Le conte du Milan et une nuit

Bon Midi,
Depuis que le brin mou de la chaîne passe à droite il ne touche pas les têtes des clous ?
...
Les poubelles de grand mères étaient bien plus petites que les nôtres.

Oui effectivement un sacré vrai pro .

Bonjour,

Merci pour les compliments.
Disons que je me débrouille pour trouver des solutions simples et efficaces
Je partage ici dans l'idée de stimuler la pratique de la mécanique vélo à la maison. C'est une façon de mieux utiliser nos ressources matérielles, manuelles et intellectuelles.
D'ailleurs je n'ai pas le souvenir d'une poubelle chez ma grand-mère...

J'ai placé au plus près de la bome la roulette et le brin mou de la chaîne. Ainsi il n'y a pas de souci.
Dans l'idéal il faudrait que la poulie soit plus en arrière pour que l'aller et le retour soient plus dans le même plan.

Belle journée à tous  

Bonjour,
J'ai l'impression que le printemps fait effet sur mon Milan.
En effet, je l'ai surpris la dernière fois à me faire stopper en bord de route pour des histoires de changement de plateaux.
Mais en fait il ne s'agissait que d'une excuse pour admirer une belle carrosserie de Milane !


Il était encore en émoi lorsque peu après il a tenté de me faire une sortie de route, attiré par un champs de coquelicots.


Il va falloir le remettre dans le droit chemin mon Milan fleur bleue

" le printemps fait effet sur mon Milan "

et, par effet moutonnier, sur JC_T qui nous le dit avec des fleurs

Le printemps est arrivé, la belle saison. Le printemps est arrivé, sors avec ton Milan etc...Jb

Bonjour,

Nouvelle étape dans les visites du Milan : la route Cezanne au sud de la sainte Victoire.
Cette route jadis arpenté par Paul Cezanne et ses amis Emile Zola et Jean-Baptistin Baille est situé dans un site classé pour sa conservation.
Cezanne aura peint la sainte Victoire dans pas moins que 87 tableaux !

La première halte du Milan est le château du Tholonet, classé monument historique.
Construit initialement vers 1470 et plusieurs fois modifié, il appartient aujourd'hui à la société du canal de Provence.
Le barrage Zola dont je vous parlais la dernière fois se trouvant dans les collines au Nord de ce site.


Il y avait aussi une scierie de marbre alimentée par des turbines hydrauliques, aujourd'hui disparue.

Viens ensuite le moulin Cezanne avec une stèle de Paul Cezanne.


La route continue et devient plus sauvage.
J'ai d'ailleurs eu droit à une rencontre avec une jeune biche ce jour là.

Après une rude montée, nous voici sous la sainte Victoire au niveau de la croix qui culmine à 946m.


J'oblique vers le Sud en direction de Rousset par la barre du Cengle pour vous offrir ce magnifique point de vue vers la sainte Baume et la chaine de l'étoile.


La prochaine fois on attaquera la face Nord de la sainte Victoire  

A bientôt

Bonjour,

Après un mois de juin fort chargé, le Milan reprend la route en direction de la sainte Victoire.

Avant de s'attaquer à la face nord, nous faisons un petit arrêt devant une école historique de la ville, pas si délabrée malgré son âge avancé :



La route versant nord permet d'accéder au barrage de Bimont.
Ce barrage-voûte de 87m de hauteur pour 180m de largeur a été inauguré en 1952.
Sa contruction a été en partie financée par le plan Marshall d'après guerre.
Il est alimenté par une petite rivière, la Cause, et surtout par une dérivation souterraine du Verdon.
Ses eaux alimentent ensuite le réseau ouest du canal de Provence et complète l'alimentation de Marseille à hauteur de 30%.
Il y a également deux petites centrales hydroélectriques, une sur l'arrivée d'eau du Verdon et l'autre au pied du barrage.
La production annuelle est de 4GWh/an.
Sur cette photo nous apercevons le haut du barrage au centre et la sainte Victoire qui pointe entre les arbres :



Voilà le côté du lac de retenue avec toujours la sainte Victoire qui surplombe sur la droite :



Et voici le côté aval :


A noter que plus en aval se trouve le plus modeste barrage Zola dont il a été question dans les épisodes précédents.

