rejetés par manque de noblesse...ça n'a rien de démocratique.

PS: Mon message est Hors Sujet et un peu simpliste , je l'effacerai si ça dérange ...Merci de le signaler ...

" Les ingénieurs sont de moins en moins ingénieux "

L'idéal serait de n'accepter dans la filière ingénieur que ceux qui sont nés ingénieux

Mais alors on verrait le chef exécuter le travail de ses subordonnés, ce qui serait tout à fait contraire à l'étiquette du travail en groupe hiérarchisé qui veut que chacun réalise la part de travail qui lui est dévolue et qui va lui permettre de se valoriser à son niveau

Les ingénieurs sont issue de bac à spécification « «scientifique » la majorité (donc pas tous) font une prépa pour ensuite intégrer les écoles d’ingé.
Peux sont bricoleurs (5 à 10%?) savent utiliser un tournevis. et l’aspect technique d’un métier est moins bien valorisé et valorisant, surtout quand on vous bourre le mou que « vous êtes l’élite du pays »
C’est pas pour rien que beaucoup finissent à encadrer sans maîtriser de sujet technique… Ils gagnent + à encadrer… Triste évolution de la classe sociale « ingénieur » Car oui être ingénieur c’est un statut avant un métier.

C'était dit sous forme de boutade, pas une attaque bien sûr. Cela dit je partage quelques uns de vos regrets. Mais bon on est HS et ce qui est important c'est le travail effectué, pas le CV de celui qui l'a fait.

Ce qu'avance Tiben est un peu cliché : un de mes deux fils est ingénieur batiments-génie civil, je peux vous assurer qu'une clé de 17 dans la main ne le rend pas ridicule. Pourtant, il a fait prépa et a intégré ensuite l'école supérieure de travaux publics de Paris avant un stage de 6 mois dans une fac anglaise pour sa qualif d'ingénieur international. Les discussions techniques sont absolument passionnantes avec lui et lorsqu'on travaille sur nos motos, il n'a jamais été coincé !

Bon midi chaud.
Je ne jugeais pas les métiers , je jugeais les mot.Seulement les mots.
Est-ce qu'il est "ingénieur" ?  ah bon !
Il faut finir le Hors Sujet en récréation... je regrette mon message à risque . il est encore temps de l'effacer...

Je vois que le sujet est sensible en France

cebd a écrit:

Bon midi chaud.
Je ne jugeais pas les métiers , je jugeais les mot.Seulement les mots.
Est-ce qu'il est "ingénieur" ?  ah bon !
Il faut finir le Hors Sujet en récréation... je regrette mon message à risque . il est encore temps de l'effacer...

Tu ne vas quand même pas culpabiliser pour ce petit aparté, par ailleurs constructif !C'est tout à fait naturel qu'un sujet traité dérive brièvement sur un autre thème. Ce n'est pas à toi mais à Tiben que je m'adressais pour sa description pour le moins caricaturale de cette qualification.

8. La poutre et les commandes tank

J’ai d’abord assemblé les 2 demi-poutres et le support du tube de pédalier hors du VM


Pour le collage dans le fond du VM j’ai aligné la pièce au laser et au scotch  
Le collage avec de la résine epoxy chargée de poudre de carbone et un agent thixotropique


Sur cette photo on voit d’abord les supports des tubes de commande qui sont en même temps support de siège. Ils sont imprimés en 3D nylon-carbone et adaptable avec quelques cliques de souris.
Ils ont un petit peu de souplesse mais pas désagréable pour absorber les vibrations.

Les poignées vertes sont aussi un essai d’impression 3D de filament souple (trou lourd peu faire mieux)
Les canaux sont intégrés dans les poignées pour passer les fils Di2 et éviter le percer le tube carbone.

Les freins sont des MT8 Magura et disques de 180mm


La batterie Di2 et logée dans le haut du tube dans une capsule (forme cigare) imprimée 3D en LW-PLA
Le LW-PLA et un filament qui a une certaine température mousses. Quand la température et la vitesse d’impression joue on obtient une matière avec un densité inférieure à 1 !!!

Pourquoi toujours coller dans le fond du VM ? Quand on ne connaît pas les mécanismes et s'il faut intervenir pour une raison ou une autre , on est dans le brouillard.
C'est facile pour ceux qui savent comment ça fonctionne.