Nous repartons vers l'est alors que des champs de lavande embaume l'air.
Un symbole de la Provence dont je ne me lasse pas :



Nous voilà arrivé au terme de notre balade du jour au village de Vauvenargue.
Voici le panorama en direction de la sainte Victoire avec la croix qui se trouve sur la photo juste au dessus du Milan :



Bonne fin de semaine à tous

Je m'étais baladé au barrage de Bimont...

Je vais plusieurs fois par an à Marseille voir de la famille.

Nous visitons les environs, plus ou moins éloignés, à ces occasions, mais toujours sans vélos, malheureusement...

Il y a de magnifiques endroits à voir.

" une école historique de la ville "

et certainement dotée de tout ce qui peut être nécessaire pour concevoir, construire ou entretenir un VM ... dont les bras pour poncer

Bonjour,

Je partage ici une mise au point faite sur le train avant.
Il y avait 2 points à améliorer :
- jeu au niveau du pivot de la pièce qui connecte les bielles de synchronisation de la direction
- braquage des roues mal optimisé

Pour le premier point, j'ai démonté le pivot et j'ai réussi à reduire le jeu en ponçant simultanément la douille et le tube en cuivre pour parfaire l'apairage.


Pour le deuxième point, en regardant le passage de roue, je me disais qu'il y avait quand même pas mal de place.
Le Milan GT a en effet des passage de roue nettement plus volumineux que le Milan SL.
Pourtant le débattement des roues était un peu décevant, générant un diamètre de braquage conséquent d'environ 12m.
J'ai alors regardé quels étaient les points de contact qui limitaient le débattement.
Je trouve classiquement que le pneu de la roue intérieure au virage touche la coque.
Très bien, mais de l'autre côté de la même roue, je suis assez loin de toucher quoi que ce soit.
Donc en diminuant un peu la largueur de voie, il est possible de redistribuer l'espace et gagner en braquage.
La voie est ainsi amenée à 635mm.
C'est mieux mais les poignées de frein touche les passages de roues.
Je les oriente un peu vers l'intérieur.
Je règle aussi la longueur des bielles de commande car sinon c'est le bas du levier qui touche dans l'autre sens du débattement.
La roue touche maintenant presque simultanément la coque et la bielle de commande qui vient du levier de commande.




Le débattement total est d'environ +16/-14° (positif=intérieur au virage, négatif=extérieur au virage).
Cela respecte à priori la condition de Jeantaud.
Mesure faite après modification, j'obtiens un nouveau diamètre de braquage de 10,3m !
Au roulage on a enfin un braquage cohérent avec la taille de l'engin.

Bonne nuit à tous

" Bonne nuit à tous "

Merci JC et bon réveil

... pour nous donner la valeur du carrossage ainsi devenu

Salut Zapilon,

J'ai retiré 5mm de chaque côté et les jambes de force font 400mm de long environ.
Donc ça fait un changement du carrossage d'environ 0,7° (ou 5/400 radians si tu préfères).
Le carrossage est en fait plutôt donné par construction avec l'angle entre l'axe de roue et celui de la jambe de force.
J'ai par ailleurs constaté qu'avec ce nouveau réglage, le pneu touche maintenant le passage de roue des deux côtés simultanément.
C'est donc le maximum que l'on peut tirer de l'espace disponible de ce passage de roue.

Prochain chantier : un siège à ma taille !

A suivre

Milan assiégé !

Pour faire mon siège sur mesure, j'ai choisi de monter une structure en bois modulable qui permet de mettre en place rapidement la base de la forme.
L'ensemble est simplement constitué des deux planches latérales entre lesquelles se positionnent une série de barreaux.
Ces barreaux ont été taillés à partir d'une chute de plan de travail de cuisine.
La largeur est ainsi de 60cm et les bords sont bien droits.
De petites équerres métalliques sont utilisées pour la fixation.
Un premier tracé est suivi puis il sera modifié par essayages successifs avec l'ensemble calé au bon angle et le pilote dessus.
Voici comment cela se présente, le bas du siège étant à gauche sur la photo :


La suite de cette étape vera l'utilisation d'un copieur de forme afin de relever la forme du corps au droit des différents barreaux.
De la mousse extrudé sera ensuite taillée par tranches successives puis assemblée sur les barreaux.


A+

strapontin ou fauteuil ?

Quelques avancées encourageantes.
Le copieur de forme a permit de découper les blocs de mousse extrudés au droit des différents barreaux.
Puis des blocs intermédiaires ont été mis en place.
Après une patiente découpe permettant une transition douce d'un bloc à l'autre, la surface a été enduite puis poncée.
J'arrive donc sur une forme à mon dos.
Reste à définir les contours du siège et faire des angles arrondis sur les bords.
Un premier moulage sera alors envisageable.

Bonsoir,
Bonne idée pour le siège.!!! à suivre ...
je reviens sur le train avant: : je suis étonné que les rotules DIN soient sur le biellettes les plus chargées ???
une rotule DIN est utile sur une biellette de direction pour régler rapidement le parallélisme.

Coccyx et coxal sont sur un siège

J'ai un peu avancé sur le siège.
Tout d'abord, la forme a été au niveau des vertèbres et du haut des épaules.
Un long sillon a été creusé du coccyx aux cervicales.
J'ai dû également faire un creux dans la forme pour relâcher la pression sur les deux extrémités à l'arrière de la hanche.
Appelé l'os coxal, en voici une animation.




Je ne tenais plus de tirer une forme utilisable, j'ai alors rassemblé les matériaux et moulé un siège.
Pour faire vite un plastique auto démoulant a été placé sur la forme, puis trois couches de carbone et enfin le tout a été mis dans un grand sac à vide.
Le problème c'est que le sac n'a pas pu être parfaitement étanché.
De plus, la forme étant particulièrement concave, le plastique et le carbone ont fait quelques plis.
Bref, ce n'est pas la panacée mais cela ira pour tester quand même.


Une fois détourée ça commence à être pas si mal :


Reste à faire les raidisseurs derrière le siège et mettre les attaches.

A+

Bonjour,

Le WE dernier j'ai amené le Milan pour la fête du vélo locale.
Il a fait sensation auprès de tout le monde.
5 pilotes téméraires se sont succédés pour quelques tours de parking.
Leurs sourires en disaient long
Le plus âgé a quand même trouvé que ce n'était pas facile d'en sortir.
Je lui ai dit que le VM permet de conserver aussi sa souplesse quand on avance en âge

Record dans le DF : un ami de 80 ans qui a fait un petit tour dans sa cour.
Par contre, j'ai bien cru que j'allais devoir chercher une disqueuse pour l'aider à sortir

Milan est assiégé ! (452, Attila et les Huns)

Il restait à faire les raidisseurs et les attaches pour mettre le siège en service.
De la mousse extrudé est taillée puis collée en place.
De petits morceaux de tube sont positionnés pour servir d'encrage.
Ils seront stratifiés en même temps que les renforts.


Après application de la résine, l'ensemble est placé dans un sac à vide pour parfaire le plaquage des tissus :


C'est pas trop mal sorti et le confort d'assise est incomparable avec l'original :


J'ai hâte de rouler avec

Bonne semaine à tous

Bonjour,

La mise au point du montage du siège a pris plus de temps que prévu.

En effet, je pensais avoir mis le siège à une position équivalente au précédent.
Quelle n'a pas été ma surprise quand j'ai essayé de pédaler puisque mes tibias/genoux se sont mis à toucher le bord de l'hiloire
Je remesure les deux sièges et me rends compte qu'il y a un écart sur la position des attaches.
Pas de soucis, je décale les fixations vers l'arrière et recommence.
C'est mieux mais il faudrait avancer le pédalier pour déplier un peu les jambes.

Je pars alors dans une longue modification de la position du pédalier en testant une rehausse de 15mm.
En effet, j'avais noté que le tube aluminium est étrangement collé avec une légère pente qui descend vers le nez.
Ce qui fait que plus on est grand, plus les pieds sont proches du plancher !!!
Je suis obligé de reculer au maximum les cales sur les chaussures et cela ne suffit pas car je touche le plancher, alors qu'il reste un peu de place en haut.
Évidemment il n'est plus possible d'utiliser les attaches d'origine une fois que le boîtier est rehaussé.
J'ai donc tenté d'utiliser des colliers métalliques avec des cales en bois de formes arrondies.
La nouvelle position me permet effectivement de passer mieux les pieds au plancher sans toucher pour autant en haut.
Mais les tibias/genoux touchent toujours très fort si le mouvement chevilles/genoux n'est pas parfaitement coordonné.
De plus, afin de valider un minimum le tenue mécanique, je décide de pousser à fond sur le pédalier freins bloqués.
Résultat : crac, les colliers se brisent
Bref, c'est le gros doute

Après une nuit qui porte conseil, je replace le pédalier sans rehausse à sa position précédente et je remets le siège d'origine.
Je décide de faire une mesure comparative entre les sièges en utilisant un repère sur moi en position sur le siège.
La distance sera donc mesurée entre la traverse et le nombril
Résultats : le nouveau siège doit encore reculer de plusieur centimètres
J'avais déjà réglé très en arrière le support haut du siège qui se trouve sur le passage de roue arrière, mais là la seule solution c'est de tout virer !
Le siège s'appuis maintenant directement sur le passage de roue :


Les fixations basses ont dû être reculées avec la réalisation de nouveaux trous.
Ici c'est avant les nouveux trous :


Cette position me permet enfin de pédaler sans me cogner de partout avec le nouveau siège.
Ouf

Dernier ajustement : j'ai tellement reculé la position du siège, que je suis obligé de recouper un peu la coque au niveau de mon cou sous peine de contact désagréable voire dangereux.
Voici une vue d'ensemble après un tour test de quelques kilomètres qui a validé les bonnes impressions en statique :


Je devrais maintenant ne plus avoir le dos avec des points de contact douloureux pendant 24h après 2h de Milan
Verdict dans les jours à venir.

Bonne semaine à tous

Bonjour à tous,

Après quelques menus travaux, le Milan a repris la route...des mines !
Prenez votre casque et allumez votre frontale pour la visite.

Germinal, ou les misérables ?
Par un froid glacial, le Milan part en direction du Sud vers le bassin minier de Gardanne et ses alentours.

Sur son chemin, il croise cette massive construction rurale, improprement appelée pavillon de chasse du Roi René, qui aurait appartenu à un conseiller du parlement d'Aix, Thomas de Milhaud, à la fin du XVIe s. Ses parties les plus anciennes remonteraient aux années 1580.


Mais nous voici arrivé à Gardanne, une ville marquée par la revolution industrielle.
Il faut dire que le charbon fut exploité en Provence pendant quatre siècles.
Pas loin de 824 descenderies furent creusées sur l'ensemble du bassin minier Provençal.
La fin de l'exploitation de ceux-ci ne remonte qu'à 2003.
Voici l'un des plus importants, le puits Gérard : 723m de pronfondeur pour 6m de diamètre.


Ce puits fait également parti de l'ensemble dite de la galerie de la Mer.
Il s'agit d'une galerie d'exhaure reliée directement à la mer. Elle est conçue en 1859 par Ernest Biver, afin d'évacuer l'exhaure des chantiers du puits Biver qui pose de gros problèmes. L'idée est reprise et finalement mise en oeuvre en 1889 par monsieur Damage (successeur de monsieur Bivet, alors décédé). Il s'agit d'un tracé en ligne droite reliant le puits Biver et débouchant à la Madrague, près de Marseille. Deux puits d'aération sont également fonçé sur son passage le puits Saint Joseph et le puits de la Mure.
La galerie est équipée d'une voie ferrée afin d'évacuer les stériles vers un criblage à la Madrague. Ces stériles en s'accumulant ont fait reculer le rivage de plusieurs dizaines de mètres. Elle fût terminée en 1905, longue de 15km et légèrement inclinée pour permettre l'écoulement de l'eau, elle sert également au transport du charbon vers Marseille (à ses débuts). Elle permet l'évacuation des eaux de mine sans avoir à la pomper, ce qui va engendrer d'importantes économies pour les sociétés minières de l'époque.
Avec la fermeture du puits Biver, une nouvelle jonction est crée pour que le puits Gerard soit relié à la Galerie. Depuis l'ennoyage, des pompes immergées au fond assure un niveau d'eau à -350m et l'envoie vers la mer.
Cette galerie est décrite comme étant "la plus grande oeuvre minière de ce siècle, dans le bassin des Bouches-du-Rhône"

Voici les terrils de Biver qui ce sont plus ou moins intégrés dans le paysage :


Cap à l'Est maintenant pour découvrir, d'une part le puits Z, d'autre part la centrale thermique de Provence.


Profond de 878m, le puits Z fait partie des derniers grands puits avec le puits Yvon Morandat.

Quant à la centrale thermique, inutile de dire à quel combustible elle fonctionne ?
Mise en route en 1953, elle a consommé le charbon produit localement.
1984 : une nouvelle tranche de 595MW remplace les 3 plus anciennes.
1996 : une ancienne tranche est équipée d'une chaudière à lit fluidisé circulant de 250MW, la plus puissante du monde de ce type.
En 2018, cette tranche est convertie à la biomasse, entre autre puisque le charbon doit maintenant être importé.
Elle est aujourd'hui la seule en service plus ou moins actif.
La centrale dispose de la plus haute cheminée de France qui culmine à 297 m, et qui est aussi une des plus hautes structures du pays.


Pour finir notre visite, voici l'usine d'alumine, unique en France, qui jouxte le centre ville depuis 1894.
Ici boulevard Victor Hugo :


Ici avenue Victor Hugo :


Vous aurez peut-être reconnu la couleur de la bauxite qui recouvre tous les alentours.
Cela a d'ailleurs toujours été un problème de savoir que faire des résidus du procédé de transformation de la bauxite en alumine.
Pendant un temps, un ravin nommé "Vallon d'Encorse" a été rempli avec.
Une fois plein, il a fallu trouver autre chose.
En 1966 la solution trouvée a été de creuser un tunnel de 47km de long pour déverser les boues rouges en mer au large de la calanque de Port-Miou à côté de Cassis.
Je vous laisse imaginer la pollution marine...
Pour fonctionner cette usine a longtemps consommé le charbon local qui est trop sulfureux pour un usage autre qu'industriel.
Elle a eu une période compliquée ces dernières années avec beaucoup de rachat et se cherche actuellement dans le domaine de la micro-électronique.

J'espère que vous avez comme moi découvert des choses sur notre passé pour ouvrir les yeux sur le présent et l'avenir.

A bientôt

Merci pour cette belle visite bien commentée
J’ai appris qu’il y avait du charbon en Provence

Belle visite, merci beaucoup !
J'ai dû relire pour m'assurer qu'on n'était pas dans le Nord

La question importante : Où sont les terrils ?
Bah oui, avec la disparition de la neige, le terril est une solution sympa pour le ski (il faut juste prévoir de changer de skis toutes les heures et ne pas avoir peur de transpirer un peu au soleil dans les montées)

Merci pour la visite, j'ignorais qu'il y avait eu une activité minière d'exploitation du charbon à Gardanne, je savais pour la bauxite ainsi que pour les conflits sociaux autour de la centrale thermique mais pas plus.